L'œdème pulmonaire est une pathologie qui touche l'appareil respiratoire. Elle est caractérisée par une accumulation de liquide dans les tissus et espaces extra-vasculaires pulmonaires. Le liquide peut s'infiltrer jusque dans les alvéoles, ce qui peut conduire à un état de détresse respiratoire.
Un œdème pulmonaire, ou œdème aigu du poumon (OAP), est une accumulation de liquide dans les alvéoles pulmonaires. Cette inondation est essentiellement causée par une insuffisance cardiaque, notamment l'insuffisance cardiaque gauche (il s'agit d'un œdème cardiogénique).
Un œdème aigu du poumon représente une véritable urgence. Dès l'apparition des premiers symptômes, il faut contacter immédiatement le 15. En effet, en l'absence de prise en charge rapide, un OAP peut entraîner une détresse respiratoire aiguë menant au décès.
Le geste médical consiste soit à introduire temporairement une aiguille dans la cavité pleurale pour prélever son contenu (ponction), soit à introduire et placer dans l'espace pleural un tuyau en plastique (drain) dans le but d'évacuer le liquide, le sang ou l'air accumulés (drainage thoracique).
L'épanchement pleural (pleurésie cancéreuse) est une complication relativement fréquente des cancers : des nodules cancéreux implantés sur la surface séreuse de la plèvre entraînent une production excessive de liquide séreux.
Les causes de survenue des œdèmes sont différentes selon le mécanisme : augmentation de la pression dans les veines, augmentation du volume circulant, augmentation de la perméabilité des veines, insuffisance lymphatique.
Les différentes causes de pleurésie peuvent être un traumatisme, une infection, une inflammation des structures voisines, une tumeur cancéreuse, parfois une insuffisance cardiaque, une maladie rénale ou du foie.
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Un des symptômes les plus fréquents du cancer du poumon est une toux persistante. Quiconque fume appartient donc au plus grand groupe à risque, mais est souvent habitué à la «toux du fumeur» chronique et renonce à se faire examiner par un médecin.
Les principales causes d'œdème généralisé sont les troubles cardiaques, hépatiques, et rénaux, chroniques. En cas de début soudain une consultation médicale est nécessaire. L'œdème peut survenir n'importe où dans le corps. Tous les œdèmes ne sont pas graves; les conséquences dépendent principalement de la cause.
Symptômes : reconnaître une rétention d'eau
Les œdèmes (ou rétention d'eau) se caractérisent par une sensation de gonflement. Les jambes, les chevilles et les pieds augmentent de volume, la peau est étirée et luisante. Lorsqu'on appuie dessus, une marque de pression subsiste quelques secondes.
La rétention d'eau se manifeste généralement par un gonflement temporaire d'une ou plusieurs parties du corps. En langage médical, cela s'appelle un œdème. Dans la majorité des cas, les œdèmes se situent dans le bas du corps, à savoir les jambes, les chevilles et les pieds.
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Pendant ou après une ponction du thorax, de l'air peut passer dans la plèvre (entre la paroi et le poumon), entraînant une douleur du dos et de l'épaule, et une gêne à la respiration. C'est un pneumothorax, qui peut survenir dans 20% des cas. Ces signes disparaissent le plus souvent spontanément.
On peut avoir recours à la thoracentèse pour évacuer l'excès de liquide autour des poumons. Votre médecin insérera une aiguille creuse entre vos côtes jusqu'à la cavité pleurale. Cette aiguille sert à drainer le liquide.
Il s'agit d'un cancer primitif touchant la membrane qui tapisse la cavité pulmonaire et les poumons eux-mêmes. De fortes douleurs thoraciques, dues à un épanchement pleural, et un essoufflement en sont les signaux d'alerte.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.