Alors que la règle peut se résumer à une seule phrase devant « e », « i », « y » le g se prononce [j] (ce qui sous-entend que dans tous les autres cas il se prononce [g]). Cela est plus facile à retenir.
Il y a 3 manières d'écrire le son [ʒ] : – avec la lettre « j » devant toutes les voyelles en début ou milieu de mots. – avec la lettre « g » devant les voyelles e (e, é, è, ê), i, y. – avec les lettres « ge » devant les voyelles a, o, u.
G note une consonne chuintante sonore et se prononce comme un j devant les voyelles e, i, y, comme dans geler, agiter, gymnastique. Pour obtenir la même prononciation devant les voyelles a, o, u, on intercale un e entre le g et cette voyelle, comme dans geai, geôle, gageure.
La consonne g, lorsqu'elle est prononcée [ʒ], apparaît surtout à l'intérieur des mots mais aussi à l'initiale, principalement pour des raisons étymologiques. Elle est plus fréquemment utilisée devant les voyelles e, i et y que la consonne j. En fait, on la rencontre toujours dans les mots français devant i et y.
Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ]. Devant les voyelles a, o et u, le g se prononce [g]. On obtient le son [g] en ajoutant un u entre le g et les voyelles e ou i. Devant toutes les consonnes, g se prononce [g], sauf devant le n, le g se prononce [ɲ].
Le [ʒ] est une consonne qui se prononce avec les lèvres projetées en avant, comme si on soufflait les bougies de son gâteau d'anniversaire. Beaucoup de sons du français se prononcent avec l'avant de la bouche, les lèvres arrondies, projetées.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Gu suivi de e, é, ê ou i : prononcé [g]
Lorsque les lettres gu sont suivies des voyelles e, é, ê ou i, on les prononce généralement [g], comme la lettre g dans le mot gare.
En français. En français, le g se prononce [ʒ] quand il précède un e, un i ou un y, [ɲ] quand il précède un n, dans tous les autres cas il se prononce [g].
On trouve en français deux h : le h muet et le h aspiré. En français moderne, aucun des deux ne correspond à un son, et ce, même si l'on parle de h aspiré (il n'y a pas d'aspiration). Ce qui les distingue est que, dans le cas du h aspiré, on ne peut faire l'élision.
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
1Ce qui frappe l'ouïe, par l'effet de mouvements vibratoires rhythmiques et pendant quelque temps semblables à eux-mêmes, par opposition au bruit, où les mouvements sont confus, de durée et d'intensité inégales.
Prononciation. En français, J est une consonne fricative se prononçant [ʒ], comme dans « joue » ou « jardin ». Elle se prononce parfois [d͡ʒ] dans des mots empruntés à l'anglais tels que « jet-ski » ou « jazz ».
L'usage de ge- est superflu quand il est utilisé avec un nom qui n'est pas intrinsèquement masculin (ce qui inclut entre autres les noms de professions, d'animaux ainsi que les mots formés avec des suffixes tels que -an- et -ist-) : ainsi, au lieu de geamikoj, on peut dire plus simplement amikoj, à moins de vouloir ...
Dans de nombreux verbes, le son [j] s'écrit avec la lettre y.
La lettre g se prononce différemment devant a, o, u et e,i. Devant a, o et u → gu comme dans gare. Devant i et e → je comme dans génial. La lettre c se prononce différemment devant a, o, u et e,i.
On peut écrire le son (j) de plusieurs manières : Avec la lettre « j ».
Les Romains ont attribué l'invention du G au grammairien Spurius Carvilius, affranchi de Sp. Carvilius Ruga, qui, en l'an de Rome 523, donna le premier exemple connu d'une répudiation.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
L'ancien français pourrait être la clé de cette prononciation où le mot s'écrivait « segond ». D'après une explication de wiktionary, il s'agit d'un « phénomène de voisement intervocalique […] la consonne sourde [k], étant placée entre deux voyelles, s'est voisée en [ɡ]».
Règle. La lettre c se prononce comme un s devant les voyelles e, i, y, mais comme un k devant les voyelles a, o, u. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un s. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un k.
La lettre c peut faire [k] ou [s]. Si elle est placée devant les voyelles a, o et u, elle produit le son [k] (exemples : canard, confiture, curieux). Devant ces mêmes voyelles, il faut mettre une cédille pour obtenir le son [s] (exemples : agaçant, garçon, déçu).
Lorsqu'elle est prononcée [s], la lettre c prend une cédille devant les voyelles a, o et u. En général, le ç est à l'intérieur des mots, sauf dans les mots ça et çà.
À l'initiale du mot, CH se prononce <k> dans chaos, chénopode, chiasme, chlore, chœur, choléra, chrême, chrétien, chrome, chronique, chrysalide, etc. Toutes ces formes ont en commun de provenir d'étymons grecs en KH, pour la plupart parvenus jusqu'à nous par l'intermédiaire du latin.