La plèvre est une membrane fine et transparente, formée par deux feuillets qui revêtent les poumons et la partie interne de la paroi thoracique. Le feuillet qui recouvre les poumons est en contact étroit avec celui qui recouvre la paroi thoracique.
Le plus souvent, le symptôme révélateur est un épanchement pleural, un essoufflement, une toux persistante, une voix enrouée, une perte de poids inexpliquée, une perte d'appétit, une difficulté à avaler ou des vomissements, voire une douleur thoracique et une enflure du visage, cou, bras…
La plèvre est une membrane fine, constituée de deux feuillets, qui se situe au niveau des poumons. L'espace pleural situé entre ces deux feuillets contient une petite quantité de liquide appelé liquide pleural. La plèvre a pour fonction de protéger les poumons lors des mouvements respiratoires.
Le cancer de la plèvre est une tumeur maligne au niveau de la membrane qui entoure le poumon. Ce cancer est principalement causé par une exposition prolongée à l'amiante, un matériau qui a été largement utilisé avant son interdiction en France en 1997 en raison de ses dangers pour la santé.
Les pleurésies infectieuses sont souvent sérofibrineuses (présence d'un liquide non purulent dans la plèvre) ou purulentes. Le traitement comprend des séances de kinésithérapie respiratoire, un drainage pleural et des lavages en cas de pleurésie purulente, le traitement du germe responsable.
La pleurectomie
Cette opération est efficace après une thoracoscopie pour coller le poumon à la paroi thoracique en cas de pneumothorax récidivant. Elle est aussi réalisée pour traiter certaines tumeurs thoraciques.
La plèvre est une membrane fine et transparente, formée par deux feuillets qui revêtent les poumons et la partie interne de la paroi thoracique. Le feuillet qui recouvre les poumons est en contact étroit avec celui qui recouvre la paroi thoracique.
Les causes de l'épanchement sont très variables. Certaines sont extra thoraciques, comme la décompensation cardiaque, l'insuffisance rénale ou l'insuffisance hépatique. L'épanchement peut aussi être l'expression d'une maladie inflammatoire systémique comme la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus érythémateux.
Stade 4. Le cancer s'est propagé à d'autres parties du corps (métastases à distance). On parle aussi de cancer du poumon non à petites cellules métastatique.
Le cancer de la plèvre a une origine bien déterminée : une exposition l'amiante. Il s'agit d'un cancer primitif touchant la membrane qui tapisse la cavité pulmonaire et les poumons eux-mêmes. De fortes douleurs thoraciques, dues à un épanchement pleural, et un essoufflement en sont les signaux d'alerte.
Le liquide peut s'accumuler dans l'espace pleural en conséquence de troubles très divers, y compris des infections, des tumeurs, des blessures, une insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique, la formation de caillots sanguins dans les vaisseaux sanguins des poumons (embolie pulmonaire.
Les causes les plus fréquentes des épanchements transudatifs sont l'insuffisance cardiaque, la cirrhose avec ascite, et l'hypoalbuminémie (généralement due à un syndrome néphrotique). Les causes les plus fréquentes des épanchements exsudatifs sont la pneumonie, le cancer, l'embolie pulmonaire et la tuberculose.
Il touche davantage les hommes que les femmes (66 % d'hommes et 34 % de femmes). Son incidence est stable depuis 1980 chez l'homme mais en progression chez la femme du fait de l'augmentation du tabagisme féminin. Il peut atteindre des sujets jeunes (moins de 40 ans) car le tabac est parfois initié dès l'adolescence.
Il réalise l'anesthésie locale de la peau et de la paroi thoracique, introduit l'aiguille à biopsie dans l'espace pleural et prélève un petit fragment. On répète ce geste 3 à 5 fois. Ce geste est peu ou pas douloureux une fois l'anesthésie faite.
Dans 80 à 90 % des cas, la biopsie pleurale permet de diagnostiquer la tuberculose avec exactitude ; elle s'avère moins exacte s'il s'agit de diagnostiquer un cancer ou d'autres maladies.
Il s'agit d'une complication cardiovasculaire qui touche particulièrement les personnes âgées. Un œdème pulmonaire peut conduire à une insuffisance respiratoire et mettre en jeu le pronostic vital. Une prise en charge adaptée et rapide est indispensable.
Habituellement la ponction se fait au bloc opératoire, en position assise, l'aiguille est introduite en arrière sous la pointe de l'omoplate. Elle n'est pas douloureuse. Le liquide ou l'air est aspiré à la seringue.
une douleur localisée au niveau de la cage thoracique, allant d'une simple gêne à une douleur violente selon son importance, des difficultés à respirer (en particulier lors de l'inspiration) et une toux sèche. La gêne respiratoire, qui survient soudainement, génère une anxiété, une toux.
Les symptômes incluent une dyspnée (gêne respiratoire) et une douleur thoracique. Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une radiographie du thorax. Le traitement consiste généralement à drainer l'air avec un tube ou parfois un cathéter en plastique inséré dans le thorax.
d'un nerf : c'est ce que l'on appelle la névralgie intercostale. Il s'agit d'une irritation d'un nerf qui passe entre les côtes et qui peut provoquer une sensation de décharge électrique ou de pincement, surtout ressentie lors d'une inspiration profonde. Cela peut être augmenté en présence de stress ou d'anxiété.
Les virus et les bactéries couramment présents dans les voies nasales ou le pharynx des enfants peuvent infecter les poumons en cas d'inhalation. Ils se transmettent également par voie aérienne, par le biais des gouttelettes émises lors de la toux ou des éternuements.
Une poche de glace peut aussi aider à faire baisser l'inflammation. Si l'épanchement ne présente aucune complication, une période de repos peut être suffisante. Si le repos de l'articulation n'est pas suffisant, une ponction peut être indiquée pour évacuer le liquide de l'articulation.