La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s'accomplit l'ac- tion : Le poisson rouge est mort parce qu'on a oublié de le nourrir. Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen.
Proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de cause. Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par une conjonction de subordination exprimant la cause et est complément circonstanciel de cause de la proposition principale. Les feuilles tombent parce que l'automne arrive.
La subordonnée de cause, appelée aussi causale, est une proposition qui assume la fonction de complément circonstanciel de cause du verbe principal, dont elle dépend et avec lequel elle établit un rapport logique. Elle indique l'origine, la raison, la cause du fait principal.
Les conjonctions de subordinations des causes se composent de quinze conjonctions, ce sont : comme, parce que, puisque, étant donné que, vu que, du fait que, du moment que, dès lors que, attendu que, d'autant que, surtout que, sous prétexte que, ce n'est pas que, non que, et soit que… soit que.
Présentation. Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
On utilise 'à cause de' lorsqu'une embûche se met sur notre chemin. Je suis tombé malade à cause de la pluie. Ici, on utilise 'à cause de' car la pluie ne nous a pas arrangés !
Exemple : Il arrivait chaque jour en retard sous prétexte que sa montre retardait. Il est introduit par les locutions prépositives : à cause de(du), en raison de (du), grâce à, à force de + nom.
Exemple : Je m'arrête, car je suis fatiguée. Je m'arrête : pourquoi ? Parce que je suis fatiguée. La conséquence est un fait qui résulte d'un autre fait.
La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc. Le but est une intention, on le trouve souvent derrière « pour », « afin que », « de peur que », etc.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La proposition subordonnée circonstancielle de conséquence (ou consécutive) exprime le résultat du fait exprimé dans la principale. Cette proposition est introduite par une locution conjonctive de subordination ou annoncée dans la principale par un système corrélatif.
2) Dans une phrase complexe,
parce que, comme (obligatoirement placé en tête de phrase), parce que, puisque (suppose que la cause est déjà connue), étant donné que, sous prétexte que, d'autant que.
Ex : La fille que tu vois est dans ma classe. Que = pronom relatif. La proposition subordonnée qu'il introduit est une proposition subordonnée relative qui complète le nom « fille ». Quand que est une conjonction de subordination, il complète un VERBE.
Définition de la proposition subordonnée
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
Il existe différents compléments circonstanciels. Le CC de cause répond à la question pour quelle raison ? Le CC de but répond à la question pour quoi faire ?
Le but est le résultat que l'on veut atteindre. La conséquence est le résultat atteint.
La conséquence exprime l'effet logique provoqué par une action. Introduite par si bien que, c'est pour cela que, au point que, si… que, trop… pour que… Il a eu un empêchement si bien qu'il ne peut pas venir ce soir.
-'à cause de...'est une locution prépositive qui exprime une cause négative suivie d'un nom .
Il faut écrire : Quelle que soit la raison de son retard, nous ne pouvons l'accepter. Le terme qui fait problème est, dans notre phrase, suivi d'un verbe (« soit »). C'est là le signe qu'il doit s'écrire en deux mots. Le premier se mettra au féminin singulier pour s'accorder avec le sujet du verbe (« raison »).
Les compléments circonstanciels de cause répondent aux questions : pourquoi ?, à cause de quoi ? Ils indiquent donc la raison pour laquelle se déroule l'action : À cause de toi, j'ai tout perdu !
La subordonnée de condition (hypothétique) est une proposition qui assume la fonction de complément circonstanciel de condition du verbe principal dont elle dépend. Elle exprime la condition, l'hypothèse considérée comme réalisable ou non, dont dépend la réalisation du fait de la principale.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
La proposition subordonnée d'opposition établit un rapport d'opposition, mais non contradictoire avec le fait de la principale dont elle dépend. Introduite par une conjonction ou locution conjonctive de subordination, elle est en général à l'indicatif.