Les religions africaines traditionnelles ont en commun la croyance en un ensemble de divinités spécifiques aux différents aspects de la vie et de la nature, avec souvent un couple créateur ou un Dieu créateur initial, le culte des ancêtres et des esprits, la croyance en la réincarnation, et presque toujours un parcours ...
Le christianisme reste très minoritaire en Afrique du Nord, mais est devenu la religion la plus pratiquée en Afrique subsaharienne (63 %), devant l'islam (30 %) et les religions traditionnelles. Au début du XXI e siècle, l'Afrique est le continent où le nombre de chrétiens augmente le plus vite.
La tradition africaine, fondée sur la méthode patiente de la palabre, n'indique ni vainqueurs ni vaincus, mais elle s'efforce de trouver une solution satisfaisante pour tous sans faire appel à la majorité.
Le salut de l'humanité étant étroitement lié à la sauvegarde de la nature, une mystique du respect de la nature qu'offrent les religions traditionnelles africaines devra être au coeur de la question du développement en Afrique.
C'est au XX e siècle qu'un nouvel essor du christianisme apparaît en Afrique, surtout dans la partie subsaharienne où foisonnent de multiples confessions. Il est dû en partie à l'évangélisation des protestants évangéliques, mais aussi à l'émergence de prophètes créant de nouvelles Églises.
La religion africaine, considérée par les missionnaires comme un vulgaire animisme, fétichisme, paganisme, un ensemble de pratiques diaboliques, magiques et superstitieuses... a été parmi les autres phé nomènes culturels africains, le phénomène le plus combattu.
La première communauté chrétienne est constituée par les premiers juifs de Jérusalem qui ont reconnu le Messie en Jésus de Nazareth, puis par leurs successeurs au-delà de la ville sainte. Elle est dirigée d'abord par Pierre jusqu'en 44 puis par Jacques le Juste, « frère du Seigneur », jusqu'en 62.
Personne dont la foi religieuse est très prononcée.
Les maladies mystiques sont soit “diurnes” (ayant trait aux interdits et lois claniques) soit “nocturnes” (ayant trait à la sorcellerie). Est sorcier celui qui mange, mystiquement bien entendu, de la chair humaine, afin de se “ressourcer”.
Les mystiques distinguent nettement les paroles imaginatives des hallucinations auditives : elles ne frappent pas le tympan ; sans doute elles paraissent parfois venir du dehors, descendre du ciel par exemple : mais en général il semble qu'elles montent de l'intérieur de l'âme.
Les femmes africaines travaillent bien souvent plus que les hommes et assument la plupart des tâches ménagères (non rémunérées). Des études réalisées dans quatre pays d'Afrique subsaharienne ont ainsi révélé que les agricultrices travaillaient en moyenne 467 minutes par jours contre 371 minutes pour les agriculteurs.
Les valeurs culturelles africaines sont loin d'être exhaustives. Le sens du respect, mis de côté par la perversité de la génération présente ; l'éthique et l'amour du prochain sont des vertus que la tradition africaine considère comme priorité des priorités.
Les valeurs
A toutes ces valeurs précitées il convient d'ajouter évidemment celles qui ont trait aux qualités morales : le courage, l'honnêteté, l'obéissance, la politesse, le sens de la responsabilité, l'intégrité, etc.
Les États d'Afrique comptant le plus grand nombre de catholiques sont la République démocratique du Congo, le Nigeria, la Tanzanie, l'Ouganda, et l'Angola. Les pays du continent ayant les plus petites communautés catholiques sont la Somalie, Djibouti, les Comores, la Mauritanie, et le Niger.
Selon Pew Research Center, en 2010, le christianisme était de loin la plus grande religion du monde, avec environ 2,2 milliards de fidèles, soit près d'un tiers (31%) des 6,9 milliards de personnes vivant sur Terre. L'Islam suivait, avec 1,6 milliard de fidèles, soit 23% de la population mondiale.
La Côte d'Ivoire est un pays pluriconfessionnel : 42% de musulmans, 34% de chrétiens et une proportion non négligeable d'animistes. 72% des non-nationaux, représentant 24,2% de la population résidente, sont musulmans1.
Le signe le plus caractéristique est l'insomnie. Très souvent, dans les jours précédant la bouffée délirante, la personne ne dort plus ou très peu. Elle peut aussi avoir un comportement inhabituel ou ressentir une anxiété diffuse, qui peut se manifester par de la tristesse ou une certaine exaltation.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Qui relève de la pensée. Synonyme : abstrait, intellectuel, mental.
L'amour mystique renvoie aux prémices de la religion chrétienne. Certaines personnes sont attachées à un être divin et suivent ces préceptes à la lettre. L'utilisation du terme mystique dans ce sens strict lié à la religion est datée du XVIIe siècle. Cette expression relève un aspect secret, caché et intime.
Autrement dit, il n'y a pas de méthode pour devenir mystique. On naît tel, on le devient par suite du bon plaisir de Dieu ; cette grâce n'est jamais la conséquence automatique de nos efforts. Telle est la solution orthodoxe. Les quiétistes semblent penser le contraire.
Les orishas, ou orixás, sont des divinités originaires d'Afrique de l'Ouest, et plus précisément des traditions religieuses yorubas.
Dans l'évangile de Jean, Jésus de Nazareth demande au Père de les garder en son nom YHWH, ce nom qu'il lui a donné.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.