La philosophie, du grec ancien φιλοσοφία, signifiant littéralement « amour du savoir » et communément « amour de la sagesse », est une démarche qui vise à une compréhension du monde et de la vie par une réflexion rationnelle et critique.
Le ça désigne la part la plus inconsciente de l'homme, c'est le réservoir des instincts humains, le réceptacle des désirs inavoués et refoulés au plus profond. Ces besoins pulsionnels ont besoin d'être canalisés, notamment via la sublimation (qui consiste à réaliser de manière détournée un désir pulsionnel).
le ça: instance psychique, structure psychologique de l'inconscient (Freud). Le terme "ça" a été inventé par Georges Groddeck en 1923. Il fut repris et conceptualisé la même année par Sigmund Freud; Dans la théorie freudienne, l'instance psychique "ça" représente les intérêts pulsionnels de l'individu.
Le ça (en allemand : das Es) désigne, sous la forme substantivée du pronom personnel de la troisième personne du singulier, au genre neutre, l'une des trois instances de la seconde théorie de l'appareil psychique élaborée par Freud. Selon Laplanche et Pontalis, il « constitue le pôle pulsionnel de la personnalité ».
Le Ça, le siège des désirs et des pulsions refoulées, est guidé par le principe du plaisir. Le Moi, qui est le médiateur entre les deux autres instances, est guidé par le principe de Réalité. Le Surmoi, qui représente la conscience morale et l'intériorisation des interdits de l'enfance, agit comme le juge censeur.
On peut attribuer au surmoi le rôle de représentant de la Loi intérieure : il censure, maintient le refoulement des pulsions dans le ça. Et il est, ainsi, garant d'une bonne socialisation. Il entretient les jugements sur soi-même, tout comme la volonté de bien faire et de bien agir.
C'est la partie de la personnalité la plus consciente, toujours en contact avec la réalité extérieure. Le Moi s'efforce de faire régner l'influence du monde extérieur sur le ça. Soumis au principe de réalité, il a un rôle de régulateur et de médiateur. Ses opérations sont inconscientes (mécanismes de défense).
Son rôle est de préserver l'équilibre psychique du sujet en s'adaptant aux contraintes de la réalité extérieure. Une partie du Moi accède à la conscience alors qu' une autre partie est infiltrée par l'inconscient du fait des ressentis internes. Le moi est donc à la fois conscient et inconscient.
On peut faire évoluer son surmoi
Concrètement, le psychanalyste prend la place du Surmoi : lorsque le professionnel intervient, c'est comme si votre petite voix intervenait. Aussi, en faisant preuve de bienveillance à votre égard, il contribue à l'adoucir.
Dès lors, le moi ne serait pas maître dans sa propre maison : non pas qu'il habite une maison qui n'est pas la sienne, mais plutôt qu'il n'est pas en permanence en train de contrôler ce qu'il se passe chez lui.
Le moi va se trouver alors « dans un système de pensée appelé première topique » qui comprend le conscient, le préconscient et l'inconscient.
Le surmoi anthropologique, c'est donc la limite que la culture impose à l'individu pour qu'il renonce à la satisfaction immédiate de ses pulsions. Il n'y a culture que si chacun sait différer sa satisfaction, ou l'élaborer psychiquement à travers une représentation.
Nom commun. (Philosophie) Tout ce qui nous est extérieur, par opposition au moi métaphysique. Notion d'absolu, réalité psychique consensuelle qui dépasse/transcende certaines réalités du moi individuel. Réalité qui ne dépend pas de l'Ego personnel.
Le rôle premier de l'inconscient est de nous maintenir en vie. L'inconscient active chaque seconde toutes nos fonctions vitales (respiration, battement du coeur, système immunitaire…etc…). La fonction de l'inconscient agit sur notre physique. Toutes les actions vitales de notre corps se font naturellement.
Qu'est-ce que le subconscient ? Plusieurs mots en psychologie servent à décrire le psychisme humain. L'inconscient correspond à l'ensemble des phénomènes psychiques auquel notre conscience n'a pas accès. Par opposition, le conscient est la perception immédiate de notre état psychique.
« le Soi est la donnée existant a priori dont naît le Moi. Il préforme en quelque sorte le Moi. Ce n'est pas moi qui me crée moi-même : j'adviens plutôt à moi-même. » Le Soi est un concept limite qui regroupe en un même ensemble le conscient et l'inconscient : inconscient personnel et inconscient collectif.
Hume, au contraire, répond par la négative : le moi n'existe pas. L'homme n'est, en dernière analyse, que multiplicité de perceptions, sans aucune unité. Le fondement de ce refus de l'existence du moi n'est autre que sa théorie empiriste de la connaissance.
La question «qui suis-je?» englobe toutes les dimensions de l'existence, qu'elles soient temporelles ou spirituelles, y compris la quête de qui nous pourrions ou devrions être.
Pour obtenir des pouvoirs physiques, vous allez devoir rester en bonne forme physique. C'est un processus continu qui va vous amener à évoluer et à vous améliorer en permanence. Soulevez des haltères pour augmenter votre force.
La cible ultime des mécanismes de défenses est les émotions : « Le moi n'est pas seulement en conflit avec les rejetons du ça qui essayent de l'envahir pour avoir accès au conscient et à la satisfaction. Il se défend avec la même énergie contre les affects liés à ces pulsions instinctuelles.
« Le moi » est une invention de Pascal, qui prend acte en français d'une étonnante expression latine de Descartes, ego ille : ce moi ? le moi ?...
L'homme de Freud est « l'homme machine » mû et motivé physiologiquement. Mais,en second lieu, l'homme est aussi un être social, car il a besoin d'autres personnes pour la satisfaction de ses besoins, à la fois ses besoins libidinaux et ses besoins de conservation.
Le refoulement est, alors, défini comme un mode de défense contre les pulsions, considérées comme excitations intérieures à l'appareil psychique. Sa finalité consiste à éviter le déplaisir lié à l'irruption d'un excès d'énergie non maîtrisée.