1. Action sacrée par laquelle une personne, une communauté offre à la divinité, selon un certain rite, et pour se la concilier, une victime mise à mort (réellement ou symboliquement) ou des objets qu'elle abandonne ou brûle sur un autel. Synon. holocauste, immolation, oblation, offrande.
Différents types d'offrandes étaient offertes, telles que les offrandes pour le péché, données en réponse à la grâce de Dieu, ou les offrandes de remerciement, offertes en guise de reconnaissance pour la protection de Dieu et des bénédictions de santé, de prospérité, de puissance et du soutien.
— L'ordre de leur application est uniformément opposé à celui de leur institution. Il y a quatre grandes classes d'offrandes : 1° l'holocauste ; 2° l'offrande du gâteau ; 3° le sacrifice de prospérité ; 4° le sacrifice pour le péché.
Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d'un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l'honorer, minchah.
1. Don fait à la divinité ou déposé dans un temple avec une intention religieuse. 2. Don volontaire et, le plus souvent, modeste : Verser une offrande.
Le sacrifice est l'action sacrée par excellence. Il déploie la variété de ses formes entre l'offrande, qui en est le plus bas degré, et le martyre, où le sacrifiant s'offre lui-même comme victime.
Elle implique toujours un échange. Par exemple, l'offrande de nourriture aux moines mendiants est considérée comme un honneur et une chance qui attire la bénédiction sur celui qui la fait. C'est pourquoi les moines mendiants ne remercient pas leurs donateurs. »
12/02 "Le sacrifice qui plaît à Dieu, c'est un esprit brisé. Tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé."
« Offrir à Dieu soi-même et tout ce qui est à soi, c'est lui faire un présent et une offrande de soi-même, de toutes ses pensées, de toutes ses paroles, et de toutes ses actions, de tous ses biens, soit spirituels, soit temporels, en un mot de tout ce qu'on possède en ce monde », disait saint Jean-Baptiste de La Salle.
Origine. Dans la Bible, l'offrande est un acte de reconnaissance à Dieu. À l'époque de Moïse, Dieu a donné certaines prescriptions au peuple d'Israël. Il devait notamment lui apporter une part de sa richesse en guise de reconnaissance pour le pays que Dieu lui a donné pour héritage.
Sacrifice, present qu'on fait à Dieu, ou à ses Saints.
Le don prend alors la forme de commerce – ce mot signifiant quant à lui, originellement, toute forme d'échange de "bons procédés". Dans l'Ancien Testament, le sacrifice d'un animal est lié à l'expiation des péchés (comme l'indique l'épître aux Hébreux), mais scelle également l'Alliance entre Dieu et son Peuple.
L'offrande nous fournit l'occasion de donner à Dieu une part de ce qui nous appartient. Aux yeux de Dieu, l'intention de donner compte plus que l'acte même de donner. Même si l'on donne à regret ou par obligation, l'important pour Dieu, c'est que l'on participe à l'offrande.
Don que les fidèles offrent à un dieu, à Dieu pour l'honorer.
sacrifice
1. Offrande à une divinité et, en particulier, immolation de victimes. 2. Effort volontairement produit, peine volontairement acceptée dans un dessein religieux d'expiation ou d'intercession.
Le sacrifice nous prépare à vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons devenir dignes de vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons recevoir la vie éternelle.
Le peuple de Dieu apporte des offrandes au Seigneur parce que c'est sa volonté d'amour pour lui. Tout comme la dîme, les offrandes doivent être apportées à Dieu comme un acte d'obéissance respectueuse.
Malachie 3:7-12: Israël reçoit le commandement de payer la dîme et les offrandes, et la promesse de grandes bénédictions. Doctrine et Alliances 119:3-4: Les saints doivent donner annuellement en dîme un dixième de leur revenu.
D'après la Bible, le sacrifice aurait eu lieu dans la région de Moriah, sur une montagne que Dieu lui-même aurait indiquée à Abraham. Selon les Chroniques, c'est au mont Moriah, situé à Jérusalem, qu'aurait été construit, pour abriter l'Arche d'alliance*, le Temple de Salomon, au xe siècle avant J. -C.
« Pour être bénis, nous avons besoin de sources et de vases de bénédiction. Or, Dieu fait souvent, de notre frère, de notre sœur, de notre prochain, une source de bénédiction. Acceptons donc notre prochain tel qu'il est, afin qu'il puisse être une bénédiction. »
Les sacrifices faits aux dieux, que ce soit celui de vies humaines ou ceux d'objets, de fleurs et de nourriture ont pour objectif d'obtenir de ceux-ci des faveurs ou une protection. Il y a sacrifice lorsque l'on offre à autrui quelque chose qui a de la valeur ou qui nécessite une privation.
La vie réelle n'est pas faite seulement d'une inattendue démonstration d'amour une fois ou deux par an, mais chaque jour en battant le destin ensemble, en ouvrant le ceour et en parlant des choses concrètes de la vie. Cela c'est le plus coûteux et vrai sacrifice.
Sur le devant ou sur le couvercle de la boîte, écrivez «Dîme» pour la petite partie et «A dépenser ou épargner» pour la grande partie. Procurez-vous une enveloppe et un feuille de dîme pour chaque enfant. Préparez-vous à chanter ou à dire les paroles de «A Dieu je veux donner ma dîme» (Chantons ensemble, B-47).
Le prêtre dit : « Priez, frères et sœurs : que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre, soit agréable à Dieu le Père tout-puissant. » L'assemblée, à son tour répond : « Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice de louange à la gloire de son nom, pour notre bien et celui de toute l'Église ».
Les offrandes ont lieu dans un endroit sacré. Dans un temple, un stūpa, ou par exemple au bord des eaux sacrées du Gange en Inde. Durant une offrande, vous pouvez voir les fleurs offertes en couronne, mais la musique, le chant ou la danse ont également leur place.