Le PROPOFAN est une association de 3 principes actifs: · paracétamol : ANALGESIQUE ET ANTIPYRETIQUE, · dextropropoxyphène : ANALGESIQUE OPIOIDE, · caféine : PSYCHOSTIMULANT.
Traitement symptomatique des douleurs d=intensité modérée à intense, ou ne répondant pas à l=utilisation d=antalgiques périphériques seuls.
PARIS (Reuters) - Deux vedettes des armoires à pharmacie françaises, le Di-Antalvic et le Propofan, terminent leur carrière ce mardi avec leur retrait du marché en raison des risques de décès liés à un surdosage.
1 à 2 comprimés par prise. En moyenne 4 comprimés par jour répartis en 2 à 4 prises. Ne pas dépasser 6 comprimés par jour. Les prises doivent être espacées de 4 heures au minimum, au mieux de 8 à 12 heures.
Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, sous surveillance.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
La caféine est un inhibiteur de la phosphodiestérase. Cette enzyme est responsable de l'inactivation de la 3', 5' adénosine monophosphate cyclique (AMPc). L'accroissement du taux d'AMPc intracellulaire joue le rôle de médiateur responsable des principales actions pharmacologiques de la caféine.
Troubles digestifs
Prescrit quand les antalgiques de palier 1 (paracétamol, aspirine ou anti-inflammatoire non stéroïdien) ne sont pas assez efficaces, le tramadol peut être responsable de petits troubles de la sphère digestive, surtout des nausées, mais aussi une constipation ou une sécheresse de la bouche.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont des médicaments qui permettent de réduire ou de supprimer les symptômes liés à un phénomène inflammatoire. Certains sont disponibles sans ordonnance. Les AINS ne sont cependant pas sans risque et peuvent avoir des effets secondaires.
Ce médicament est un antalgique de la famille des opioïdes. Il combat la douleur en agissant directement sur la perception de la douleur par le cerveau. Il est utilisé dans le traitement de la douleur.
L'Agence européenne du médicament a rendu un avis favorable au retrait progressif du marché européen du Di-Antalvic. L'anti-douleur, qui peut provoquer une intoxication, est déjà interdit en Suède et au Royaume-Uni.
Ce médicament contient deux antalgiques : le paracétamol, qui empêche la transmisssion de la douleur, et un opiacé (la codéine). L'effet antalgique de la codéine est dû à sa transformation en morphine au niveau du foie. Il renforce l'action du paracétamol en agissant sur la perception de la douleur par le cerveau.
Les antalgiques de niveau II (opiacés faibles) sont la codéine, la dihydrocodéine et le tramadol. Ils sont destinés aux douleurs d'intensité moyenne ou aux douleurs non soulagées par les antalgiques de niveau I. Ils sont souvent associés au paracétamol.
Ce médicament contient de la caféine. On considère qu'une tasse de café contient de 60 à 100 mg de cette substance. Ainsi, pour limiter les effets indésirables de la caféine (excitation, tremblements, insomnie, palpitations), il est préférable de limiter la consommation de boissons qui en renferment (café, thé...).
Prenez le premier comprimé de pantoprazole 1 heure avant le petit déjeuner et le deuxième comprimé de pantoprazole 1 heure avant le repas du soir. Suivez les instructions de votre médecin et prenez soin de lire les notices concernant ces antibiotiques. La durée habituelle du traitement est d'une à deux semaines.
Le traitement de l'ulcère repose sur l'arrêt des médicaments gastrotoxiques (AINS, aspirine) et sur la réduction de la sécrétion acide de l'estomac au moyen de médicaments anti-sécrétoires tels les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) ou les antagonistes des récepteurs H2 de l'histamine.
Quel anti-inflammatoire pour l'arthrose ? Il existe deux types d'anti-inflammatoires, les non-stéroïdiens (ex : ibuprofène) et les stéroïdiens (corticoïdes). Les premiers sont utilisés dans le traitement des crises d'arthrose et ne peuvent pas être pris sur une trop longue durée.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
La caféine stimule le cerveau ; elle a un effet positif sur l'humeur et retarde la fatigue. Elle aide aussi à mieux exécuter les tâches cognitives simples et les tâches physiques qui demandent de l'endurance, mais non celles qui exigent une grande dextérité manuelle (à cause du tremblement lié à la caféine).
L'excès de caféine provoque de nombreux effets indésirables : nervosité, agitation, anxiété, insomnie, irritation de l'estomac, diarrhée, etc. L'usage régulier de fortes doses de caféine entraîne un phénomène de dépendance dont le sevrage entraîne maux de tête, somnolence, nervosité, anxiété et irritabilité.
La caféine augmente la perte de minéraux et d'eau, ce qui favorise les crampes. Elle peut aussi, dans certains cas, induire des douleurs musculaires, voire une atteinte des fibres, ou rhabdomyolyse.
Au-delà de 4 grammes par jour, le paracétamol peut être toxique pour le foie. Mais même en-deçà de ces doses, cet antalgique pourrait présenter d'autres effets secondaires préoccupants, chez les personnes qui en consomment sur une base régulière.
Le froid. L'application de compresses ou de linges froids contribue à réduire l'enflure et à apaiser la douleur à court terme. Appliquez-les sur la région sensible ou enflée pendant 10 minutes, toutes les heures. Suivez bien les directives du médecin si vous utilisez cette méthode chez les bébés et les jeunes enfants.
Quand une douleur chronique résiste à tout traitement, il reste une solution : les thérapies « psychologiques », comme la méditation, qui apprennent au patient à vivre différemment avec la douleur pour ne plus la subir.