TISSULAIRE, adj. ANAT., BIOL., PHYSIOL. Relatif aux tissus d'un organisme vivant.
tissulaire adj. Qui a rapport aux tissus organiques.
L'expansion tissulaire est une technique utilisée par les chirurgiens plasticiens et reconstructeurs. Elle permet d'induire dans l'organisme une croissance supplémentaire de peau, d'os ou d'autres tissus.
L'ingénierie tissulaire comprend l'étude des forces biologiques, physiques et chimiques qui interviennent dans le développement des tissus, les blessures et la cicatrisation des plaies.
La thérapie cellulaire consiste à greffer des cellules afin de restaurer la fonction d'un tissu ou d'un organe. L'objectif est de soigner durablement le patient grâce à une injection unique de cellules thérapeutiques.
La biologie cellulaire (anciennement appelée cytologie) est une discipline scientifique qui étudie les cellules, du point de vue structural et fonctionnel, et les utilise pour des applications en biotechnologie.
Une tumeur bénigne a généralement une forme régulière et lisse. Elle ne se propage pas à d'autres parties du corps, et ne peut pas donner de métastases. Si on décide de l'enlever, il n'y a pas de risque qu'elle réapparaisse. A titre d'exemples, un grain de beauté et une verrue sont des tumeurs bénignes.
Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
Pourtant, certaines tumeurs sont bénignes : on parlera alors de papillome intracanalaire, d'adénofibrome, de lipome ou plus rarement de tumeur phyllode.
Certaines tumeurs peuvent devenir « malignes » ou cancéreuses, voire agressives, c'est-à-dire former des métastases1. Si l'on connaît assez bien les mécanismes qui conduisent une tumeur maligne à devenir agressive, l'évolution d'une tumeur bénigne vers une forme maligne est moins documentée.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Les astrocytomes de grade 4, appelés aussi « glioblastomes », sont les tumeurs les plus agressives.
Les tumeurs bénignes (comme par exemple les grains de beauté, les verrues…) se développent de façon localisée sans altérer les tissus voisins. Les tumeurs malignes (cancer) ont tendance à envahir les tissus voisins et à migrer dans d'autres parties du corps, produisant des métastases.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Par ailleurs, les cancers du côlon et du rectum, du col de l'utérus, du sein et de la prostate demeurent des cancers de bon voire très bon pronostic, avec une survie nette à 5 ans estimée respectivement à 63% pour les deux premiers, 88% pour le sein et 93% pour la prostate chez les personnes diagnostiquées en 2010-2015 ...
L'IRM est un examen courant, de plus en plus utilisé dans le diagnostic et le suivi des cancers. L'IRM permet, si nécessaire, d'explorer les vaisseaux sanguins (angio-IRM). La spectro-IRM (ou spectroscopie par résonance magnétique) permet quant à elle une analyse physico-chimique des cellules cancéreuses.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant. Il se développe plusieurs mois, voire plusieurs années avant l'apparition des premiers symptômes.
Tout dépend du type de cancer, du stade auquel il est pris en charge, de son évolution, etc. Mais grâce aux progrès de la médecine et à des traitements de plus en plus performants, il est possible de guérir environ 60% des cancers.
Les différents types de cellules sont : Cellule eucaryote. Cellule procaryote. Cellule animale.
Les virus ne sont pas des cellules et sont considérés par la majorité des chercheurs comme non-vivants.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Le cancer très lent, stagnant, ou régressif, qui n'aurait pas impacté la vie de la patiente, a un temps de séjour très long dans l'organe et sera de ce fait préférentiellement détecté par des dépistages répétés. Son diagnostic est inutile pour la patiente, il sera pourtant traité avec la même agressivité.
Le Pr Dominique Marananchi rappelle que les cancers diagnostiqués lors d'un dépistage sont ceux qui se guérissent le mieux. Les cancers de la prostate, du sein, du testicule, de la thyroïde, et le mélanome ont le meilleur pronostic. La survie à cinq ans est supérieure ou égale à 80%.