Première personne du singulier du passé simple de être. Deuxième personne du singulier du passé simple de être.
Troisième personne du singulier du passé simple du verbe être. Exemple : Il fut obligé de dire la vérité sur son absence au cours de mathématiques. Tonneau réalisé avec des planches de bois dans lequel on y stocke du vin ou autre alcool.
Locution adjectivale
Passé ou au conditionnel de quel qu'il soit.
1. Partie du tronc d'un arbre située entre le sol et la première grosse branche. 2. Tonneau où l'on met le vin, le cidre, l'eau-de-vie, etc.
On utilise ce temps pour parler d'une époque révolue, d'une personne disparue. On dit par exemple il fut un temps où… , il fut président dans les années 1970 , il fut enterré à Brest . Ou bien aussi, avec un autre sujet : ce fut un plaisir de travailler avec vous .
Il faut écrire eut et fut, sans accent quand on peut dire au pluriel : eurent et furent. ex : Quand il eut fini son travail, il partit. ( quand ils eurent fini....) Il faut écrire eût et fût avec accent quand on peut dire au pluriel : eussent ou fussent.
Le sens de ce genre de fausse question (quel ne fut pas..., quelle ne fut pas...) est effectivement un sens exclamatif ! Quelle ne fut pas ma surprise... = j'ai eu une grosse surprise...
Dans cette expression qui apporte une pointe d'humour à une phrase, il ne faut pas oublier l'accent circonflexe sur le « u » de l'auxiliaire « avoir ». Qui l'eût cru ? Le verbe « croire » est ici au conditionnel passé deuxième forme. Il a exactement les mêmes terminaisons que le plus-que-parfait du subjonctif.
Pour le passé simple – qui est un temps du passé, il fut, ce fut…: l'accent doit être aux 1ère et 2e personnes du pluriel ; nous fûmes, vous fûtes. Pour l'imparfait du subjonctif, l'accent est en effet à la 3e personne du singulier : je ne pense pas qu'il fût content.
Résumé : Il n'y a pas d'accent circonflexe sur « fut » et « eut » au passé simple et au passé antérieur de l'indicatif. Il y a un accent circonflexe sur « fût » et « eût » au subjonctif imparfait et au subjonctif plus-que-parfait.
Un fût (ou fut, selon la réforme de l'orthographe de 1990) est un contenant de forme cylindrique destiné au transport de marchandises en vrac telles que les produits alimentaires ou chimiques. Il a généralement une large ouverture.
Les verbes auxiliaires sont toujours du 3e groupe : avoir, être, aller, pouvoir, etc.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue.
La virgule s'emploie obligatoirement entre les mots, les syntagmes et les propositions qui sont coordonnées sans conjonction (mais, or, et, etc.). On parle alors de juxtaposition. - On monte, on descend, on crie, on s'agite en tous sens.
L'imparfait du subjonctif se forme à partir de la troisième personne du singulier du passé simple. On ajoute ensuite les terminaisons qui sont toujours les mêmes aux trois groupes : -sse, -sses, -^t (attention de ne pas oublier l'accent circonflexe), -ssions, -ssiez, -ssent.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Si la phrase commence ainsi, on emploiera le passé simple (fut), et non pas le subjonctif (fût). ==> Ce fut un vrai plaisir.
On ne met pas de t au participe passé eu . L'orthographe il a eut n'est pas correcte.
Rodrigue, qui l'eût cru ? Chimène, qui l'eût dit ? Que notre heur fût si proche et sitôt se perdît ?
Qui aurait cru qu'un jour, en frappant à ta porte, En laissant derrière moi des souvenirs éteint, Je ne pouvais penser quand t'aimant de la sorte, J'allais me retrouver face à mon destin...
Tu me l'as fait croire, patate noire !" ou "Tu m'as crue, patate crue ! Tu me l'as fait croire, patate noire !".