L'hépatite auto-immune (HAI) est une maladie inflammatoire du foie de cause inconnue mais apparaissant sur un terrain génétique de prédisposition des maladies auto-immunes. La maladie évolue vers la destruction progressive du foie avec la constitution d'une cirrhose.
2) certains cas d'hépatite auto-immune vrais sont précédés d'infections virales telles que la rougeole, les infections à cytomégalovirus ou à Epstein Baar virus mais aussi des infections par le virus de l'hépatite A ou C ; 3) d'autres facteurs déclenchants classiques sont les médicaments.
Certaines personnes se plaignent de fatigue, de somnolence, ou de douleurs variées dans les muscles ou les articulations. Plus rarement, un ictère (jaunisse) constitue le premier symptôme. Comme la plupart des hépatites chroniques, l'évolution en l'absence de traitement peut se faire vers la cirrhose.
L'origine des maladies auto-immunes reste mal connue. Une association de plusieurs facteurs environnementaux, hormonaux, génétiques, médicamenteux, infectieux et psychologiques est fort probable.
Des effecteurs de l'immunité — anticorps ou cellules — engendrent alors des lésions cellulaires ou tissulaires responsables de symptômes plus ou moins sévères. Selon la nature de ces effecteurs, les lésions touchent un organe particulier (foie, pancréas, neurones...) ou différents tissus au sein de l'organisme.
L'hépatite auto-immune (HAI) est une maladie inflammatoire du foie de cause inconnue mais apparaissant sur un terrain génétique de prédisposition des maladies auto-immunes. La maladie évolue vers la destruction progressive du foie avec la constitution d'une cirrhose.
Diabète de type 1, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, psoriasis, lupus érythémateux disséminé, vitiligo, maladie de Crohn, syndrome de Guillain-Barré…
Devant des douleurs articulaires ou musculaires, les traitements de fond utilisés le plus souvent sont l'hydroxychloroquine, le méthotrexate, le léflunomide. Devant des atteintes viscérales, les traitements de fond utilisés sont l'azathioprine ; le mycophénolate mofetil, le cyclophosphamide.
Les cancers peuvent être à l'origine de manifestations auto-immunes dont le champ d'expression est varié. Les liens étroits entre auto-immunité et lymphogenèse sont peu à peu démantelés, ces 2 événements pouvant correspondre aux facettes d'un même processus.
Le rhumatologue est le médecin spécialiste des affections musculosquelettiques, c'est-à-dire des affections touchant les os, les muscles, les articulations, les tendons et les tissus adjacents.
L'hépatite B est une infection virale qui s'attaque au foie et peut entraîner aussi bien une affection aiguë que chronique.
Les personnes ayant de graves nausées et des vomissements sont à risque de déshydratation, de déséquilibre des électrolytes, de ralentissement du métabolisme et de perte de poids.
L'hépatite C est plus grave que l'hépatite A et beaucoup plus grave que l'hépatite B. L'hépatite A se transmet par contact avec une personne qui ne s'est pas lavé les mains après avoir été à la toilette, ou par de la nourriture ou de l'eau contaminée. Elle n'entraîne pas d'infection ou de lésion hépatique à long terme.
Veillez donc à consommer suffisamment de produits riches en fer comme la viande rouge (bœuf, chevreuil, agneau, mouton...), le boudin noir ou les abats (rognons d'agneau ou de porc, foie de volaille...) sans pour autant en abuser (pas plus de 500g par semaine).
Pains, biscottes, céréales, pâtes, riz, légumes secs, pommes de terre : ils doivent représenter presque la moitié de l'apport énergétique de la journée. Pour une bonne digestion, évitez le pain trop frais, Fruits et légumes : pour un apport suffisant en vitamine C, consommez une crudité à chaque repas.
L'hépatite C est une affection hépatique d'origine virale. Le virus de l'hépatite C, ou VHC, est responsable d'environ 20 % des cas d'hépatites aiguës et de 70 % des cas d'hépatites chroniques, une cause majeure de cirrhose et de cancer primitif du foie.
Bien que la fatigue et la douleur accompagnent la plupart des maladies auto-immunes, il faut savoir qu'il n'existe pas de symptômes généraux mais des symptômes particuliers au type d'atteinte.
Un déficit immunitaire se caractérise par un affaiblissement des défenses de l'organisme contre de nombreuses attaques par des bactéries, des virus, des champignons ou par des cellules cancéreuses. Il peut être primaire, souvent d'origine génétique, ou secondaire à de nombreuses pathologies.
Le système immunitaire est programmé pour tolérer le soi (les constituants du corps). En l'absence d'agressions, il se retournerait contre l'organisme car il n'aurait 'que ça à faire'. Or, on sait également qu'il est programmé pour n'avoir rien à faire et s'en accommode très bien", continue-t-il.
Les minéraux : le fer, le cuivre, le sélénium ou encore le zinc sont des minéraux indispensables qui contribuent au bon fonctionnement du système immunitaire. On les retrouve dans la viande, le poisson, les légumineuses ou encore les céréales complètes.
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie inflammatoire qui peut affecter de nombreuses articulations. Il s'agit d'une maladie auto-immune où le système immunitaire — qui, normalement, protégerait le corps contre les infections — s'attaque plutôt à la membrane qui recouvre les articulations.
Une hépatite est une inflammation du foie causée par des substances toxiques, ou par des virus (majorité des cas). A ce jour, 5 virus provoquant une infection ciblée et une inflammation du foie ont été identifiés.