Le syndrome d'hypotension intracrânienne est caractérisé par la survenue de céphalées majorées en orthostatisme. Ces céphalées sont majorées en orthostatisme, par lesefforts de toux, le rire et lors des manoeuvres de compression des veines jugulaires.
L'hypotension intracrânienne spontanée (HIS) est une anomalie de répartition des volumes intracrâniens, due à une fuite rachidienne de liquide céphalorachidien (LCR), au dépend des espaces sous-arachnoïdiens qui ne peuvent plus assurer l'interface entre le névraxe et l'enveloppe ostéoméningée.
L'hydrocéphalie se manifeste par une quantité trop importante de liquide céphalo-rachidien dans le cerveau. Chez l'adulte, on distingue l'hydrocéphalie aiguë, chronique et à pression normale. Parmi les symptômes, elle provoque des maux de tête, nausées et vomissements.
Réduction de la pression intracrânienne
Les médecins prescrivent souvent de l'acétazolamide ou du topiramate par voie orale pour aider à réduire la pression intracrânienne. L'acétazolamide et le topiramate sont efficaces car ils réduisent la quantité de liquide céphalorachidien produit dans le cerveau.
Question 3 – Quel est le seuil de traitement de l'hypertension intracrânienne ? La valeur normale de la PIC est comprise entre 0 et 10 mm Hg. Plusieurs seuils de traitement de l'HIC ont été proposés (15, 20, 25 mm Hg).
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
L'hypotension ne s'accompagne pas toujours de signes avant-coureurs. La personne ressent le plus souvent une fatigue, voire une faiblesse musculaire, des étourdissements.
L'hydrocéphalie est parfois désignée sous l'appellation fautive « tête d'eau ». L'hydrocéphalie est une pathologie dans laquelle un excès de liquide céphalorachidien s'accumule dans les cavités du cerveau appelées « ventricules ».
L'hydrocéphalie est traitée grâce à une intervention chirurgicale, réalisée par un neurochirurgien, sous anesthésie générale. L'objectif de l'intervention est de normaliser la pression dans le cerveau et de créer une circulation pour que l'écoulement du liquide cérébro-spinal soit optimal.
L'insuffisance cardiaque : en présence d'une hypertension, le cœur travaille davantage pour envoyer le sang dans toutes les artères du corps. Au bout d'un certain temps, il devient moins performant et se fatigue. Le besoin du cœur en oxygène devient plus important.
La PPC correspond à la différence entre la pression artérielle moyenne (PAM) et la PIC: PPC = PAM-PIC.
Le médicaments le plus souvent prescrit est la fludrocortisone (Florinef®) : elle entraîne une augmentation du volume sanguin. La midodrine peut aussi être utilisée 30 minutes avant le lever, par exemple, puis à 2 ou 3 moments de la journée. En cas d'hypotension légère, la pyridostigmine peut aussi être prescrite.
Chez les patients souffrant d'hypotension spontanée, une IRM peut mettre en évidence la fuite de LCR ou une méningocèle. Si la brèche n'est pas localisée, le blood-patch lombaire est recommandé en première intention.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
C'est une réaction inflammatoire du corps qui essaie d'acheminer plus de sang vers la région blessée. Dans le cas du cerveau, cela exerce une pression sur le tissu, ce qui entraîne des dommages. L'œdème cérébral peut mettre la vie en danger si l'enflure n'est pas gérée rapidement.
L'hydrocéphalie est la conséquence d'un trouble de la circulation ou de la résorption de ce liquide cérébro-spinal dans les ventricules du cerveau et dans les méninges. Cela peut être dû à une anomalie de sa circulation (blocage par obstacle) ou de sa réabsorption.
L'hypotension artérielle est une condition fréquente, qui grève la morbidité et la mortalité cardiovasculaires et générales de nos patients. Les causes les plus fréquentes en sont les médicaments, l'hypovolémie quelle que soit son origine, ou une neuropathie autonome (maladie de Parkinson, diabète…).
L'hypotension postprandiale est plus fréquente en cas de diabète, d'insuffisance cardiaque ou rénale ou de maladie de Parkinson. Elle touche principalement les personnes âgées souffrant par ailleurs d'hypertension artérielle2.
On parle généralement d'hypotension artérielle lorsque la tension artérielle systolique (le premier des deux chiffres indiquant tension artérielle) est inférieure à 90 mm Hg. Une valeur tensionnelle systolique de moins de 50 mm Hg indique une hypotension artérielle sévère.
Les causes possibles sont : la sclérose en plaque, l'accident vasculaire cérébral, les maladies inflammatoires et dégénératives du système nerveux central, la maladie de Parkinson.
L'effort constant ou la tension pour voir des images nettes provoque des maux de tête et le lien n'est pas souvent fait avec des problèmes venant des yeux. Moins commun, mais également l'une des causes de maux de tête: le strabisme non diagnostiqué, mais latent.
La céphalée de tension se manifeste souvent par une douleur vive et brève derrière la tête au niveau du cou, mais qui peut aussi se prolonger. Ce type de mal de tête peut aussi être frontal et persistant.
Hypertension intracrânienne : de quoi s'agit-il exactement ? L'hypertension intracrânienne correspond à l'augmentation importante de la pression à l'intérieur de l'encéphale, partie du système nerveux central localisée à l'intérieur du crâne.