La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
Pour exprimer le but, nous avons : -La préposition pour et les locutions prépositives : dans le but de, dans l'intention de et en vue de dans un groupe nominal. Pour la bonne marche du service, nous vous demandons d'arriver à l'heure.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s'accomplit l'ac- tion : Le poisson rouge est mort parce qu'on a oublié de le nourrir. Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de temps est introduite par une conjonction de subordination exprimant le temps et est complément circonstanciel de temps de la proposition principale. Les feuilles tombent quand l'automne arrive.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
comme, parce que, sous prétexte que, en raison de, etc. ainsi que, autant que, bien plus que, comme, de même que, davantage que, etc. bien que, même si, quand bien même, quoique, etc. à condition que, à moins que, dans la mesure où, pourvu que, pour autant que, si, etc.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
Le but est le résultat, l'objectif que l'on cherche à atteindre. Son expression se fait par l'intermédiaire d'un complément circonstanciel de but. Le complément circonstanciel de but est un complément qui nous renseigne sur la finalité, le but dans lequel une action est menée.
1. Point matériel pris pour cible et qui constitue l'objectif, la limite, le terme d'une trajectoire, d'un mouvement : La balle passa à côté du but. 2. Ce pour quoi quelque chose est conçu, utilisé ou pratiqué ; objet, fin : La gymnastique a pour but d'assouplir le corps.
Les compléments circonstanciels de but répondent aux questions : pourquoi ?, dans quel but ? Ils indiquent donc l'intention, l'objectif visé par l'action : Ils jouent pour la qualification.
Le but est le résultat que l'on veut atteindre. La conséquence est le résultat atteint.
Afin de, avec pour objectif de.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
Pour donner la nature d'une proposition subordonnée, on analyse la classe grammaticale du mot introducteur ou, s'il n'y en a pas, le mode du verbe noyau. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination : que, quand, lorsque, comme, parce que, pour que…
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
Deux propositions sont coordonnées si elles sont placées de part et d'autre d'une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni et car) ou d'un adverbe de liaison (ainsi, aussi, en effet, d'ailleurs, ensuite, puis, enfin, finalement).