Pour aider cette personne, proposer lui d'autres manières de prendre soin d'elle. Il peut s'agir d'un moment de détente (massage, yoga), de plaisir gustatif (un plat qu'il/elle affectionne), d'une balade dans la nature : tout ce qui peut lui faire du bien sans avoir recours à l'alcool.
Quand la situation commence à devenir ingérable, il peut être conseillé de recourir à une aide professionnelle. Cela ne signifie toutefois pas que la consommation problématique se terminera immédiatement. Tout d'abord, le buveur peut nier qu'il y ait un problème et donc continuer à boire.
Premièrement, l'un des signes que votre adolescent boit de l'alcool est que, après avoir passé la nuit antérieure avec des amis, il peut avoir des difficultés à se lever le matin. Cela signifie simplement que vous devez être à l'affût des signes de gueule de bois.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Cela peut être un signe de diabète. Car lorsque l'organisme ne peut pas utiliser le sucre, celui-ci file dans les reins et entraîne l'eau avec lui. Le diabète est repérable par une bandelette urinaire qui montre du sucre dans les urines. Bien sûr, il est normal que les enfants réclament plus souvent à boire en été.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit “cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie”. On appelle cela “le déclic”.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
Pour l'aider à prendre conscience qu'elle doit se soigner vous pouvez privilégier le dialogue en lui parlant de vos inquiétudes, de ce que vous ressentez,lui dire combien vous l'aimez et les craintes que vous avez. Pour cela choisissez un moment favorable et calme, elle ne doit pas être sous l'emprise de l'alcool.
Réussir à en parler et maintenir le dialogue
Lui parler, donc, quand elle n'a pas bu, sans colère, sans tenter de lui faire admettre qu'elle a un problème avec l'alcool, juste pour lui exprimer votre angoisse, vos besoins et vos espoirs.
Depuis février 2013, le nalméfène (Selincro®) dispose d'une autorisation européenne de mise sur le marché pour le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est remboursé par la Sécurité sociale depuis septembre 2014. Ce médicament agit sur le système de récompense en diminuant l'envie irrépressible de boire.
Si le patient se sent prêt à réduire ou cesser sa consommation d'alcool, le médecin lui conseille en général de consulter un spécialiste en alcoologie, soit dans un service hospitalier spécialisé, soit dans un Centre de Soins, d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA).
Des services d'écoute téléphonique
Si vous avez un problème avec l'alcool, il faut oser en parler. Vous pouvez le faire, de manière anonyme, en appelant des services d'écoute. Fil Santé Jeunes : 0800 235 236 (tous les jours de 9h à 23h). Appel gratuit depuis un poste fixe.
Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence. Après 24 heures, les symptômes de sevrage atteignent un pic et, après trois jours, le pire est passé. Cependant, les idées noires et l'insomnie peuvent persister pendant plusieurs semaines.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Reconnaître sa dépendance à l'alcool est une première étape qui peut prendre du temps. En effet, pour sortir de l'alcoolisme, il faut apprendre à changer de vie et souvent modifier son rapport aux autres et donc être prêt à le faire et avoir conscience qu'il y a un problème.
La passiflore, plante originaire du Mexique et d'Amérique du Sud, peut être aussi utilisée en tisane pour ses vertus sédatives et apaisantes car elle est considérée comme un anxiolytique naturel.
En stimulant l'activité de certaines enzymes, la racine de Kudzu permet de lutter contre le stress oxydatif produit par la consommation de cigarettes et d'alcool et ainsi, limite leurs effets néfastes.
La pauvreté, l'isolation sociale, une éducation déficiente et la timidité peuvent aussi constituer des facteurs de risque. En outre, la façon dont le corps d'une personne traite l'alcool peut avoir des répercussions sur le risque de dépendance à l'alcool.
L'alcool détruit non seulement la santé physique et psychique des personnes dépendantes, il détruit également ses relations familiales et amicales, entraîne la perte d'emploi ainsi que des pertes matérielles et une dégradation de la personnalité.
L'hyperhydratation peut survenir lorsque la consommation d'eau est supérieure aux besoins de l'organisme. Les personnes qui boivent trop d'eau pour éviter une déshydratation, et particulièrement les athlètes, peuvent développer une hyperhydratation.
L'alcool ne fait pas qu'enivrer, il désinhibe aussi. C'est pourquoi, lorsqu'on est saoul, on prend beaucoup plus facilement des décisions irréfléchies et on agit plus rapidement que d'habitude.