Vous pouvez agir avec votre enfant en l'encourageant à parler de ce qu'il vit, en lui demandant ce qu'il souhaite. Vous pouvez lui expliquer que les adultes sont là pour l'aider et faire cesser les violences qu'il subit.
Favorisez la connaissance de soi et l'estime de soi. Incitez-le à dire ce qu'il pense et à faire respecter ses limites. Il est important que votre enfant apprenne à dire non et à mettre ses limites. Une bonne façon de le faire est d'avoir des règles claires, cohérentes et constantes à la maison.
Par des gestes violents, un enfant teste parfois les limites. Il s'imagine que ses parents céderont à ses désirs s'il réplique de cette façon. Il faut donc réagir rapidement après son geste pour lui dire que ce comportement est inacceptable et ensuite l'encourager à exprimer ses frustrations avec des mots.
Bien souvent les élèves harceleurs ne réalisent pas pleinement la portée de leurs mots et de leurs actes. Certains ont eux-mêmes vécu une souffrance ou un mal-être non exprimé ou non évacué. Ils projettent alors inconsciemment sur l'autre ce trop-plein d'émotions négatives.
On propose généralement, dans les livres et les formations sur l'opposition, des systèmes de récompense ou l'utilisation des mesures punitives afin de « casser » leur comportement.
Les raisons peuvent être multiples (recherche d'attention, difficulté à contrôler sa surexcitation, il ne connait aucun autre moyen pour extérioriser ses émotions, etc.). Il peut aussi n'y avoir aucune explication derrière ces comportements; cela fait tout simplement partie des stades de son développement.
Besoin d'expression émotionnelle
Parfois, taper peut représenter une tentative de libération de la colère, de la tristesse, de l'anxiété ou de la confusion qu'ils ressentent. Enseigner des méthodes alternatives et saines pour exprimer ces émotions à son enfant est donc essentiel.
Pour l'UNICEF, un enfant sur deux serait concerné par le harcèlement scolaire dès l'âge de 7 ans. Les brimades et moqueries peuvent commencer dès le plus jeune âge, allant de la mise à l'écart, déjà douloureuse, à des insultes et humiliations quotidiennes, voire, des coups.
Encourager son autonomie. Un enfant qui n'obéit pas se sent souvent freiné dans ses envies. Laissez-le agir seul : se laver, s'habiller… Et continuez à lui faire confiance, malgré les échecs, les ratés.
Le principe est de porter le coup le plus rapidement possible avec la plus petite surface de votre main sur un point très précis du corps de l'adversaire : le tranchant externe de la main (de l'articulation de l'auriculaire au poignet), aussi appelé le « sabre main », très efficace notamment au niveau du cou (carotide) ...
Avoir une bombe lacrymogène dans son sac
Pour se protéger d'une éventuelle agression, avoir une arme de défense peut être une solution. Pour cela, la bombe lacrymogène est très efficace. Elle a pour effet de gêner la vision ou la respiration de la personne qui vous attaque et à la dissuader de son agression.
Peut-être que votre enfant a de la difficulté à s'intégrer dans un groupe d'amis ou encore à prendre la parole devant plusieurs enfants. Il pourrait alors rester silencieux et parfois accepter des situations qui ne lui conviennent pas parce qu'il se sent trop gêné de s'exprimer.
Même si par bienveillance, vous souhaitez aider votre enfant à faire ses devoirs, ne les faites surtout pas à sa place. Laissez-le commettre des erreurs puis prenez le temps de lui expliquer ce qui ne convient pas sans vous énerver. Car c'est en apprenant de ses erreurs qu'on avance !
Sortir du conflit :
Faire attention à la manière de communiquer, en prenant conscience de l'interrelation. Regarder l'interlocuteur, être attentif à son attitude, ne pas conclure trop vite. Ecouter, laisser répéter, prendre en considération ce que dit l'autre. Utiliser la méta communication.
Lorsqu'un enfant ou un adolescent est insulté, menacé, battu, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle donc de harcèlement.
Pour aider un enfant victime de harcèlement, la communication reste le meilleur moyen. L'enfant doit comprendre qu'il n'est pas seul, et savoir que les adultes (parents ou autre personne de la famille, enseignants, animateurs, etc.) ont le devoir de le protéger et de l'aider.
La violence : c'est un rapport de force et de domination entre un ou plusieurs élèves et une ou plusieurs victimes. La répétitivité : il s'agit d'agressions qui se répètent régulièrement. L'isolement de la victime : la victime est souvent isolée, plus petite, faible physiquement, et dans l'incapacité de se défendre.
La pratique des arts martiaux tend à développer divers mécanismes d'adaptation qui peuvent, non seulement aider votre enfant dans des situations de harcèlement, mais lui apporter également des compétences importantes dans la vie pour les décennies à venir, comme la confiance en soi et le fait de savoir se défendre, ...