Pour un claustrophobe, le traitement à privilégier serait la thérapie cognitivo comportementale (TCC). Plusieurs recherches ont en effet démontré que la thérapie TCC était efficace à traiter les phobies spécifiques. L'aide psychologique sous forme de psychoéducation est d'abord donnée au client claustrophobe.
Une psychanalyse peut également être solution pour traiter la claustrophobie. Des traitements médicamenteux peuvent être prescrits de façon temporaire : anxiolytiques, antidépresseurs. La relaxation et la pratique du yoga peuvent également aider les personnes qui souffrent de claustrophobie.
Les causes de la claustrophobie sont difficiles à cerner car elles dépendent de l'histoire de chacun : un traumatisme à la naissance ou dans l'enfance par exemple, ou une agression dans un espace confiné comme le métro.
Pour soigner cette peur maladive, il est conseillé de se rapprocher d'un professionnel pour suivre une thérapie cognitive et comportementale (TCC), de manière à remettre dans l'ordre les peurs réelles et les craintes irrationnelles.
La buspirone (Buspirone Génériques), un anxiolytique dénué d'effet sédatif, est également utilisée pour soulager les symptômes anxieux en cas de phobie. Son délai d'action est plus long que celui des benzodiazépines.
Comment gérer une crise de claustrophobie ? Dans la prise en charge d'une phobie, la relaxation est indispensable. C'est en détendant ses muscles et en ralentissant sa respiration qu'on va pouvoir reprendre le contrôle.
Un appareil d'IRM à champ ouvert soulage les patients claustrophobes. Ces derniers ne sont pas poussés dans un dispositif en forme de tunnel, mais sont installés entre deux grandes plaques horizontales. Les côtés de l'appareil sont ouverts : le patient reste ainsi en contact avec l'environnement au cours de l'examen.
La claustrophobie est une phobie spécifique et est classé comme un trouble anxieux dans le DSM5. Cette phobie affecterait environ 4 à 5 % des personnes de la population générale. La psychothérapie TCC est le traitement le plus fréquemment utilisé par traiter la claustrophobie.
La claustrophobie est la peur des espaces confinés, des lieux clos, des petites pièces et de l'enfermement. Elle est classifiée en tant que trouble anxieux et peut causer une crise de panique.
On peut administrer un anxiolytique aux personnes que l'IRM rend anxieuses, tel que l'alprazolam ou le lorazépam, 15 à 30 minutes avant l'examen.
La phobie désigne la peur exagérée et l'évitement de certaines situations, de certains objets ou de certains phénomènes. Elle s'inscrit dans la catégorie des troubles anxieux. Contrairement à l'anxiété généralisée, la phobie se déclenche en présence d' un objet spécifique.
Pendant l'examen IRM, vous avez la possibilité d'écouter la musique que vous aimez ou de porter des bouchons d'oreille. Cela peut également vous aider à vous rendre dans un endroit mental agréable, simplement parce que le son de la machine est atténué.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
L'attaque de panique ou crise d'angoisse aiguë se définit par : l'apparition soudaine d'une crainte, d'une angoisse ou appréhension intense, d'une peur ou terreur ; une sensation de catastrophe imminente, souvent associée à la peur.
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs musculaires, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de tête, vertige...
La claustrophobie est une peur intense des espaces confinés, l'ascenseur par exemple. Les transports en commun, notamment le métro, sont des lieux souvent redoutés par les personnes atteintes de ce trouble psychique. L'avion ou le train peuvent aussi être source de malaise.
Toutefois, si vous avez beaucoup d'appréhension avant l'examen, nous pouvons, lors de la prise de rendez vous, vous prescrire un tranquillisant (Atarax) à prendre 30 minutes avant l'examen.
L'IRM dure 15 à 30 minutes (ce qui peut vous sembler un peu long). L'examen est réalisé par un technicien en radiologie, sous la responsabilité d'un médecin radiologue (qui analyse les images).
IRM, comment se déroule l'examen ? Concrètement, passer une IRM signifie s'allonger sur une table d'examen et rester immobile pendant 10 à 45 minutes dans un tunnel étroit de 2 mètres de long. Le tunnel est éclairé et ouvert des deux côtés.
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
La peur des ascenseurs s'inscrit dans l'imaginaire collectif et vous n'êtes pas le seul à appréhender le moment d'y monter. Cela provient non seulement de l'inquiétude liée à votre histoire personnelle, mais aussi de toutes les fantasmagories proposées par le cinéma et la culture.