On aime rarement ses beaux-enfants dès les premiers instants, on les apprécie avec le temps, cela peut prendre des mois, voire des années. Inutile de se forcer car l'enfant percevra si l'attitude maternelle est feinte. Découvrir la maternité avec l'enfant d'une autre n'a rien d'évident.
Faire preuve de douceur, de tact, d'empathie, et favoriser autant que possible le dialogue. Prendre un peu de recul et ne pas prendre pour soi ce qui peut se jouer à un autre niveau.
« Il vaut mieux s'écouter et rester naturel que de s'imposer des activités qui nous ennuient ou une présence forcée. Avec le temps, on se demandera simplement quelle place on souhaite prendre auprès d'eux, sans obligation ni culpabilité.
Instaurez la confiance
Pour obtenir la confiance de l'enfant de votre conjoint, il faut avant tout lui démontrer votre sincérité et votre honnêteté. Petit à petit, à force de partages, de petits riens du quotidien, il s'habituera à votre présence et sollicitera même votre attention.
Dans une situation de divergence avec le conjoint, le parent se range alors du côté de son enfant. Ce conflit de loyauté occasionne une dynamique de guerre de pouvoir entre le beau-parent et l'enfant. Cherchant sa place dans la famille, il n'est pas rare de voir un désengagement du beau-parent auprès de l'enfant.
Des inconvénients ne sont pas à négliger
Le problème d'intégration est aussi très fréquent. Il y a notamment la crainte et l'angoisse de ne pas se faire accepter par les autres membres. Outre cela, les conflits de propriétés ne sont pas à éliminer.
Il faut donc, non seulement en parler avec son (sa) partenaire, mais aussi avec l'enfant incriminé. Trouver les mots adéquats en fonction de son âge, et mettre des limites aux remarques et attitudes qui ne sont pas acceptables de sa part, mais aussi accepter son refus de ne pas aimer le partenaire.
Pour bien entrer dans la famille, il est préférable de commencer par partager des activités tous ensemble, de venir de temps en temps en week-end puis en vacances, mais de ne pas s'installer immédiatement. Les choses doivent se faire par étape, sur la durée.
Soyez à l'écoute, mais ne vous transformez pas en détective. Ne cherchez pas à vous approprier vos petits-enfants. Votre amour débordant pourrait vous pousser à mettre de la pression sur les parents pour les voir trop souvent à leur goût. Évitez tout jugement quant à l'éducation des petits-enfants.
Miser sur une bonne communication. Le meilleur moyen pour se sortir de cette situation, c'est de faire preuve d'ouverture d'esprit dans un premier temps et de chercher à mieux connaître la copine de notre enfant. Pourquoi ne pas l'inviter par exemple à dîner à la maison ou à discuter entre femmes ?
1. Comprendre et accepter vos propres limites. Vous aussi vous débarquez avec votre passé, votre vécu et vos anciennes blessures et vous avez le droit de dire STOP quand vous sentez que les limites de ce que vous pouvez accepter sont sur le point d'être franchies.
L'enfant de l'autre a peut-être encore plus besoin d'être aimé pleinement et de façon généreuse, parce que la séparation de ses parents est une souffrance pour lui. Aimer un enfant dans le désintéressement, c'est comme donner de l'engrais à une plante : il s'épanouira et vous le rendra au centuple.
Les enfants : comme cité précédemment, une relation fraternelle doit s'instaurer entre les enfants. Tout commence par l'acceptation de l'autre. Au fur et à mesure que les enfants communiquent entre eux, avec l'implication des parents, une relation saine s'instaurera progressivement.
Peut être parce qu'elles ont un passé très compliquer. Peut être parce qu'elles sont trop âgé. Peut être parce qu'elles n'ont pas d'objectif autre que le sexe . Parce que l'homme aime être au côté d'une femme disponible dans les objectifs que de vivre la routine autour de sa soif d'envie et de plaisir.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
Pour réussir à trouver sa place au sein d'une famille recomposée, le beau-parent ne doit pas hésiter, en fonction de l'histoire familiale et de l'âge de l'enfant, à passer du temps avec lui, seul ou avec son partenaire. Et là, ce dernier joue un rôle primordial.
Accepter ses limites et oser dire non donne un bel exemple de courage, d'authenticité et de respect de soi aux enfants. Cela permet également de minimiser les frustrations pour mieux préserver le couple. Car oui, le rôle du beau-parent engendre de multiples émotions et vient réveiller son propre enfant intérieur.
Alors devant ton père, tu l'appelles par son prénom ou tu dis « mon beau-père ». Merci !
Passez du temps avec vos beaux-parents.
Le simple fait de passer du temps en compagnie d'une personne peut suffire à inspirer de l'affection. Pour cela, n'évitez pas vos beaux-parents. Lorsque votre partenaire vous propose une visite chez ses parents, prenez le temps de l'accompagner.
La belle-mère est une matriarche : elle peut être celle qui réunit tous les membres de la famille et endosser un rôle de gardienne de clan quand ça se passe bien, mais parfois elle n'est pas autorisée à rassembler, à se mêler, ça dépend des cas", explique l'experte. "Elle peut aussi les désunir si ça se passe mal."
Montrez votre bienveillance en offrant des cadeaux par exemple ou en proposant votre aide. Dans toutes les situations, restez naturel, jouer les plastiques ne fera qu'empirer votre situation. Il vaut mieux que votre belle-famille vous voie sous votre vrai jour et s'y adapte dès la première rencontre.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.