Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie. Par extension, il arrive qu'on appelle adelphes les personnes de la communauté à laquelle on appartient, sans faire de distinction de genre.
Nom commun. Le terme adelphe (du grec ancien ἀδελφός, adelphós, « utérin ») est un nom neutre qui désigne une « personne issue de même parents », indépendamment de son genre. Il s'agit d'un mot épicène. C'est aussi une traduction de sibling en anglais.
Adelphe, adelphie. Mots tirés du grec et qui signifient union, frère. Cette expression s'applique principalement aux filets des étamines lorsqu'ils sont réunis en faisceaux. En raison du nombre de ceux-ci, les fleurs sont dites monadelphes, diadelphes, polyadelphes, suivant qu'ils forment un, deux, etc.
Par ailleurs, tant fratrie que fraternel, fraternité, fratricide ou fratitude incluent implicitement les sœurs. Celles-ci disposent de deux termes unisexes pour désigner leur lien, sororal et sororité, alors que l'anglais dispose d'une expression valable pour les deux sexes, sibling, laquelle fait défaut en français.
Leurs frères et sœurs qui respectent cette non-binarité ne les appellent pas « mon frère » ni « ma sœur » car ces appellations sont genrées, mais plutôt « mon adelphe », sans faire mention du genre du mot. Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie.
frangine — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
sororie — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Une sœur, appelée familièrement frangine ou sœurette, est une personne de sexe féminin qui nait des mêmes parents qu'une autre personne, ou seulement du même père (sœur consanguine) ou de la même mère (sœur utérine). Dans ces derniers cas, on parle aussi de demi-sœur.
Des alternatives pourraient, par exemple, être les termes d'« adelphité », de « solidarité », etc. » Cette proposition est également soutenue par Réjane Sénac, qui critique le concept de fraternité : « l'égalité est inconditionnelle pour les frères ; mais pour les « non-frères », elle reste conditionnelle.
Un animal non-binaire
Les gastéropodes ne sont ni mâles, ni femelles, mais les deux à la fois. En véritables hermaphrodites, ils possèdent des organes sexuels des deux sexes.
En voici d'autres : ael, ille, ielle, im, em. De plus, une personne agenre ou non binaire pourrait très bien utiliser des pronoms binaires (il/elle), ou bien une combinaison de pronoms et néopronoms (elle/ielle/iel).
Les personnes non-binaires peuvent ne se sentir ni homme ni femme, les deux, ou toute autre combinaison des deux. Le terme « non-binaire » désigne donc toutes les possibilités en dehors d'une identité strictement féminine ou masculine.
La sororité désigne les liens entre les femmes qui se sentent des affinités, ont un vécu partagé dû à leur même condition féminine et au statut social qui y est alors lié.
La sororité c'est aussi un concept, un concept de solidarité. Une solidarité au féminin que certains assimilent à son pendant masculin : la fraternité. Du latin soror , qui signifie sœur ou cousine, la sororité veut unir les femmes sous une même bannière, au-delà des dissensions, pour lutter ensemble.
Définition de sœurette nom féminin
Terme d'affection envers une sœur (1).
Exemple : Ma soeur.
fraternel, fraternelle
Qui a lieu entre personnes unies comme frères et sœurs : Un partage fraternel.
Le troisième ou benjamin s'il est le dernier enfant de la fratrie : Le petit dernier récolte tous les suffrages et indulgences en tout genre, et notamment de ces aînés qui s'esclaffent à la moindre de ses pitreries ! Ce sont souvent des enfants drôles, démonstratifs et très à l'aise.
Le benjamin d'une fratrie est le dernier né, il peut donc être le second comme le cinquième ! La position dans laquelle se trouve le benjamin peut être la plus facile à vivre, comme la plus difficile s'il ne se sent pas entendu ou écouté comme les autres.
Selon Larousse.fr, cadet "se dit de celui des enfants d'une famille qui vient après l'aîné" (mon fils aîné, mon cadet, mon troisième) ; "se dit [aussi] d'un frère plus jeune (j'ai 20 ans, mon frère cadet en a 19)" ; "se dit [également] du dernier-né des enfants, le benjamin."
Un frangin/Une frangine
Ces deux noms remplacent les mots “frère” et “sœur”.
On peut en déduire que oncle/tante, et toutes les paires de même type, père/mère, frère/sœur, etc., ne sont pas antonymes.
Le mot «sororité» n'est pas très élégant, ni harmonieux, sa sonorité n'est pas douce à l'oreille et il est très peu utilisé comparativement à son équivalent masculin. Ah, la fraternité!