fumeur n. Personne qui a l'habitude de fumer du tabac. fumeur n.m.
non-fumeur n. Personne qui ne fume pas. fumeur n.
La fumeuse n'est pas née de la dernière pluie. On la repère dès le XVIIe siècle.
Personne qui a l'habitude de fumer (du tabac ou d'autres substances).
Résultats - En 2020, plus de trois adultes de 18-75 ans sur dix déclaraient fumer (31,8%) et un quart déclaraient fumer quotidiennement (25,5%). Pour l'ensemble de la période couverte en 2020, la prévalence du tabagisme et du tabagisme quotidien ne varie pas significativement par rapport à 2019.
18,4 % de la population de l'Union Europénne fume quotidiennement.
Plusieurs études ont montrées qu'une consommation modérée de tabac (1 à 2 cigarettes par jour) réduit le risque du cancer du poumon par 3, et significativement le risque de maladie d'Alheimer, comme l'a évoqué quelqu'un un peu plus haut.
L'arrêt du tabac augmente votre espérance de vie
après un an sans tabac, le risque d'infarctus du myocarde diminue de moitié et le risque d'accident vasculaire cérébral rejoint celui d'un non-fumeur ; le risque de cancer du poumon diminue à l'arrêt du tabac.
Les maladies liées au tabac
Fumer augmente le risque de maladies cardio-vasculaires, de cancer et d'infections bucco-dentaires. Le tabagisme est également un facteur aggravant pour des patologies telles que l'asthme ou le diabète.
Les hommes sont les plus nombreux à fumer : 33,3 %, vs 26,6 % pour les femmes. Les jeunes de 12 à 25 ans qui fument régulièrement consomment en moyenne 12 cigarettes par jour.
Les raisons qui amènent les adultes à fumer sont différentes. La première est bien sûr le stress, quel qu'en soit la source (qu'il soit lié à des problèmes personnels, des problèmes au travail ou encore des problèmes financiers). La cigarette apporte une sensation de détente et donne une sensation d'énergie.
Par comparaison, le tabac est responsable de 73.000 décès annuels. L'alcool est responsable de 36.500 décès chez l'homme, ce qui représente 13% de la mortalité totale masculine, et de 12.500 décès chez la femme, soit 5% de la mortalité totale.
Selon le baromètre de Santé publique France, 74% des fumeurs occasionnels ou quotidiens déclarent consommer des cigarettes classiques (51,6% exclusivement), 35,7% du tabac à rouler (16,2% exclusivement), 6,6% des cigarillos (1,3% exclusivement), 6,1% des cigares (0,8% exclusivement), 1,8% fument la pipe (0,2% ...
En matière de tabac, le nombre n'est pas seul à compter. Fumer 1, 2 ou 3 cigarettes par jour ne met pas à l'abri des effets toxiques du tabac sur les poumons, le coeur... Car on oublie trop souvent l'autre constante à suivre : la durée d'exposition c'est-à-dire le nombre d'années de tabagisme.
Ainsi, les petits fumeurs consommant en moyenne 5 cigarettes par jour ont trois fois plus de risque de mourir d'un AVC ou d'un infarctus que les non-fumeurs. Un risque qui évolue peu avec l'augmentation de la consommation de tabac : fumer une vingtaine de cigarettes par jour multiplie par quatre ce risque.
La dépendance physique disparaît en moyenne entre 4 semaines et 3 mois suivant les personnes. C'est le temps qu'il faut aux récepteurs nicotiniques pour revenir à un taux normal.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
La prise de poids à l'arrêt du tabac est une réalité, mais elle est souvent modérée (en moyenne 2,8 kg chez les hommes et 3,8 kg chez les femmes). Le poids que vous atteindrez est en fait proche du poids que vous auriez si vous ne fumiez pas.
En cela, la toxicité de la cigarette traditionnelle est largement plus élevée que l'ecig. Cette combustion entraîne l'apparition de substances dangereuses qui détruiront rapidement la santé des fumeurs.
La cigarette nouvelle génération inventée par Philip Morris, qui sera commercialisée en France à partir de mai, est censée être moins nocive qu'une cigarette ordinaire. Fumer, sans se ruiner la santé. C'est ce que promet Philip Morris avec son tout nouveau système à chauffer le tabac, baptisé iQos.
Il est effectivement peu recommandé de rallumer une cigarette qui a déjà été en partie consommée, car le bout de la cigarette est un mélange de cendres et tabac brûlé concentrés en substances nocives et cancérigènes.
Selon les autorités scientifiques, un gros fumeur est une personne fumant plus de 25 cigarettes par jour. Les gros fumeurs constituent 26,7 % des fumeurs de cigarettes.
Les médecins généralistes semblent s'appliquer à eux-mêmes les conseils qu'ils donnent aux autres: ils fument de moins en moins et ne sont plus que 16% à le faire, contre 34,5% de la population, selon des chiffres publiés mercredi par l'agence sanitaire Santé publique France.
La pauvreté : un milieu propice au tabagisme
« L'indice de défavorisation sociale et matérielle de l'endroit où l'on habite influence la probabilité qu'on fume, en plus des facteurs individuels, comme notre sexe, notre âge, notre revenu ou notre scolarité », explique Benoit Lasnier, co-auteur de l'étude.