Neige mouillée — la neige qui contient beaucoup d'eau liquide. Ainsi, elle se forme à température positive, + 1 degrés Celsius et fond rapidement. On l'appelle aussi neige fondante.
Neige humide : Neige qui contient de l'eau liquide. Neige mouillée : Neige qui contient une grosse quantité d'eau liquide. Neige soufflée : Neige étant déplacée ou érodée suite à du vent. Neige généralement très fine et où les zones d'érosion sont souvent caractérisées par une surface irrégulière et/ou dure.
Les types de neige
La neige sèche, dont un exemple bien connu est la poudreuse, tombe par temps froid (moins de -5 °C) et, comme son nom l'indique, contient peu d'eau. La neige humide contient plus d'eau et tombe entre 0 et -5 °C. Elle est collante. La neige mouillée tombe entre 0 et 1 °C.
S'il fait +4°C et que le point de rosée est bien au-dessus de 0°C, la neige fond à une vitesse effarante ! S'il fait +4°C, mais que le point de rosée est à -8°C, la neige ne fond presque pas dans ces conditions, malgré les +4°C et le soleil probablement présent !
Quand le cristal devient trop lourd, il tombe alors lentement vers le sol. Et c'est là, dans leur chute, que les cristaux se collent entre eux et deviennent des flocons plus ou moins gros. Si la température s'adoucit, les flocons de neige fondent et se transforment en gouttes d'eau : c'est la pluie.
La neige se forme dans des nuages remplis d'eau. Quand il fait froid là-haut, moins de 0°, l'eau se mélange à des poussières microscopiques et se transforme en cristaux de glace. Ces cristaux se rassemblent, forment des flocons... Et quand il fait entre 1 et -5°, ils tombent.
Lorsque cette pluie arrive à proximité du sol, où les températures sont négatives, l'eau gèle instantanément et se transforme en glace sur tous les objets qu'elle rencontre : c'est ce qui donne le verglas au niveau du sol, sous l'effet des pluies ou bruines verglaçantes.
Le vent. Le vent est un ennemi invisible pour le tapis blanc : il pousse l'air doux sur la neige, ce qui a pour effet de stimuler sa fonte. Le contact de l'air avec la neige fait en sorte qu'une zone plus froide se forme au-dessus du couvert neigeux. Cette zone froide le protège de la fonte.
Tout simplement parce que le ciel est dégagé, ce qui implique d'autres rayons invisibles. « La neige renvoie les rayons du soleil, donc celui-ci ne la chauffe pas. Par ailleurs, quand le ciel est sans nuage, les rayons de la voûte céleste, très froide, arrivent aussi sur la neige », poursuit le scientifique.
On appelle cela les ''neiges éternelles''. Si la neige ne fond pas en été, c'est d'une part en raison de l'altitude élevée de ces montagnes. En effet, plus on monte en altitude, plus la température baisse, et donc plus il est difficile pour la neige de fondre.
La neige est un matériau poreux dont la température est toujours inférieure ou au plus égale à 0 °C. Mélange d'air et de glace, uniquement à température négative, on dit alors que la neige est sèche. Cependant l'air contient de la vapeur d'eau et l'eau est alors présente sous deux de ses phases, gazeuse et solide.
On dit communément « kon », « mais avec tous ses dérivés, il y a près de 200 mots pour dire cela, de la neige. » Comme les Québécois, les Algonquins ont aussi un terme pour la neige mouillée, mais un autre aussi pour « neige abondante », « petite neige », « neige qui t'arrive en pleine figure ».
La véritable poudreuse reste la neige la plus recherchée. Et pour cause, elle procure les meilleures sensations et c'est à elle que se réfère notre imaginaire à l'évocation de l'hiver. La conduite des skis y est différente car ce type de neige oblige à skier en appui permanent et uniforme sur les deux skis.
Nous en avons déduit que la neige, c'est de l'eau gelée. Les gouttes de pluie, quand il fait froid, forment des flocons (solides). La neige fond sous l'effet de la chaleur et se transforme en eau (liquide).
C'est une neige pulvérulente (farinella en italien). Les flocons restent sous leurs formes initiales et emprisonnent beaucoup d'air. On y trouve les flocons en étoile, les plaquettes hexagonales, les aiguilles et colonnes. Souvent ces flocons sont givrés, recouverts de glace ou un peu fondus.
Une fonte des neiges plus tardive réduit la capture du CO2 en été et la densité des arbres et elle augmente la croissance des forêts, la productivité de la toundra et des steppes froides en raison des effets d'isolation thermique et de la disponibilité de l'eau en été.
La plus courante en montagne est la neige sèche, légère et poudreuse, qui se forme par temps très froid. La neige humide, qui tombe entre 0 et - 5 °C, est la plus contraignante, car elle est collante et lourde. C'est la plus fréquente en plaine. La neige mouillée tombe entre 0 et 1 °C.
A très haute altitude ou températures sont très basses, les cristaux de neige vont continuer a se tasser. Les bulles d'air qu'ils enferment vont peu à peu être éjectées et la couche de neige va devenir de plus en plus compacte, jusqu'à devenir de la glace. Mais cela prend du temps. La neige fond.
«Cela dépend de la température qu'il fait au niveau de l'air et du sol», explique à 20 Minutes Cyrille Duchesne, prévisionniste à La Chaîne Météo. Il faut que celle-ci tourne autour de 0°C et cela ne se joue à rien: dès qu'on atteint 1°C, «cela ne tient pas», indique notre expert.
La neige est constituée de cristaux d'eau glacée qui sont transparents. Pourtant la neige est blanche !
« Solide : neige, glacier, banquise, iceberg, givre, grêle. Gaz : vapeur d'eau. » La neige est donc de l'eau à l'état solide.
Lorsqu'il y a suffisamment de froid et d'humidité dans l'atmosphère, la neige se forme naturellement par condensation solide de la vapeur d'eau à saturation autour des noyaux de congélation. Selon sa structure et le vent, la neige tombe plus ou moins vite vers le sol.
Lorsque le point de saturation est supérieur au point de congélation de l'eau (0 °C), la rosée se forme. S'il se situe au-dessous du point de congélation, c'est du givre ou de la gelée blanche qui apparaît.
Le verglas se forme en hiver lorsque des précipitations tombent d'un nuage évoluant dans une couche d'air dont la température est inférieure à 0°c. Ces précipitations traversent alors une couche d'air plus doux, dont la température est supérieure à 0°, puis terminent leur course sur le sol.
Sans pouvoir affirmer qu'il y a du verglas avec certitude, il est possible de détecter quelques situations à risques : Une nuit avec des températures négatives alors que la chaussée est humide. Une route qui brille. Une fonte partielle des neiges suivie d'un regel.