Le dupatta est souvent porté avec le salwar kameez et le kurta, mais est aussi porté avec le choli ou le gharara.
Dans le sous-continent indien, le turban est appelé pagri ou pagadi (en hindi : पगड़ी, bengali : পাগড়ি, marathi : पगडी, gujarati : પાઘડી, punjabi : ਪੱਗ, ourdu : پگڑی). Le pagri porté par les hommes, notamment durant les cérémonies de mariage. Le turban appelé dastar est quant à lui étroitement associé au sikhisme.
Le turban permet de tenir les longs cheveux du sikh, qu'il ne coupe jamais, selon la règle du Kesh, par respect pour la perfection de la création de Dieu. Il contient le Kangha, un peigne en bois symbolisant le fait que le sikh prend soin de ses cheveux.
Le bindi (issu du sanscrit bindu, la « goutte ») représente traditionnellement le troisième œil mystique. Il est aussi le symbole de l'Inde et des Indiens par excellence. Le bindi peut prendre différentes formes. Le point peut par exemple être petit ou grand.
En Inde, dont ils sont originaires, ils ne sont pas les seuls à le porter, et pourtant, au terme d'un processus historique complexe, le turban s'est imposé comme leur emblème identitaire spécifique.
POURQUOI LES INDIENNES PORTENT-ELLES UN POINT ROUGE SUR LE FRONT ? Le tilak, tika ou pottu est une marque portée sur le front par des Indiens. C'est une marque censée porter bonheur, appo- sée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bien- venue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe re- ligieux.
Porter un turban est aussi un choix personnel
De nombreuses femmes choisissent de porter un turban pour son côté pratique et polyvalent comme : une coiffe protectrice. garder les cheveux hors du visage. adopter un look chic ou streetwear.
Le tilak symbolise le troisième œil de Shiva. Il se positionne sur le front, à l'emplacement du sixième chakra (âjnâ-chakra) dans lequel résident les facultés psychiques. Il souligne la dimension spirituelle de celui qui le porte.
Le « point rouge » qu'on appelle « pottu » ou « bindi » est un point coloré que les femmes indiennes portent sur le front, entre les sourcils. Le pottu symbolise le troisième œil, l'œil de la connaissance selon les hindous. De nos jours, le pottu est devenu un accessoire de beauté.
Le sindoor est traditionnellement appliqué au début ou complètement le long de la ligne de séparation des cheveux d'une femme (aussi appelé maang en hindi ou "Seemandarekha" en sanskrit) ou en point sur le front. Dans l'hindouisme, le sindoor est la marque d'une femme mariée.
Ses adeptes croient en un seul Dieu « suprême, absolu, infini, éternel, créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant ». Il est appelé : le Guru suprême (ou en langage courant, « Quel Dieu ! »).
La chéchia (arabe : شاشية) est un couvre-chef porté par les deux sexes dans de nombreux peuples musulmans.
Le canon du sikhisme, l'Adi Granth, repose sur le principe de l'existence d'un seul Dieu créateur, sans forme et au-delà de la compréhension humaine. Cette religion est née d'une fusion des aspects mystiques de l'islam (soufisme) et du vishnouisme (bhakti). Mais la composante hindoue domine.
Se couper les cheveux: il est strictement interdit de se couper les cheveux dans le sikhisme. Les sikhs sont tenus de garder leurs cheveux non tondus. Drogues: les consommations d'alcool, de drogue, de tabac sont prohibées.
La langue largement majoritaire est le panjabi parlé par 91,6 % de la population; hindous, sikhs et musulmans peuvent être des panjabiphones (parlant le panjabi). La langue minoritaire la plus importante est l'hindi (7, %), suivie de l'ourdou (0,1 %).
Un sikh est un pratiquant de la religion sikhe, le sikhisme. Étymologiquement, sikh vient du sanskrit sisya qui signifie « apprenti » ou « disciple ». En pāli, le mot sekha désigne un « élève ».
bindi. Marque, généralement circulaire et de couleur rouge, symbole de prospérité domestique, apposée sur le front, siège de la sagesse dans la tradition hindouiste. (Au nord de l'Inde, il est réservé aux femmes mariées ; ailleurs, chacune peut le porter tel un maquillage.)
Le mariage dans la tradition hindoue (Kalyanam ou Kalianon, Thirumanam ou Tiroumanom) est à la fois l'union d'un homme et d'une femme, dans le but de former une famille, et l'alliance entre deux familles.
Traditionnellement, il symbolise le troisième oeil mystique d'une personne et son rapport avec le principe universel de la création. C'est un symbole de conscience, de bonne fortune et de festivité.
Le point G, est situé à quelques centimètres de l'entrée du vagin. On ne peut pas le situer avec une grande précision étant donné que l'anatomie du vagin diffère d'une femme à une autre. Le point G serait la clef ultime pour assurer l'orgasme de la femme lorsqu'il est stimulé.
#2 Le bleu
Le bleu symbolise le courage, la capacité à lutter contre le mal, la vérité. Vous savez désormais pourquoi plusieurs Dieux hindou (Krishna, Shiva, Rama ou encore Vishnu…) sont représentés de couleur bleue. Le bleu est aussi la couleur des castes de tisserands, artisans ou encore agriculteur.
Ce sont les livres du Sama-véda, Yadjour-véda et de l'Atharva-véda. Les Védas sont sacrés, car directement issus du cosmos. Ils sont suivis de poèmes épiques, de romans et de pièces de théâtre avec les personnages humains, des demi-dieux, comme dans l'Iliade.
Plusieurs arguments sont invoqués pour justifier le port de la kippa. Le couvre-chef, autrefois l'apanage des prêtres seulement, serait devenu le signe de distinction d'une communauté éclatée au sein de la diaspora, qui a besoin de s'affirmer identitairement pour ne pas être diluée.
Tout d'abord, le turban est un symbole de modestie et de pudeur. Dans l'islam, il est important de se couvrir la tête en signe de respect et de soumission à Allah. Le turban permet donc de respecter cette recommandation en couvrant la tête de manière élégante et pratique.
Le foulard en soie, le foulard en lin ou encore le foulard bambou est l'accessoire indispensable après un traitement du cancer par chimiothérapie et la chute de cheveux qui s'en suit.