LECTEUR, LISEUR. On appelle lecteurs, lectrices, ceux ou celles dont l'emploi est de lire à des personnes qui les écoutent ou qui devraient les écouter ; et liseurs ou liseuses ceux ou celles qui ont l'habitude de lire beaucoup.
Lecteur, trice n. = personne qui lit. Les lectrices d'un journal.
Définition de bibliophile nom
Personne qui aime, recherche, conserve avec soin les livres rares, précieux.
Un grand lecteur, une grande lectrice, une personne qui lit beaucoup. ➙ liseur.
L'amoureux des livres est appelé "bibliophile".
Une librocubiculariste est une personne qui lit au lit.
Une personne qui peut lire dans les pensées est connue sous le nom de télépathe. Il s'agit d'une personne capable de capter les pensées, les émotions ou les sensations d'une autre personne sans que celle-ci les communique verbalement ou par des gestes.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
Les Français lisent plus qu'avant
Plus on prend de l'âge, plus on lit : 12 livres par an au format papier sont lus en moyenne dans la tranche d'âge 15-44 ans, 21 pour la tranche 45 ans et plus…
Car en 2021, seuls 80% des 15-24 ans se perçoivent comme lecteurs, ils étaient 92% à le penser en 2019. 91% des jeunes sondés ont lu au moins un genre littéraire cité dans l'enquête, une chute de sept points par rapport à 2019. Ils restent malgré tout la tranche d'âge qui lit le plus, juste devant les seniors.
bibliophile
Personne qui aime, qui recherche les livres rares et précieux.
Saga définition. Une saga concentre un ou plusieurs récits sur le même thème : un personnage, un héros, une famille, ou un lieu. S'il s'agit d'un héros, le lecteur va pouvoir en suivre la vie, quasiment de sa naissance à sa mort. S'il s'agit d'une famille, le récit va s'étaler sur plusieurs générations.
LIVREUR, -EUSE, subst. A. − Subst.
liseur n. Personne qui aime à lire, lit beaucoup. liseuse n.f. Couvre-livre mobile.
Comment Appelle-t-on une fille qui lit beaucoup ? Des lectrices avant tout – Le « grand lecteur » est une « grande lectrice ». Les femmes représentent 63% de cette catégorie.
Pourquoi lit-on? Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
Habituellement, le changement de lit survient vers l'âge de 2 ans.
Les champions du monde de la lecture, les Indiens, lisent quatre heures de plus que les Français, avec 10h42 par semaine et par jour. Les Asiatiques dominent largement ce classement. La Thaïlande, la Chine, et les Philippines arrivent respectivement en deuxième, troisième, et quatrième position.
La lecture en baisse
Parmi les raisons invoquées, le manque de temps (72 %) et la préférence donnée à d'autres loisirs (63 %).
L'enquête Ipsos sur les jeunes Français et la lecture indique ainsi que les 7-19 ans lisent 13 minutes de plus qu'en 2016, mais qu'ils passent moins de temps à lire (3h14 par jour en moyenne) que sur les écrans (3h50 par jour en moyenne).
Il y aurait un effet cognitif du vieillissement « Lorsqu'on lit de la fiction, il faut lire un certain temps, pour se mettre dans l'ambiance et il est possible que, lorsqu'on a retrouvé le fil de l'histoire, on est déjà à nouveau fatigué ».
Au final, 82 % des Français sont attachés à la lecture sur papier, une habitude encore très présente dans les loisirs et la vie privée : 79 % pour lire des histoires aux enfants, 73 % pour envoyer des faire parts, 69 % pour les listes de course, 58 % pour consulter une carte de restaurant, 49 % pour lire la presse ou ...
La clinophilie désigne le fait de vouloir rester toujours dans son lit, ou par extension, de rester chez soi et de ne plus vouloir, ou ne plus pouvoir sortir.
Clinophilie: De la tendance à la pathologie. De la simple difficulté récurrente à sortir de son lit, à la clinophilie ( le fait de rester au lit, la journée, allongé, pendant des heures, tout en étant éveillé), rester au lit alors que rien ne le justifie sur un plan somatique, n'est pas un symptôme anodin.
Une vision de notre environnement à travers le prisme de nos sensations, notre culture, notre expérience. Un mentaliste doit savoir faire abstraction de tour cela. Il fait le vide dans sa tête pour prendre la place du spectateur, sujet, cobaye, en face de lui. Et donc avoir le point de vue de celui-ci.