On peut alors combiner et dire que la relation est homo-diamorique.) Les personnes de tout (a)genres peuvent utiliser ce mot dans ce sens. Par exemple, un homme ou une femme peut dire « je suis dans une(des) relation(s) diamorique(s) » si san(ses) partenaire(s) est(sont) non-binaire(s).
Les personnes non-binaires peuvent ne se sentir ni homme ni femme, les deux, ou toute autre combinaison des deux. Le terme « non-binaire » désigne donc toutes les possibilités en dehors d'une identité strictement féminine ou masculine.
Les relations queer sont des relations amoureuses ou sexuelles entre deux personnes ou plus qui s'identifient comme des homosexuels. Le terme « queer » est souvent utilisé comme un terme générique pour englober un large éventail d'identités mais sans s'y limiter.
Au début des années 2010, le mot "iel" a été pensé pour pallier un manque dans la langue française. Les pays anglo-saxons, eux, avaient recours au pronom "they" pour évoquer les personnes non-binaires. Pratique, car en anglais they est un mot épicène, c'est-à-dire qui neutralise le genre.
Le néologisme xénogenre vient du grec xeno (l'autre). Les xénogenrés (ou xenogenders en anglais) sont donc des individus qui s'identifient à un « autre » genre : animal, végétal, objet inanimé ou même « humeur », précisent les réalisateurs du documentaire.
"Fluide" (ou "genre fluide") désigne une personne dont l'identité sexuelle est changeante, qui passe du masculin au féminin, voire au genre neutre.
Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie. Par extension, il arrive qu'on appelle adelphes les personnes de la communauté à laquelle on appartient, sans faire de distinction de genre.
"Iel", pronom personnel à mi-chemin du masculin "il" et du féminin "elle", est défini dans Le Robert en ligne depuis novembre. L'éditeur a annoncé l'avoir fait entrer dans son édition 2023 du Petit Robert. Au départ, Le Robert précisait sur son site internet "on écrit aussi ielle, ielles".
Mx (habituellement prononcé /mɪks/ MIKS ou /mʌks/ MUKS et parfois /ɛmˈɛks/ em-EKS) est un néologisme de langue anglaise servant à indiquer un titre de civilité sans indiquer de genre. Il a été proposé comme alternative aux titres genrés habituels tels que Mr (Monsieur) ou Mrs (Madame) à la fin des années 1970.
Définition : LGBT(Q)+ est en fait l'acronyme faisant référence aux personnes s'identifiant comme lesbiennes, gaies, bisexuelles, transidentitaires ou queer. Le + inclus les autres identités et orientations.
Une personne autochtone peut revendiquer et utiliser le mot « bispirituel » pour s'identifier comme étant une personne LGBTQ+ autochtone dans un contexte occidental.
C - Cisgenre
Cette catégorie comprend les personnes qui avaient indiqué que leur sexe assigné à la naissance était identique à leur genre actuel.
CISGENRE: se dit d'une personne dont l'identité de genre (masculin ou féminin) correspond au sexe avec lequel elle est née. C'est le contraire d'une personne transgenre. GENDERFLUID: se dit d'une personne dont le genre oscille entre la masculinité et la féminité.
Le mot trans, dans le cas de la parentalité, est souvent associé à des transsexualités binaires, à savoir, un homme trans (qui s'identifie en tant qu'homme) s'appelle un père et une femme trans (qui s'identifie en tant que femme) s'appelle une mère.
Le néo-pronom le plus répandu en français est iel.
Certaines personnes utilisent la déclinaison ellui : « c'est à ellui », « j'étais avec ellui ». D'autres préfèrent utiliser iel quelle que soit la fonction du pronom dans la phrase. Très souvent, cela s'accompagnera d'accords dégenrés, mais pas systématiquement.
Ael est un pronom neutre, au même titre que iel . Certaines personnes non binaires choisissent d'être désignées par le pronom ael de préférence à iel , car il est plus éloigné de la consonance des pronoms binaires il et elle .
Pour désigner une personne non-binaire, il est possible selon son souhait d'utiliser des pronoms neutres (par exemple “iel” ou “ille” ou “ael”).
Le terme d'adelphité, plus « neutre » et surtout plus inclusif, regroupe à la fois la fraternité et la sororité, sans dimension ni mention genrée ; et désigne la solidarité entre ses semblables, qu'ils soient hommes, femmes ou non binaires.
Une personne non-binaire rejette la norme établie de binarité homme/femme. Iel – pronom permettant de désigner une personne sans distinction de genre – ne se reconnaît pas uniquement dans un seul de ces deux genres, mais quelque part entre homme et femme.
Pronom complément : ici « elle » et « lui » deviennent « iel » ou « ellui » au singulier et « elles » et « eux » deviennent « iels » et « elleux » au pluriel. Par exemple : c'est avec qu'elleux qu'iels ont discuté hier soir.
En voici d'autres : ael, ille, ielle, im, em. De plus, une personne agenre ou non binaire pourrait très bien utiliser des pronoms binaires (il/elle), ou bien une combinaison de pronoms et néopronoms (elle/ielle/iel).
Bien que des nuances existent, genderfluid et non-binaire sont des synonymes acceptés du mot genderqueer. En effet, le mot genderqueer définit toute personne qui s'identifie à un genre fluide (genderfluid) ou qui n'est pas reconnu et/ou accepté dans la société (non-binaire).
La non-binarité représente les identités de genre autres que la binarité exclusive homme/femme. Les personnes non-binaires peuvent se sentir comme ni homme ni femme, comme les deux, ou comme toutes autres combinaisons des deux. La non-binarité inclus les identités en lien avec la fluidité des genres.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.