Les causes sont diverses. Sur le plan somatique, l'insomnie peut s'expliquer en cas de douleurs, du fait de divers symptômes associés à des maladies chroniques comme l'asthme ou l'insuffisance cardiaque par exemple, ou encore de perturbations du cycle circadien pour les maladies d'Alzheimer ou de Parkinson.
La dysanie explique le fait que nous aimons rester au lit toute la journée : la personne se sent incapable de se lever alors qu'elle doit le faire, et ce trouble s'accompagne de symptômes. La dysanie est souvent associée à des troubles du sommeil, ou des troubles affectifs.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui. Il s'agit d'une peur sociale et spécifique, c'est à dire une peur irrationnelle déclenchée spécifiquement en public.
L'ochlophobie est la peur de la foule, au sens physique, d'une peur de mourir écrasé par elle. Il faut la différencier de l'agoraphobie, la peur des espaces publics, même si leurs symptômes sont similaires : angoisse, malaises, panique.
Il existe des personnes –deux ont été identifiées au cours du XXe siècle: l'une américaine, l'autre au Viêt Nam–, qui affirment ne pas dormir du tout depuis des dizaines années, et qui semblent disposer d'une cognition tout à fait normale. L'agrypnie totale de ces personnes a été confirmée par le corps médical.
L'autophobie provient du grec ancien : « auto » fait référence au « soi-même » et « phobie » désigne la « peur irrationnelle ». Une personne autophobe a peur de soi et peur de la solitude. Elle ressent le besoin d'être accompagnée pour faire face à son angoisse de la solitude.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Lorsque l'obsession du rougissement est forte, réellement gênante et durable, les médecins parlent d'éreutophobie (peur obsédante de rougir en public), qui est une des variantes de la phobie sociale. L'éreutophobie touche en général des personnes jeunes, entre 15 et 40 ans, et autant les hommes que les femmes.
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.
"Parallèlement à eux, les insomniaques représentent 10 % de la population.
Le record du monde de privation de sommeil a été remporté en 1964 par Randy Gardner, un étudiant américain alors âgé de 17 ans. Celui-ci est resté éveillé 264 heures sous contrôle médical, ce qui fait un total de 11 jours consécutifs sans dormir.
La thérapie cognitivocomportementale constitue le traitement le plus courant. C'est une thérapie brève qui vise à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité. Dans certains cas, des médicaments contre l'anxiété peuvent être prescrits.
L'agoraphobie est l'inverse de la claustrophobie. Ici, la personne a peur de se retrouver dans des espaces ouverts, souvent pas crainte de ne pas trouver l'aide et l'assistance d'une équipe médicale, à temps, en cas de besoin.
Qu'est-ce que la mégalophobie ? Il s'agit de la phobie des grandeurs, mais également des choses qui peuvent sembler anormalement grosses dans un environnement spécifique. Comme l'image agrandie d'un aliment sur un panneau d'affichage publicitaire par exemple.
Il s'agit bien de l'apopatophobie, qui vient du grec "apopateo" qui signifie "déféquer" et "apopatos" qui signifie excrément. L'apopatophobie est donc tout simplement la peur de faire caca et parfois la peur de l'excrément lui-même…
Caractérisée comme une intolérance à certains sons et bruits, la phonophobie est d'origine psychologique, et résulte souvent d'un traumatisme sonore.
L'obsession de rester couché dans son lit, ce que les spécialistes appellent la clinophilie ou la clinomanie, pourrait constituer un symptôme annonciateur de troubles mentaux plus graves, comme la dépression ou la schizophrénie.
Les symptômes de la clinophilie
La clinophilie se traduit par le fait de vouloir rester allongé, ou de vouloir rester tout le temps chez soi. Il s'agit d'un symptôme et non d'une maladie en soi, qui peut aussi s'observer dans le burn out, et dans la prise de toxiques tels que le cannabis.
neurasthénie n.f. État de fatigabilité physique et psychique extrême.
L'anxiété et le stress, premiers responsables
"C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
L'insomnie fatale est une maladie à prions rare qui perturbe le sommeil et qui aboutit à la détérioration des fonctions cognitives et à une perte de la coordination. Le décès survient en quelques mois à quelques années. (Voir également Présentation des maladies à prions.
Exercer un travail de nuit et dormir la journée entraine une désynchronisation de l'organisme synonyme d'un risque accru de survenue de maladies cardiovasculaires, de diabète ou de dépressions.
Solutions et traitements de la peur panique de rougir
Certaines disciplines, comme le yoga, la relaxation ou la méditation, qui permettent de se concentrer sur l'instant présent, peuvent aider à accroître la confiance en soi. Le théâtre et la chorale sont également de bons moyens pour s'exercer à s'exprimer en public.