La clinophilie désigne le fait de vouloir rester toujours dans son lit, ou par extension, de rester chez soi et de ne plus vouloir, ou ne plus pouvoir sortir. Il ne s'agit pas d'une maladie en tant que telle, elle est davantage le symptôme de multiples pathologies psychiatriques.
La dysanie est souvent associée à des troubles du sommeil, ou des troubles affectifs. D'ailleurs ce trouble est souvent en lien avec une dépression. La dysanie se traduit par un mal-être chez la personne et affecte tous les domaines de sa vie.
Clinophilie: De la tendance à la pathologie. De la simple difficulté récurrente à sortir de son lit, à la clinophilie ( le fait de rester au lit, la journée, allongé, pendant des heures, tout en étant éveillé), rester au lit alors que rien ne le justifie sur un plan somatique, n'est pas un symptôme anodin.
La clinophilie désigne le fait de toujours vouloir rester dans son lit ou ne plus vouloir sortir de chez soi. S'il ne s'agit pas d'une maladie, elle est le symptôme de pathologies psychiatriques.
L'aboulie, signifiant littéralement l'absence de volonté, ou paralysie psychique, est un symptôme psychiatrique peu connu du grand public, et pourtant très invalidant. "Il se manifeste par l'incapacité, chez la personne qui en souffre, à initier des tâches, réaliser des actions, ou même ressentir des besoins.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
Selon nos confrères, éclairés par les lumières du cardiologue et nutritionniste Frédéric Saldmann, les méfaits de la sédentarité se manifestent dans un premier temps par une perte de forme physique. Ne pas se dépenser ni bouger pendant plusieurs heures, peut entraîner une prise de poids.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
L'hypomanie est un trouble de l'humeur caractérisé par des périodes d'irritabilité, d'hyperactivité et des sautes d'humeur, associées à des troubles du sommeil.
La clinophilie désigne le fait de vouloir rester toujours dans son lit, ou par extension, de rester chez soi et de ne plus vouloir, ou ne plus pouvoir sortir. Il ne s'agit pas d'une maladie en tant que telle, elle est davantage le symptôme de multiples pathologies psychiatriques.
GROS DORMEURS - Un sommeil prolongé pourrait annoncer de mauvaises nouvelles. Les adultes qui dorment plus de neuf heures par jour ont deux fois plus de risques de développer une maladie neurodégénérative dans les dix ans. Surpoids, dépression, tension artérielle…
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
Essayez de débuter les journées à la même heure. Avoir une certaine routine aide le corps à mieux récupérer (On recommande des heures fixes de lever, de coucher et de repas). Utilisez un agenda, et inscrivez vos tâches. Procurez-vous un outil concret.
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
En outre, lorsqu'une personne bipolaire sort d'une phase de crise, elle est capable de prendre conscience de son propre état émotionnel. Tandis que, de son côté, le pervers narcissique est froid, surtout quand il manipule l'autre et ne prend pas conscience de la façon dont il se comporte.
Les troubles bipolaires débutent le plus souvent à l'adolescence entre 15 et 19 ans soit par un épisode dépressif soit par un épisode maniaque. Dans les deux cas, l'entourage observe un changement brutal de l'état psychique de l'adolescent.
Les scientifiques ont observé que, chez les personnes atteintes de troubles bipolaires et souffrant d'épisodes maniaques fréquents, le cortex cérébral (il s'agit de la couche la plus superficielle du cerveau) était anormalement fin.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
Rester chez soi et ne rien faire permet ainsi de récupérer des heures de sommeil perdues en semaine et de réduire son niveau de cortisol. Cette hormone est sécrétée par notre corps quand il est en situation de stress, physique ou psychologique.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
émoussement affectif l.m.
Restriction de l'affectivité. Dans les dépressions, cet émoussement émotionnel s'allie notamment à des troubles conatifs, à un sentiment généralisé de lassitude, de désintérêt et, dans les formes majeures, à l'anhédonie, voire à une anesthésie affective douloureuse.