Pour prévenir les crises d'hypocondrie, il est recommandé de travailler sur son anxiété, si on a tendance à souffrir de son stress, grâce à des techniques de relaxation quotidiennes, plusieurs fois par jour si nécessaire, ainsi qu'à une bonne hygiène de vie et une alimentation équilibrée.
L'hypocondrie ou la crainte excessive d'avoir une maladie, est définie comme une préoccupation centrée sur la peur ou l'idée d'être atteint d'une maladie grave.
Un psychologue peut vous aider à accepter la maladie et à surmonter les épreuves. Les groupes de parole et associations de malades peuvent également être des aides précieuses. Il ne faut pas non plus hésiter à faire appel aux services d'aide à domicile afin de soulager parfois la charge de s'occuper du malade.
Le plus souvent, les personnes hypocondriaques sont effrayées par la mort ou paniquées par les signes de vieillesse qui apparaissent. L'hypocondrie peut aussi s'expliquer par la peur de l'abandon ou un traumatisme dû à la maladie et la mort d'un proche.
Une autre piste est la thérapie corporelle, comme la sophrologie, qui permet de mieux appréhender la relation entre son corps et son esprit. Enfin, une psychothérapie psychodynamique centrée sur la prise de conscience des processus inconscients peut aussi être efficace. »
La personne hypocondriaque ne craint pas d'attraper une maladie : elle est persuadée d'être déjà malade. Elle s'inquiète des suites de sa pathologie, invente des scénarios catastrophes et rumine beaucoup." Ne pas confondre avec la peur d'attraper des maladies, qui est la nosophobie.
Comment traiter une peur des maladies ou hypocondrie ? Le traitement de l'hypocondrie repose essentiellement sur un abord psychothérapique. Les psychothérapies cognitives et comportementales sont particulièrement recommandées, mais d'autres abords peuvent aussi avoir leur place comme l'EMDR ou un abord systémique.
A quoi est due cette peur ? La peur du cancer est souvent une peur irraisonnée, car pour beaucoup, il est synonyme de mort. Lors de l'annonce de cette pathologie, les malades sont souvent anéantis et étouffés par une immense angoisse, parfois avec un sentiment d'incompréhension (pourquoi moi ?) et d'injustice.
Prenez modèle sur les moins inquiètes d'entre nous, observez comment elles réagissent aux situations qui vous angoissent et inspirez-vous en. Demandez-vous ce qu'elles feraient à votre place. Mettre en mots, ses préoccupations sur le papier permet de s'en délester.
"On parle d'un problème d'hypocondrie lorsque la personne n'arrive pas à se rassurer sur son état de santé. À la différence des anxieux, les hypocondriaques ne parviennent pas à apaiser les inquiétudes qu'ils ont en eux, même après une ou plusieurs visites chez le médecin.
Cela passe par le fait de se pardonner à soi-même d'être malade et de cesser de se considérer comme un fardeau pour soi et pour les autres, tout en pardonnant aux autres de ne pas être malades et de continuer leur vie2.
Se concentrer sur le bien-être émotionnel
Concentre-toi sur tes forces et tes aptitudes. Mets ta maladie de côté pour un moment, et profite de la vie. Consacre-toi à tes passe-temps favoris durant la période que tu passes à la maison ou à l'hôpital. Garde un journal de tes pensées et sentiments.
Le dispositif d'annonce est une mesure (N° 40) du Plan cancer (2003-2007), mise en place lors des états généraux des malades à la demande des patients atteints de cancer organisés par la Ligue nationale contre le cancer. Le patient doit bénéficier d'une prise en charge de qualité au moment de l'annonce de sa maladie.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Qu'est-ce que la nosophobie ? La nosophobie est une peur irrationnelle de contracter une maladie grave (cancer, Alzheimer, Parkinson, Sida, cardiopathie, sclérose en plaques…). La personne souffrant de nosophobie veut, à tout prix, rester en bonne santé.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Internet, une source d'information peu fiable et anxiogène
Les données de l'étude montrent que dans 85% des cas, cet autodiagnostic est erroné. "Ils confondent le symptôme et le diagnostic.
Si vous avez : toux + fièvre
Appelez un professionnel de santé ou du social si besoin. N'allez pas directement chez le médecin, à l'hôpital ou aux urgences. En général, la maladie guérit avec du repos.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
En 2013, une autre méta-analyse de grande ampleur s'est intéressée au lien entre le niveau de stress en milieu professionnel et la survenue de cancers du sein, de la prostate, du poumon et colorectal.
Le stress peut modifier les niveaux de certaines hormones dans le corps. Un déséquilibre hormonal peut aussi accroître votre risque de développer un cancer.
La nosophobie (ou pathophobie) est la peur de contracter une maladie (IST, cancer…).
OBJECTIF : Supprimer l'exposition de la population au tabac, premier facteur de risque de cancer, et ainsi éviter environ 60 000 cas de cancers à horizon 2040. EFFET ATTENDU POUR LES PERSONNES : Une société qui, collectivement, n'accepte plus de donner une place au tabac.
Aujourd'hui, refuser de dire la vérité à son patient est prohibé par le Code de Déontologie (2002 article 35): « Le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille, une information loyale, claire et appropriée (...). » puis quelques lignes plus bas : « Toutefois, dans l'intérêt du malade et ...