La peur de l'échec, du changement, de sortir de sa zone de confort ; Des conflits internes ; La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.
"Le phénomène consiste à mettre tous les moyens qu'un individu a à sa disposition pour s'autodétruire, se mettre à mal. La personne est davantage à la recherche du plaisir dans la douleur, voire du déplaisir", précise Catherine Raverdy, psychologue clinicienne.
Sachez qu'il existe plusieurs raisons qui peuvent expliquer un tel comportement autodestructeur et qui revient souvent dans toutes vos relations. D'abord, cette tendance à saboter une relation amoureuse cache souvent une grande crainte d'avoir mal, d'être blessé. e ou même abandonné.
Le manque de communication
Il faut parler de ce qui va et de ce qui ne va pas, il faut s'exprimer sur ses désirs, ses envies, ses ressentis, écouter et prendre en compte les avis, désirs, envies et ressentis de l'autre. De toute façon, lorsqu'on garde pour soi ce qu'on a sur le cœur, cela finit toujours par ressortir !
trouble-fête (n.m.) 1. personne qui empêche ou gâche les réjouissances; importun. 2.
Selon Freud, l'inconscient ignore le temps. Et l'incapacité à se fixer des échéances est le signe qu'un événement du passé continue à travailler l'individu, au point de contaminer sa vie actuelle. Parce qu'il ne parvient pas à passer à autre chose, il se condamne à ignorer les exigences de la temporalité.
Il ne faut pas avoir peur d'échouer, c'est là la clé de cette spirale. Pour éviter l'échec, il faut arrêter d'écouter cette petite voix intérieure qui vous répétera sans cesse : «je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer…», vous finirez par le croire et l'appliquer.
Il est insaisissable, insidieux. Il peut se faire passer pour quelque chose de juste et de bon, alors qu'en réalité il est mauvais et autodestructeur. Si vous voulez surmonter les comportements d'auto-sabotage, VOUS devez être cette voix intérieure qui intervient pour dire : “Hé, ce n'est pas vrai !”.
Dans une situation comme dans l'autre, ce sentiment de gâcher sa vie est concomitant d'une relation conflictuelle à soi-même. Il s'accompagne souvent d'une souffrance psychique qui peut rendre le quotidien très problématique, jusqu'à obstruer les perspectives d'avenir.
Les causes du sabotage amoureux
La peur de l'intimité vient souvent de relations parentales compliquées et / ou abusives. En général, les personnes qui s'auto-sabotent ont beaucoup souffert au début de leur vie et ont ainsi développé la croyance erronée qu'elles ne peuvent faire confiance à personne.
La peur de réussir se caractérise très souvent en réalité par la procrastination au moment du lancement d'un projet, de sa concrétisation ou lorsque vous êtes proche de vos objectifs. Bizarrement, vous vous apercevez qu'il y a toujours un frein à lancer votre projet ou encore à finaliser vos objectifs.
Fixez-vous comme objectif de laisser votre partenaire finir ses phrases. Cela ne veut pas dire que nous sommes d'accord avec tout ce qu'il/elle nous dit. Mais nous pouvons faire un effort pour rester ouverts et mettre l'autre personne à l'aise pour qu'elle sache qu'elle peut nous parler de n'importe quel sujet.
Du grec “philo” qui signifie “amour” et phobos pour “peur”, la philophobie est littéralement, la peur de tomber amoureux. S'il peut s'agir d'une angoisse à l'idée d'aimer de manière globale, ce trouble anxieux est le plus souvent lié à une peur de l'engagement et des sentiments amoureux.
On a peur de l'engagement
La flippette est universelle. Certaines femmes se retrouvent même souvent avec des hommes qui ont peur de s'engager. La preuve qu'elles peuvent ressentir la même chose puisqu'elles ne sont souvent prêtes qu'à partir du moment où l'homme est prêt à s'engager.
La blessure d'abandon trouve ses origines dans nos expériences relationnelles passées, souvent infantiles, et renvoie à une instabilité affective difficile à vivre au quotidien, qui est liée à la peur du rejet et à la crainte de ne pas être aimé et accepté.
adjectif. Qui persévère ; qui a de la persévérance. ➙ obstiné, opiniâtre, patient.
Ainsi, si vous ressentez régulièrement de la honte, une culpabilité, des difficultés à communiquer, de la peur, une anxiété en présence de votre partenaire, un sentiment d'injustice, une impression de vous faire "fliquer", il peut s'agir potentiellement d'une emprise relationnelle.