Le bad trip survient plutôt chez les personnes qui sont fatigués ou dans un état de fragilité psychologique (passager ou durable) : tristesse, déprime, anxiété, angoisse… A cela s'ajoute la consommation d'autres drogues comme l'alcool ou les médicaments. Ces mélanges favorisent la survenue du bad trip.
Définition : c'est quoi un bad trip ? La prise de drogues telles que le cannabis ou la consommation d'alcool peut provoquer un bad trip. Signifiant littéralement "mauvais voyage" cet état "est une mauvaise réaction après une prise de produits stupéfiants ou d' alcool.
Garde bien cette idée en tête. Fais appel à une personne de confiance pour te rassurer. Prends un bol d'air frais dans un endroit plus calme pour reprendre le contrôle de tes pensées angoissantes. Calme ta respiration et concentre-toi sur ton corps pour te laisser emporter par l'expérience.
La priorité est de ne pas amplifier le bad trip, par exemple en insistant pour le gérer ou en répétant des choses en boucle trop souvent. Si le dialogue est impossible, il faut sécuriser son environnement et si nécessaire, déplacer Camille vers un endroit plus propre et propice à la détente.
Le bad trip ou « mauvais voyage » en Français, est une expérience traumatisante liée à la consommation de drogues hallucinogènes. On parle aussi de « crise blanche » dans le cas particulier d'un bad trip faisant suite à une surconsommation de cannabis.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
les yeux dans le vague, les pupilles dilatées ; l'effet dure plusieurs heures ; un état somnolent, une lenteur dans ses mouvements ; dans le cas des fumeurs quotidiens, on peut observer le bout des doigts jaunis par la résine.
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
Ce qu'il faut faire :
Vos amis sont vos meilleurs alliés pour limiter votre bad trip. Comptez sur eux pour vous amener dans un endroit calme, pour rester avec vous tout au long de la crise et pour vous rassurer doucement. C'est la meilleure manière de vous aider.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Ces consommations sont propices à ce qu'une dépendance s'installe et que la situation de l'usager se dégrade.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Sentiments de tolérance et de convivialité, détachement ou engagement face à la législation sur le cannabis, équilibrage tacite du bien-être avec soi et du bien-être avec les autres, représentent souvent les axes de cette conception.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant, est un gaz d'usage courant stocké dans des cartouches pour siphon à chantilly, des aérosols d'air sec ou des bonbonnes utilisées en médecine et dans l'industrie.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.
Éblouissements et visions de loin et de près déséquilibrées. Plus rarement, la dilatation de la pupille provoquée par le cannabis peut donner lieu à des éblouissements et des déséquilibres entre la vision de loin et celle de près.