Attendre que l'herbe soit à un stade avancé pour mettre les chevaux afin qu'elle soit moins riche en sucres. Plus l'herbe est haute, moins elle est riche. Utiliser un panier de pâturage (Greenguard) permet de limiter la quantité d'herbe ingérée quotidiennement (-50% d'ingestion environ) et de faire maigrir le cheval.
Comment soulager le cheval d'une fourbure ? Pour commencer, le vétérinaire va prescrire à l'équidé des anti-inflammatoires. Ensuite, vous devez lui fournir un sol souple et lui faire des bains d'eau froide s'il a les sabots chauds. Le maréchal-ferrant peut aussi lui mettre une ferrure adaptée.
La fourbure peut être aiguë ou chronique. La fourbure aiguë se caractérise par l'apparition d'une première crise très soudaine provoquant des douleurs et l'inflammation du pied du cheval. La fourbure chronique est dite chronique lorsqu'elle s'installe dans le temps et que la troisième phalange a déjà basculé.
Et dans tous les cas, il est essentiel de parer les talons d'un cheval, même fourbu. Ce parage a donc essentiellement consisté à descendre les talons au niveau de la sole, afin que le poney puisse de nouveau poser ses pieds normalement et redresser ses boulets.
Lors d'une crise de fourbure, il faut : Dans la majorité des cas, ne pas distribuer d'aliments concentrés au cheval. Distribuer entre 1,5 et 2% de poids vif d'un foin composé de moins de 10 à 12% de sucres non structuraux (NSC : glucose, fructose, fructanes, amidon…).
En entretien : mélanger dans la ration 25 ml par jour (15 ml pour un poney) pendant une semaine par mois. En cas de crise : mélanger 50 ml par jour (40 ml pour un poney) pendant une semaine ou plus si nécessaire. Un flacon de 500 ml de Protect Fourbure permet de complémenter la ration pendant 3 mois en préventif.
L'herbe du printemps est un aliment très riche en nutriments et elle est très facile à digérer. L'herbe à ce temps ci de l'année est plus élevée en humidité (75-85%), protéine (plus de 20%), énergie, sucres, vitamines et minéraux, qu'à d'autres moments de l'année.
Présence d'un pouls digité frappé : c'est un très bon indicateur de l'inflammation du pied chez le cheval. En temps normal, celui-ci est absent. Il apparaît lorsqu'une inflammation est présente. Le pied concerné est chaud et douloureux : ce sont les signes d'une inflammation.
Les traitements administrés ne sont que palliatifs. Ils visent à limiter l'évolution de la maladie et à offrir un meilleur confort de locomotion au cheval. Selon les cas et d'après le stade de la maladie, on aura recours à différents traitements : repos, administration d'anti-inflammatoires, ferrure correctrice.
La fourbure aigue est traitée par : des anti-inflammatoires (phenylbutazone, flunixine sont les plus efficaces). des soins de pieds : parage de la pince, soutien des fourchettes et des talons en phase aigue, fers adaptés (à l'envers par exemple) en phase chronique.
Le plus souvent les boiteries ont pour origine la partie basse d'un membre : le pied ou le boulet. Commencez par les membres mais n'oubliez pas qu'un problème au niveau du dos par exemple peut être la cause d'une boiterie.
Le coup de sang est un terme utilisé pour définir un ensemble de signes cliniques apparaissant chez le cheval lors d'une affection brutale des muscles du dos et de la croupe, consécutive à un exercice ou à un stress.
Le syndrome naviculaire est une maladie bien connue et redoutée des cavaliers. Elle est classiquement responsable d'une boiterie chronique antérieure à l'origine d'une retraite prématurée des chevaux. Les causes de cette maladie sont multiples et ne sont pas totalement élucidées.
En fin d'hiver, milieu de saison de pâturage et avant l'hiver. Comment ? L'herbe permet d'entretenir la majorité des chevaux conduits 100% à l'herbe et fourrages sans complémentation.
Chez le cheval, en tant qu'antiagrégant plaquettaire en traitement adjuvant de la fourbure : 5-10mg/kg toutes les 24 à 48 heures ou 20mg/kg tous les quatre à cinq jours, Chez le porc : 10mg/kg toutes les 6 à 8 heures.
Le « syndrome de Cushing » est un trouble endocrinien affectant les chevaux généralement au-delà de 15 ans, lié au développement excessif d'une partie de la glande hypophysaire située à la base du cerveau, sa dénomination médicale exacte est d'ailleurs plutôt « dysfontionnement de la pars intermédiaire hypophysaire » ...
Le traitement passe par un débridement (on retire la corne abîmée) lors du parage pour mettre la zone de décollement à l'air. On applique ensuite des soins locaux et antiseptiques. Seule la pousse d'une corne saine permet de faire disparaître la fourmilière, la guérison est donc très longue.
Le panier de régime est couramment utilisé pour lutter contre le surpoids, car il permet de réduire la quantité de fourrages ingérés de 50 à 85%. Il est donc particulièrement conseillé aux chevaux en surpoids ou atteints de SME ou de PPID (cushing).
La fourbure correspond à une congestion et une inflammation des pieds des équidés. C'est une affection fréquente qui représente la 2ème cause de mortalité chez les chevaux.
Environ 1 500 € brut par mois pour un maréchal-ferrant débutant salarié. Entre 80 € et 100 € par intervention pour un indépendant itinérant.
Le parage physiologique consiste à limer la corne du sabot afin que le cheval ait le meilleur confort possible lorsqu'il marche. Ainsi, son poids est correctement réparti sur ses quatre membres et ses articulations sont protégées.