La plus fréquente des hypothyroïdies auto-immunes est la thyroïdite de Hashimoto qui touche préférentiellement les femmes de plus de 40 ans mais peut également toucher les enfants. Cette maladie pourrait être déclenchée par le stress, une infection virale ou une prédisposition génétique.
La thyroïdite d'Hashimoto (thyroïdite chronique) est une maladie auto-immune, bénigne et fréquente. Son incidence est de 100 pour 100 000 par an, avec une nette prépondérance féminine (8/1).
Traitement de la thyroïdite d'Hashimoto
Parfois, l'hypothyroïdie est transitoire, mais la plupart des patients ont besoin d'une hormonothérapie thyroïdienne substitutive au long cours, généralement par lévothyroxine 75 à 150 mcg par voie orale 1 fois/jour.
La cause la plus courante de l'hypothyroïdie chez les adultes est la thyroïdite de Hashimoto, qui est provoquée par un processus auto-immunitaire : l'organisme produit des anticorps qui attaquent et détruisent progressivement la glande thyroïde.
Une TSH > 3 mUI/l doit faire renforcer la surveillance thyroïdienne : contrôle de la TSH à 1 mois et dosage des anticorps anti-TPO. Le traitement peut être justifié dès que la TSH dépasse 4 mUI/l, avec pour cible thérapeutique une TSH < 2,5 mUI/l.
Le stress chronique a pour conséquence, un taux de cortisol élevé, une hormone qui peut causer certains dommages à la glande thyroïde et ralentir l'absorption des hormones thyroïdiennes.
Une bonne hydratation permet d'absorber les calories responsables des gains de poids. Il est conseillé de boire 2 litres d'eau par jour afin que l'organisme puisse assurer un bon métabolisme et un niveau d'énergie normal.
Les états d'hypo et d'hyperthyroïdie peuvent s'accompagner de troubles psychiques. Dans l'hypothyroïdie, il s'agit souvent de manifestations dépressives avec fatigue, ralentissement, perte d'intérêt, repli sur soi et plaintes somatiques.
Pratiquez une activité physique régulière et adaptée
En cas d'hypothyroïdie, la dépense énergétique compense légèrement le dysfonctionnement de la glande thyroïde. En effet, les sports d'endurance (course à pied, marche, musculation, natation…)
Les niveaux d'hormones thyroïdiennes étaient légèrement élevés, mais restaient dans la fourchette des valeurs normales. Enfin, les sujets anxieux présentaient des anticorps dirigés contre la thyroïde. De tels résultats semblent indiquer que la fonction thyroïdienne serait impliquée dans le développement de l'anxiété.
La destruction auto-immune de la glande thyroïde est présumée être causée par une réponse immunitaire humorale et à médiation cellulaire. Les auto-anticorps thyroïdiens se retrouvent plus fréquemment chez la femme et leur prévalence augmente avec l'âge.
En plus de tous ses acides aminés, vitamines et minéraux, c'est un produit à forte teneur en iode. Par conséquent, si vous avez des problèmes avec votre thyroïde, il vaut mieux l'éviter.
L'hypothyroïdie et l'hyperthyroïdie peuvent toutes deux provoquer de l'hypertension L'hypertension est une tension artérielle anormalement haute : la pression du sang contre vos artères et vos vaisseaux est constamment trop élevée.
Les sudations de l'hyperthyroïdie s'accompagnent d'autres symptômes (perte de poids, tremblements, palpitations, anxiété). L'hypogonadisme chez l'homme (insuffisance testiculaire, castration pour cancer de la prostate…) peut causer des sudations et des bouffées de chaleur florides. Le syndrome carcinoïde est rare.
Fatigue, perte de poids, bouffées de chaleur, palpitations, ongles cassants… Tous ces signes peuvent indiquer un dérèglement thyroïdien (hyperthyroïdie ou hypothyroïdie). Un dysfonctionnement qui touche 10% de la population en France.
Vertiges, fatigue intense, maux de tête, prise de poids, problèmes digestifs... Suite au changement dans la composition du Levothyrox, un médicament prescrit pour les quelque 3 millions de patients ayant des problèmes de thyroïde, de nombreux patients se plaignent d'effets secondaires.
La thyroïdite d'Hashimoto est due à une réaction auto-immune par laquelle l'organisme attaque les cellules de la thyroïde. La plupart des personnes finissent par développer une hypothyroïdie. En général, l'hypothyroïdie provoque une fatigue et une incapacité à supporter le froid.
Le soya, le café, de même que les suppléments de calcium et de fer peuvent interférer avec l'absorption des médicaments pour l'hypothyroïdie (Synthroid)4. Ainsi, il est recommandé de ne pas les consommer en même temps.
"Le Lévothyrox® est prescrit pour l'insuffisance thyroïdienne et 10% des femmes de 60 ans ont une insuffisance thyroïdienne. Souvent il y a très peu de signes. On conseille donc de faire des recherches de problèmes thyroïdiens. On va démarrer le traitement mais les patients ne vont pas maigrir grâce à ce traitement.
Si la production d'hormones thyroïdiennes est trop importante, l'organisme « surchauffe »; : la personne souffre par exemple d'insomnie, devient irritable ou perd du poids.
Une carence en iode peut entrainer une hypothyroïdie. Fatigue, prise de poids, déprime… Les symptômes les plus courants sont accompagnés de l'apparition d'un goitre. Un surdosage provoque au contraire une hyperthyroïdie, qui se manifeste par un amaigrissement, une hypersensibilité et des troubles du sommeil.
Le Levothyrox permet ainsi de compenser le ralentissement de certaines fonctions chez ces patients atteints d'hypothyroïdie : perte de mémoire, ralentissement du rythme cardiaque, intense fatigue, somnolence, frilosité, humeur dépressive, prise de poids, raideur musculaire… Voire des complications plus graves.
Quand le prendre ? C'est par une prise de sang où l'on mesure le taux de TSH (thyréostimuline) associé au taux de T4 libre (T4l) qu'on détermine la nécessité de prendre ou non un médicament. Le traitement est très fréquent lorsque le taux de TSH dépasse 10 mU/l, et systématique au-delà de 20 mU/l.