Faites lui confiance. Cavalier stressé, cheval stressé. Discutez avec les autres cavaliers, focalisez votre attention sur autre chose que votre peur, même un oiseau qui passe, peu importe, oubliez que vous êtes à cheval et vous oublierez votre peur.
Il est impératif de vous exprimer avec votre cheval, afin qu'il vous comprenne. Et réciproquement, de savoir lire votre cheval pour le comprendre. Tout cela passe par une écoute de vous même et de votre cheval : l'observer, écouter de ce qui se passe à l'intérieur de vous et agir.
L'objectif du jour est de les mettre en confiance sur la hauteur. La solution passe par avant tout par un travail sur le mental qui va permettre d'installer la confiance et un fonctionnement souple et délié chez le cavalier, et ceci malgré la hauteur des obstacles.
Le refus en obstacle
Jamais catastrophique mais toujours alarmant, le refus signifie que quelque chose vient de mal se passer pour le cheval : effrayé, décontenancé par une action incongrue de son cavalier, mal amené sur l'obstacle, déséquilibré, fatigué, il s'arrête, refuse de coopérer.
Cela peut être un manque de rythme, trop de vitesse, une mauvaise direction qui amène à ne pas arriver droit et en face de l'obstacle,… Dans certains cas le cheval n'a pas d'autres choix que de s'arrêter ou de dérober.
On reconnaît un bon cavalier rien qu'à sa façon de marcher avec son cheval et de faire avec lui quelques cercles. Une position juste, une conscience aiguisée de son corps et de celui du cheval, une grande douceur dans les aides, une belle précision dans le mouvement.
Multipliez les départs au galop à partir du trot (trot-galop-trot-galop…) puis à partir du pas (pas-galop-pas-galop…). Vous perfectionnerez ainsi l'impulsion dans les transitions montantes et l'équilibre dans les transitions descendantes. Demandez ces départs d'abord sur un cercle, puis en ligne droite.
Le Gyrotonic est le meilleur système d'exercice pour répondre aux exigences spécifiques et aux défis auxquels les cavaliers sont confrontés. Il permet de garder leur corps en parfaite santé. Il permet de développer l'équilibre, le contrôle, la coordination du souffle, la posture et la conscience du corps.
Le fait que les chevaux de votre écurie hennissent de cette façon quand vous venez les voir signifie que vous avez su créer une relation privilégiée avec eux. Probablement parce que vous les sortez au pré, leur donnez à manger quand vous venez les voir. C'est donc un bon signe !
Entre l'oreille et le toupet
Et comme en hiver c'est parfois le seul endroit où votre Tas'd'terre Horse n'est pas sale, si vous avez bien papouillé tout le reste, vous pourrez y faire un bisou sans risquer le coup de boule! Et en plus c'est tout doux….
Les chevaux sont tous de même des animaux pour lesquels le premier sens utilisé est l'olfaction. Le réflexe naso-nasal pour dire bonjour est le plus approprié.
Mettez-vous en “suspension”, c'est-à-dire appuyé sur les étriers avec les fesses légèrement au dessus de la selle. Une fois votre équilibre trouvé en suspension au trot, lancez-vous au galop en ouvrant les doigts sur les rênes et en engageant les jambes fermement.
Avant de demander un départ au galop, il est impératif de trouver le bon trot, afin que la transition se fasse dans le confort. Installez vous sur un grand cercle, votre cheval doit être en équilibre, cadencé, et serein. Il ne doit pas anticiper. Si besoin ralentissez un peu avant de partir au galop.
L'équinophobie ou hippophobie est une peur ou une panique d'origine psychologique, à l'égard des chevaux.
Prendre conscience de la qualité du galop est simple : vous devez avoir l'impression que votre cheval se porte de lui-même vers l'avant et qu'à la moindre sollicitation de votre part, il est capable d'accélérer, de ralentir et de tourner à droite ou à gauche.
Le cheval sait naturellement sauter mais il n'en a pas forcément l'envie. Grâce à l'entraînement, il peut apprendre à sauter de mieux en mieux, plus haut et en économisant ses forces.
Pour obtenir la bonne allure, régulière, il faut passer par un redressement du galop au moyen d'une légère épaule en avant. Le fait de mettre les épaules du cheval devant les hanches permet d'aller vers le rassembler et de réduire de plus en plus le galop avec un meilleur équilibre.
Pour se sentir à l'aise dans un galop, même rapide, on adopte la position dite « en suspension ». Cela consiste à se mettre en équilibre sur les étriers en soulevant légèrement les fesses au-dessus de la selle. Il suffit pour cela de déplier les genoux et d'incliner un peu le buste en avant.
La position neutre est une position dans laquelle le cavalier est en équilibre sur ses étriers, hanches fléchies, avec les épaules légèrement en avant. Aussi appelée position « 2 points » ou « en suspension », elle allège le poids sur le dos du cheval, lui permettant de sauter plus facilement et en douceur.
Il n'y a que des cavaliers capables d'anticiper et d'accompagner la foulée qui vient sans gêner le cheval. Et pour ça, les deux seuls ingrédients sont : 1/ le bon galop (donc la bonne amplitude et la bonne cadence) pour permettre à votre cheval de franchir l'obstacle quelle que soit la distance.
Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est : La méthode consiste à monter la barre d'obstacle au moment où le cheval saute. Il se prend donc les barres dans les membres et le cheval s'efforcera de sauter encore plus haut au prochain passage, améliorant ses résultats en CSO.
Un cheval étreint une femme enceinte, quand le médecin voit l'échographie, il appelle la police. Un cheval a senti que la grossesse ne se passait pas comme prévu. C'est grâce à cet animal que la maman a été vérifiée la santé de son bébé. La plupart des animaux ont un sixième sens.