En le caressant, avant de le monter, et lorsque vous êtes sur son dos, vous pouvez l'aider à rester tranquille et rester calme vous-même. De plus, lorsque vous le caressez pendant la promenade, vos mains resteront plus stables et vous pourrez mieux contrôler le cheval.
Commencez par désensibiliser la nuque et les oreilles. Habituez le cheval à accepter le contact de votre main sur sa nuque. Glissez doucement votre main en direction de la nuque, lorsqu'il commence à bouger restez comme vous êtes. Une fois qu'il est immobile, enlevez votre main.
L'ajout de magnésium (sous forme hautement assimilable comme le chlorure de magnesium) est le traitement classique chez le cheval stressé, comme chez l'homme, car c'est un minéral essentiel au bon fonctionnement des systèmes nerveux et musculaire.
Une bonne astuce consiste à ralentir votre cadence du trot enlevé. Vous obligerez ainsi votre cheval à se caler sur votre rythme et non l'inverse. Pensez également à desserrer les doigts des rênes. Si vous êtes vous aussi nerveux, il y a des grandes chances pour que votre corps, et vos doigts, se crispent.
Le mouvement vers l'avant est souvent la meilleure solution pour canaliser votre cheval. Un cheval chaud a souvent du mal à accepter les jambes, laissant le cavalier absolument hors de contrôle. Progressivement, corrigez la situation en gardant les mollets au contact. Votre cheval doit vous sentir présent et affirmé.
Agir lorsque le cheval se cabre de façon violente
Pour tenter d'arrêter la cabrade, il est conseillé d'attirer vivement sur le côté la tête du cheval. Mais cette action n'est pas sans risque. Si cela peut faire redescendre l'animal, cela peut également le faire tomber.
Faites lui confiance. Cavalier stressé, cheval stressé. Discutez avec les autres cavaliers, focalisez votre attention sur autre chose que votre peur, même un oiseau qui passe, peu importe, oubliez que vous êtes à cheval et vous oublierez votre peur.
Les symptômes du cheval stressé
Le cheval stressé peut manifester des réactions d'agressivité ou au contraire des périodes d'apathie où il ne bouge plus. Sont également fréquents : Des comportements alimentaires anormaux, qui lui font manger n'importe quoi (litière, crottins, structures en bois...)
Il développe des tics
Ces signes sont bien connus. Ce sont ceux que l'on repère en premier en général. Le “tic à l'appui” est celui lors duquel le cheval prend appui avec ses incisives sur un support quelconque (porte, ou autre), contracte son encolure et émet un bruit. C'est un stress difficile à corriger.
S'il se montre agressif envers vous ou envers les autres chevaux, c'est simplement sa façon à lui d'exprimer un mal être. Souvent, il s'agit d'une douleur physique telle qu'un ulcère, une douleur ovarienne si c'est une jument, un lumbago, ou encore des douleurs liées à l'arthrose.
Prêter attention à la position de sa tête et de son cou
De manières générales, la position de la tête du cheval et de son cou est également un moyen pour savoir son humeur. Si l'animal baisse légèrement sa tête et son cou en votre présence, cela signifie qu'il apprécie le moment partagé avec vous.
Pensez-vous que c'est un signe d'affection ? Léa Lansade: Des études scientifiques ont montré que ce comportement de léchage reflète le tempérament des chevaux : certains ont une prédisposition naturelle à être très proches de l'homme, à le lécher ou le mordiller, tandis que d'autres restent toujours très éloignés.
Soyez progressif, et ne lui en demandez pas trop d'un coup au risque d'obtenir une forte réaction de fuite et de renforcer sa peur. Contentez-vous de peu, et récompensez beaucoup avant de redemander. Restez rênes longues. En effet moins le cheval est tenu dans les moments de peur, plus il est rassuré.
Si le cheval est très nerveux, il est possible de lui administrer un sédatif ou un tranquillisant par voie intramusculaire 15 à 30 minutes avant l'induction. Selon le protocole utilisé, le cheval se couche en 30 secondes à 3 minutes. Deux ou 3 personnes sont nécessaires pour aider le cheval à se coucher doucement.
Le fait que les chevaux de votre écurie hennissent de cette façon quand vous venez les voir signifie que vous avez su créer une relation privilégiée avec eux. Probablement parce que vous les sortez au pré, leur donnez à manger quand vous venez les voir. C'est donc un bon signe !
La reconnaissance mutuelle du maître et son compagnon. Le cheval reconnait celui qui s'occupe de lui. Si vous êtes la personne qui le nourrit, le panse, discute avec lui, le fait jouer, il sera plus fortement susceptible de témoigner d'une certaine reconnaissance.
Un cheval qui se gratte sur vous est à proscrire même si cela vous fait plaisir. C'est vous et vous seul, qui devez venir lui gratter la tête et non l'inverse. De même qu'un cheval, n'est pas brut de nature c'est notre comportement envers lui (conscient ou inconscient) qui l'incite à être brut envers nous.
Les répercussions du stress et de l'ennui peuvent être nombreuses : Les tics comportements : par ennui le cheval va développer des habitudes qui vont devenir des tics, il va ronger sa porte de box, jouer avec sa langue, développer un tic à l'appui.
? Le bidet à l'obstacle, les fleurs en dressage, l'eau en complet, la poubelle en promenade….
Par exemple, si mon cheval mord, je vais lui taper sur le nez pour l'en empêcher. J'ajoute un stimulus désagréable sur un comportement non désiré afin de l'éteindre. - La punition négative, c'est l'action de retirer un stimulus agréable pour faire cesser un comportement non désiré.
Pour développer une bonne relation avec votre cheval, il est important parfois de NE RIEN FAIRE quand vous êtes avec lui, par exemple passer du temps avec lui sans rien lui demander et en le laissant libre d'interagir avec vous ou non. Passez du temps à l'observer au pré.
Certaines fois, le cheval botte pour se soulager, se protéger ou se débarrasser d'un mal, mais dans d'autres cas, botter est une fâcheuse habitude qu'il faut corriger avant que quelqu'un, homme ou cheval, ne soit blessé.
Obtenir le cabrer est un exercice relativement facile. Il suffit de demander au cheval faire un mouvement rapide, tout en lui empêchant d'avancer ou de passer du mouvement l'arrêt net. Le but ici est d'exploiter le réflexe naturel de défense du cheval, qui se cabre dans la nature pour éloigner les prédateurs.