La température d'une chaudière à condensation : est à réguler selon le type d'émetteur de chaleur utilisé ; doit être située entre 45° et 55°C lorsqu'elle est destinée au chauffage de l'eau sanitaire ; doit permettre d'atteindre 19 à 20°C dans les pièces à vivre.
Toutefois, idéalement, l'on considère que la température de l'eau d'une chaudière à condensation se situe entre 45 et 55°C.
En général, de l'ordre de 850 °C à 900 °C. La plupart des équilibres thermodynamiques de la combustion sont favorisés par la température. < 1200 °C : c'est à cette température que certaines substances minérales se ramollissent et forment des cendres dites collantes.
35 °C pour un plancher chauffant. 45°C pour des radiateurs basse température (chaleur douce) Entre 55 et 60°C pour des radiateurs moyenne température. Entre 70 et 75°C pour des radiateurs haute température.
L'entretien annuel obligatoire participe aux économies d'énergie. Il contribue à préserver les performances des chaudières à condensation et des versions basse température. Les fuites éventuelles de combustible sont repérées et réparées. Cela limite la consommation de gaz naturel ou de propane.
Par exemple, si la combustion est en trop grand excès d'air, on chauffe inutilement un grand volume d'air qui se retrouve dans les fumées. C'est une perte évitable en modifiant simplement le réglage d'admission d'air du brûleur.
Par exemple, en ajoutant 20% d'oxygène à 100% d'air (21% d'O2 et 79% de N2) on obtient un comburant contenant environ 34% d'oxygène et 66% d'azote. Le ratio N2/O2 passe donc de 79/21 = 3.76 (voir plus haut) à 66/34 = 1.94 seulement. ce qui réduit considérablement le volume d'azote à chauffer.
Solution. La vis de réglage de ralenti sur une table de cuisson avec brûleurs gaz est accessible et réglable après avoir retiré la manette correspondant au brûleur. La vis de réglage est de petite dimension (voir dessin ci-dessous), utilisez un tournevis plat très fin et assez long.
Pour la chaudière à gaz classique : la température conseillée se situe entre 50 et 65 °C. A ce titre, s'il fait 0 °C dehors, le fluide caloporteur devra être à 65 °C. Si la météo est plus clémente et que le thermomètre affiche 12 °C, 50 °C sont amplement suffisants.
Si votre chaudière se relance trop souvent, cela peut venir d'un problème au niveau de votre thermostat. Pour confirmer cette hypothèse, vous pouvez procéder à un test simple. Si votre thermostat est sans fil, essayez de le rapprocher de votre chaudière pour vous assurer que la connexion est bonne.
La chaudière gaz à basse température peut chauffer l'eau du réseau de chauffage à une température plus faible que les anciennes chaudières (40° contre 90°). En limitant la température minimale, les fumées sont rejetées à plus basse température ce qui permet d'assurer un meilleur rendement.
Le principe de la condensation
Une chaudière gaz à condensation refroidit au maximum les fumées produites par la combustion avant de les rejeter. Elles sont refroidies jusqu'à rendre liquide leur composante en vapeur d'eau. Ce procédé permet de récupérer la chaleur latente de la vapeur d'eau contenue dans les fumées.
La combustion est complète lorsque la quantité de dioxygène est suffisante à la réaction. La combustion complète d'un alcane dans le dioxygène produit de l'eau H 2O et du dioxyde de carbone CO 2 .
La combustion incomplète a lieu quand la quantité de comburant est insuffisante pour permettre la réaction complète du combustible ou lorsque le temps de contact, à une température rendant la combustion possible, est trop faible.
Situation où la quantité de comburant disponible est supérieure à la quantité nécessaire pour oxyder tout le combustible. Cette situation correspond à un mélange carburant/combustible de richesse inférieure à 1.
Comme le mazout est brûlé à l'état gazeux, la flamme de ce brûleur présente la couleur bleue typique d'une flamme gaz, c'est pourquoi on parle de brûleur à “flamme bleue”.
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore, inodore, toxique et potentiellement mortel qui résulte d'une combustion incomplète, et ce quel que soit le combustible utilisé : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane.
masse molaire : 12+ 4=16 g mol-1. 1600/16 = 100 mol. masse molaire O2 : 16*2=32 g mol-1. volume dioxygène : 200*22,4 =4,480 m3.
Il existe trois postes de dépense de gaz principaux dans une maison : le chauffage à 80 %, l'eau chaude sanitaire à 15 % et la cuisson qui représente environ 5 % de la consommation de gaz.
D'autres signes sont révélateurs de son obsolescence : la difficulté à chauffer de manière égale toutes les pièces, un débit d'eau chaude sanitaire insuffisant, une consommation énergétique en hausse constante.
L'exemple le plus frappant est celui de la température de votre logement. 1 °C de plus provoque une hausse du montant de votre facture d'énergie de 7 % ! Si vous vous chauffez au gaz, cela a donc une incidence très forte sur votre consommation.