Inspirez pendant trois secondes par le nez en gonflant votre ventre sans forcer, bloquez l'air pendant trois secondes puis expirez lentement par la bouche en laissant le ventre redevenir plat. Le bon rythme ? Trois fois par jour voire plus, si vous ressentez le besoin de vous relaxer.
D'où vient ce désordre psychique favorisant l'anxiété ? Cela peut être héréditaire ou environnemental, mais on cite également l'anxiété post-traumatique (accident, attentat, décès d'un proche, choc psychologique).
La respiration abdominale pour déstresser !
Fermez les yeux et détendez-vous le plus possible avant de démarrer, en respirant calmement. Inspirez par le nez en gonflant votre ventre comme un ballon, doucement, sans forcer.
Dyspnée aiguë
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
Entre l'index et le pouce
Si vous pincez la chaire entre l'index et le pouce, vous parviendrez, là encore à soulager vos angoisses passagères. Masser cette zone en respirant profondément sera très efficace contre le stress et l'anxiété. Là encore on vous conseillera de maintenir la pression pendant 2 à 3 minutes.
Choisissez un endroit paisible et verdoyant et marchez dans un premier temps sans trop réfléchir. Puis, peu à peu, adoptez une marche soutenue et calez votre respiration sur le rythme de vos pas. Expirez longuement pour chasser les toxines qui envahissent votre organisme.
Position assise
Placez les deux pieds sur le sol. Penchez légèrement la poitrine vers l'avant. Posez les coudes sur les genoux. Appuyez le menton sur vos mains.
Lorsque vous êtes anxieux ou stressé, votre respiration devient plus rapide et plus superficielle, ce qui peut perturber l'équilibre entre l'oxygène et le dioxyde de carbone et déclencher encore plus d'anxiété, de peur et de panique.
► Si la dyspnée s'accompagne de toux et de fièvre, il faut consulter un médecin. ► En cas de dyspnée permanente avec souffle court et difficultés à inspirer et expirer, c'est une urgence respiratoire.
"La respiration abdominale est utile parce qu'elle améliore l'oxygénation du corps. La qualité de la respiration étant meilleure, le corps va mieux, et si le corps va mieux l'équilibrage du système nerveux est meilleur, ce qui annihile la production du cortisol, hormone du stress.
Videz au maximum l'air en soufflant longuement et doucement. Puis inspirez, en laissant bien votre ventre se gonfler. N'hésitez pas à fermer les yeux pour mieux vous concentrer. Le but de la cohérence cardiaque est de diminuer sa fréquence de respiration.
Respirer par le nez permet de filtrer, réchauffer et humidifier l'air inspiré avant son entrée dans les poumons. Au contraire, l'air inspiré par la bouche n'a pas ses qualités et favorise les infections ORL (otites, rhumes).
"En cas de stress, on peut consulter un psychologue, un psychothérapeute, un psychiatre. Les trois sont capables de gérer le stress. Il n'y a pas en soi de véritable spécialiste du stress. On peut avoir des affinités avec le traitement du stress : les thérapies comportementales, la pleine conscience…
L'anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé
Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations...).
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Si votre difficulté respiratoire est d'origine psychogène (anxiété, stress, etc…), il se peut qu'elle soit liée à un syndrome d'hyperventilation ou à une spasmophilie. Il s'agit alors d'un symptôme bénin.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'estomac et le pancréas sont situés au niveau du côté gauche de notre corps. Lorsque nous dormons sur le côté droit, le corps doit lutter contre la gravité. Cela engendre une certaine pression sur l'estomac et le pancréas, les empêchant ainsi de fonctionner correctement.