On calcule le discriminant Δ = b2 – 4ac de la fonction polynôme f définie par f(x) = ax2 + bx + c. Étudier le signe du discriminant Δ. Si Δ < 0, alors cette équation n'admet pas de solutions réelles. Si Δ = 0, alors cette équation admet une solution unique .
Une fonction polynôme est la somme de fonctions monômes.
Par abus de langage, on parle souvent de polynôme au lieu de fonction polynôme. Un polynôme de degré deux est aussi appelé trinôme du second degré. -ax² + bx + c est un trinôme du second degré.
Lorsqu'on recherche l'équation d'une droite à partir du taux de variation et d'un point, on peut suivre les étapes suivantes : Dans l'équation y=ax+b y = a x + b , remplacer le paramètre a par le taux de variation donné. Dans cette même équation, remplacer x et y par les cordonnées (x,y) du point donné.
Une fonction polynôme de degré 2 f est définie sur ℝ par f (x) = ax2 + bx + c, où a, b et c sont des nombres réels donnés et a ≠ 0.
Étape 1 : Calcul du discriminant Δ = b² - 4ac. Si Δ < 0 : Pas de solution à l'équation ; Si Δ = 0 : Une seule solution S = -b/2a ; Si Δ > 0 : Deux solutions à l'équation S = {(-b-racine(Δ))/2a, (-b+racine(Δ))/2a}.
Règles de priorité
Pour calculer une expression numérique sans parenthèses, on effectue les calculs de la gauche vers la droite, en commençant par les multiplications et les divisions qui ont priorité sur les additions et les soustractions.
L'extremum d'une fonction polynôme de la forme f(x)= ax² + bx + c est atteint lorsque x= −b 2a . Si a est positif alors f ( −b 2a ) correspond à la valeur minimale de la fonction, si a est négatif, cela correspond au maximum de la fonction.
Les racines d'une fonction polynôme de degré 3 du type x → a(x – x1)(x – x2)(x – x3) sont x1, x2 et x3. La fonction f : x → 2(x – 2)(x + 1)(x + 2) admet 3 racines : –2 ; –1 et 2. En effet, f(–2) = f(–1) = f(2) = 0.
On donne la courbe représentative d'une fonction trigonométrique. Il faut déterminer si son équation est de la forme y = asin(bx) + c ou de la forme y = acos(bx) + c et retrouver les valeurs de a, b et c.
On peut imaginer que la fonction f agit comme une machine qui effectue une transformation de x. Exemple : Considérons la fonction réelle f={(x,y)∈R2|y=3x2+4}. Lorsque l'on introduit x dans la machine f, celle-ci fait subir à x les transformations de l'opération 3x2+4 afin d'obtenir f(x) à la sortie.
Une fonction polynôme du second degré est une fonction définie sur R par , avec a un réel non nul, b et c deux réels. Sa représentation graphique est une parabole dont les branches sont tournées vers le haut lorsque et vers le bas lorsque . Le sommet S de la parabole est le point de la parabole d'abscisse .
Si a > 0 a>0 a>0 la fonction est croissante. Si a < 0 a<0 a<0 la fonction est décroissante. Une fonction affine est une fonction linéaire avec l'ordonnées à l'origine b = 0 b=0 b=0.
Les fonctions polynômes du second degré sont des fonctions dont les représentations graphiques ont des propriétés de symétrie. D'autres part, les variations et les extremums de telles fonctions sont très facilement descriptibles.
Un polynôme à une variable est un polynôme qui ne contient qu'une seule variable. On dit du facteur constant d'un monôme que c'est son coefficient. Le degré d'un polynôme est la plus grande somme obtenue en additionnant les puissances des variables de chaque terme du polynôme.
Une fonction (polynôme) de degré 3 est une fonction qui peut s'écrire sous la forme f(x) = ax3 + bx² + cx + d avec a un réel non nul, b, c et d trois réels. La fonction f définie par f(x) = –2x3 + 3x² – 5x + 1 est une fonction du troisième degré. On identifie les coefficients : a = –2 ; b = 3 ; c = –5 ; d = 1.
Propriété d'un polynôme du troisième degré
Si $x_0$ est une racine du polynôme ($P(x_0) = 0$) alors $P$ se factorise sous la forme suivante : $P(x) = (x – x_0)\times Q(x)$ avec $Q$ un polynôme du second degré.
Une racine complexe d'un polynôme P est un nombre complexe z tel que P(z) = 0. Par exemple, nous savons maintenant que le nombre complexe i est une racine complexe du polynôme X2 + 1 puisque i2 = −1. Le polynôme X2 + 1 est donc factorisable dans C : X2 +1=(X − i)(X + i).
le Maximum β est atteint lorsque a(x−α)2 = 0, c'est-à-dire pour x = α. Soit P(x) = − 1 2 (x − 2)2 − 1, on obtient : P est croissante sur ] − ∞ ; 2], décroissante sur [2 + ∞ [. Utilisation de la propriété de symétrie de la courbe.
Calcul du minimum d'un polynôme de degré 2.
C'est égal à a*(- b/2a)^2 + b*(-b/2a) + c. Donc là c'est égal à quoi ? (- b/2a)^2, donc ça fait (-b)^2 ça, ça fait b^2 divisé par (2a)^2, ça fait 4a^2.
Calcul du coefficient directeur d'une droite (AB) non parallèle à l'axe des ordonnées : a= . Dans un repère orthonormé, le coefficient directeur d'une droite d est la tangente de l'angle qu'elle forme avec l'axe des abscisses : a=tan(Ox, d).
La méthode Abacus ou comment rendre le calcul mental facile et ludique ! Née au 16ème siècle en Asie, la méthode Abacus permet d'effectuer des opérations de calcul mental de façon rapide. Elle s'appuie sur l'utilisation d'un boulier dont les boules représentent des chiffres et des nombres.
on commence toujours par les calculs entre parenthèses, puis les puissances, les multiplications ou les divisions et enfin pour terminer les additions ou soustractions.
Le terme général d'une suite arithmétique (Un) est donné par la formule suivante: Un = Up + (n-p)×r (où Up est le terme initial). Cas particulier si U0 est le terme initial, alors Un=U0+nr. Toute suite arithmétique est caractérisée par sa raison r et son premier terme.