La prévalence d'une maladie est le nombre de personnes atteintes par cette maladie à un instant donné dans une population donnée. Le taux de prévalence est calculé en divisant ce nombre de cas par l'effectif de la population exposée.
Nombre de cas de maladies enregistrés pour une population déterminée et englobant aussi bien les nouveaux cas que les anciens cas.
Nombre de cas apparus pendant une année au sein d'une population. Elle doit être distinguée de la prévalence, qui désigne la proportion de personnes malades à un moment donné.
Le taux de mortalité est le rapport du nombre de décès de l'année à la population totale moyenne de l'année.
On peut exprimer la relation entre l'incidence et la prévalence par la formule : Prévalence = incidence * durée de la maladie. On peut donc calculer la durée moyenne d'une maladie si on en connaît la prévalence ainsi que l'incidence.
C'est le nombre absolu de patients atteints par la maladie à un moment donné. On parle habituellement de taux de prévalence qui est le nombre de patients divisé par le nombre d'individus dans une population.
Pour une période donnée (typiquement un an), ce taux est le rapport entre le nombre de personnes atteintes et la population totale considérée. Cela donne un nombre de cas par habitant, qu'on ramène en général à 1 000, 10 000 ou 100 000 habitants afin de ne pas manipuler de trop petits nombres.
Le taux de natalité est le rapport du nombre de naissances vivantes de l'année à la population totale moyenne de l'année.
Le taux brut de natalité est le rapport entre le nombre de naissances vivantes au cours de l'année et la population moyenne du territoire en question au cours de cette année. Cette valeur est exprimée en 1 000 personnes.
Le taux de natalité (ou taux brut de natalité) est le rapport entre le nombre annuel de naissances et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné. Il s'exprime souvent en pour mille (‰).
Plusieurs synonymes peuvent également être utilisés pour remplacer le mot "prévalence". C'est notamment le cas des termes : "primauté", "prédominance", "priorité", "prééminence", "avantage" ou encore "supériorité".
Par définition, le taux d'incidence (TI) de la maladie est la «vitesse de production» de nou- veaux cas au cours d'un intervalle de temps. Il est égal au nombre de nouveaux cas survenus dans cet intervalle de temps divisé par la taille de la population à risque.
L'épidémiologie peut-être descriptive (mesurer l'état de santé), analytique (expliquer l'état de santé) ou évaluative (évaluer les actions de soins).
Une enquête de prévalence est une étude transversale, réalisée le plus souvent un jour donné pour compter les patients présentant une maladie ou recevant un traitement (ici une IN ou un traitement anti-infectieux).
Remarque. Le taux d'incidence s'exprime généralement en « nombre de personnes pour 100 000 personnes par année », afin de permettre des comparaisons entre les populations et dans le temps.
En 2019, l' indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) s'établit à 1,87 enfant par femme, après 1,88 en 2018. Après quatre années de baisse entre 2015 et 2018, l'ICF se stabilise donc. Il oscillait autour de 2,0 enfants par femme entre 2006 et 2014. Les femmes les plus fécondes sont celles ayant entre 25 et 34 ans.
Le taux brut de mortalité est le rapport entre le nombre de décès au cours de l'année et la population moyenne du territoire en question au cours de cette année.
Le taux de croissance correspond au taux de variation entre le produit intérieur brut (PIB) au début de la période et le PIB à la fin de la période considérée. La croissance est donc exprimée en pourcentage.
Le solde naturel est la différence entre le nombre de naissances vivantes et le nombre de décès calculé le plus souvent au cours d'une année. En général, le nombre de naissances est supérieur à celui des décès, on parle alors d'accroissement naturel.
La croissance démographique correspond à la somme du solde naturel et du solde migratoire, calculé en général pour une année. L'effectif d'une population augmente quand il y a excédent des naissances sur les décès (solde naturel) et des entrées de migrants sur les sorties (solde migratoire).
Le taux d'excédent naturel (ou accroissement naturel) est le taux de croissance démographique imputable au mouvement naturel de la population, c'est-à-dire, celui qui ne résulte que des naissances et des décès. Il se calcule comme le rapport du solde naturel pendant une période à la population moyenne de cette période.
La formule de calcul mathématique serait : Cette formule nous fournit les informations en pourcentage. En divisant 500 par 10 000 et en multipliant le résultat par 100 (pour le convertir en pourcentage), on trouve que 5 % de la population est touchée. La prévalence de la maladie dans notre population est donc de 5 %.
La formule ci-dessous est communément utilisée pour répondre à cette question : Nombre de cas = N x P x K x C Où : N est la taille de la population dans la zone de programme. Il s'agit en général de la population âgée de 6 à 59 mois, qui, dans les pays à faible revenu est estimée à 20% de la population totale.