Pour réaliser une bonne isolation afin de sortir de la classe énergie E, il convient d'isoler les combles perdus d'un logement par exemple ou repenser l'isolation des vitrages (passer à du double-vitrage par exemple). Le plafond, le plancher et les murs sont en contact avec l'extérieur.
Faites des travaux d'isolation
Sans surprise : le premier moyen pour améliorer le résultat d'un DPE consiste à réaliser des travaux d'isolation, à commencer par la toiture qui constitue le premier poste de déperdition de chaleur dans une maison. Vérifiez donc l'état de l'isolation des combles perdus ou habitables.
Pour améliorer les performances du logement on peut investir dans un système de chauffage plus écologique comme une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse. L'investissement est important mais les résultats se ressentiront autant sur l'impact écologique que sur le budget à long terme.
Le meilleur moyen d'améliorer son DPE, c'est de réaliser des travaux sur les postes de consommation les plus énergivores. Bien heureusement, le DPE met en évidence ces postes consommateurs ainsi que les coûts qu'ils engendrent sur l'année.
Généralement, des travaux d'isolation thermique, le remplacement du système de chauffage et le changement des fenêtres permettent d'améliorer la performance énergétique du logement de façon considérable, et notamment de passer de la classe G à la classe F ou E.
La consommation énergétique d'un logement de classe G
La classe G est donc la catégorie la moins économe pour un appartement ou une maison. La consommation moyenne de ce type d'habitation est de 450 kWh/m² par an. En tout, ce sont 80 kg eq CO2/m² par an qui sont émis par un logement étiqueté G.
Le meilleur moyen pour vous de passer de F à D sur l'étiquette énergie, c'est : Réaliser une rénovation globale, impliquant plusieurs travaux sur des postes différents : VMC double flux, isolation des rampants de toiture et installation d'une chaudière à bûches, par exemple.
Pour réaliser une bonne isolation afin de sortir de la classe énergie E, il convient d'isoler les combles perdus d'un logement par exemple ou repenser l'isolation des vitrages (passer à du double-vitrage par exemple). Le plafond, le plancher et les murs sont en contact avec l'extérieur.
Isoler les murs extérieurs et le plancher bas. La chaleur ne fait pas que monter. Changer les fenêtres. Cela ne doit pas être votre priorité absolue car cela améliore relativement peu la performance énergétique de votre logement, comparé à une isolation de la toiture ou des murs extérieurs.
Face à cet afflux d'offres, les prix commencent à bouger. C'est pour les logements classés F au titre du diagnostic de performance énergétique (DPE) que l'impact sur les tarifs est le plus fort. Au niveau national, un bien classé A coûte 11% de plus qu'un F. Et localement, les différences sont parfois spectaculaires.
En conclusion, le DPE et l'AER vous permettent de savoir si votre logement est classé F ou G, mais ils n'ont pas le même objectif. Le DPE permet de connaître l'étiquette du logement et comporte quelques suggestions succinctes d'amélioration.
Début janvier, l'exécutif a, par décret, qualifié de logement décent les biens dont la consommation énergétique annuelle est inférieure à 450 kilowattheures par mètre carré de surface habitable. Cela recoupe en partie la classe G.
Parmi les travaux qui permettent d'améliorer le DPE d'un logement, figure en tête de liste l'isolation thermique. L'isolation est la clé d'une rénovation réussie. D'après l'Ademe, dans un logement ancien ou mal isolé, les pertes de chaleur s'effectuent principalement par la toiture (25-30 % des pertes).
Bien isoler, la priorité
D'après l'Ademe, une isolation thermique performante peut diminuer la consommation d'énergie de 60 % ou plus5 ! Question travaux d'isolation à engager pour améliorer le bilan énergétique de votre maison, privilégiez le toit. 25 à 30 % de la chaleur s'échappe par celui-ci !
Lettre E : performance énergétique moyenne, pour un logement dont la consommation est comprise entre 231 et 330 kWh/m²/an. Lettre F : performance énergétique faible, pour un logement dont la consommation est comprise entre 331 et 450 kWh/m²/an.
La meilleure façon de savoir si sa maison est bien isolée est de pratiquer un bilan thermique qui sera réalisé par un professionnel d'un bureau d'études. Son rôle est d'analyser chaque partie de la maison et de déceler les endroits où la chaleur produite par le chauffage est perdue du fait d'une mauvaise isolation.
Officiellement, la définition du logement énergivore est un logement qui consomme plus de 331 kWh par mètre carré et par an. Cela correspond à une facture d'énergie d'au moins 300 € par mois.
Et pour obtenir un A, il faudra envisager une rénovation lourde puisque les logements avec cette étiquette sont souvent des logements récents respectant les dernières normes thermiques en vigueur dans le secteur de la construction. Ce qui n'est pas une mince affaire pour un particulier.
Dans les textes, les anciens DPE pourront être utilisés jusque fin 2022, voire jusque fin 2024 pour les plus récents. En théorie… Car en pratique, dès le 1er juillet 2021, bon nombre de DPE deviendront obsolètes et devront être refaits. Le DPE conserve ses dix ans de validité, sauf ceux réalisés avant le 30 juin 2021.
Un logement classé F signifie que l'habitation consomme une quantité importante d'énergie et/ou produit une grande quantité de gaz à effet de serre. Ce type de logement est classé dans la catégorie des passoires énergétiques qui représente 4,8 millions de logements français en 2021.
On estime qu'un logement dont la classe énergie est comprise entre A et C est un logement économe avec un bon DPE (jusqu'à 150 Kwh/m²/an et 20 KgeqCO2/m²/an), et un logement dont la classe énergie est comprise entre D et F (au-delà de 151 Kwh/m²/an et 20 KgeqCO2/m²/an) est un logement énergivore avec un DPE médiocre ou ...
Pour vous aider à comprendre ce tableau : La moyenne nationale du DPE est de 250 kWh/m² par an, soit un classement de catégorie E. Une classe énergie de maison A, B, C et D est donc meilleure que la moyenne, tandis que les classes énergies F ou G correspondent aux catégories les plus énergivores.