Quand on hésite entre deux choix, la meilleure solution pour prendre une bonne décision est d'intégrer les éléments rationnels. Ainsi, le système nerveux parvient plus facilement à faire la balance entre les avantages et les inconvénients de chaque partie.
Comment prendre une décision quand on est indécis ?
Prendre son temps
Prenez votre temps, ne vous précipitez pas. Lorsque vous avez un choix à faire, limitez les possibilités à deux ou trois, et fixez-vous une durée limite pour prendre votre décision. Laissez-vous suffisamment de temps, mais fixez une limite. Le délai écoulé, prenez votre décision.
J'AIME 2 personnes, comment CHOISIR ? (Comment se décider entre deux choix ?)
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Comment accepter un mauvais choix ?
Faites confiance à votre instinct
Lorsque l'on est indécis ou bloqué face à un choix, c'est généralement parce que nous ne sommes pas en phase avec nous-même. Face au fatidique "Je ne sais pas'" nous devons prendre le temps de nous écouter, fermez les yeux et écouter votre intuition.
Mais il y a plus. Selon la psychologue Josée Jacques, l'indécision est souvent le signe d'un manque de confiance ou d'estime de soi qui fait remettre en question son propre jugement. «Ces gens sont très sensibles à l'opinion des autres et ont besoin d'être rassurés quant à leurs choix.
Choisir, c'est renoncer, mais renoncer n'est pas choisir. Quand on choisit, on décide entre une chose et d'autres. On renonce à ce qui n'est pas choisi et parfois, on peut choisir sans renoncer à toute autre chose, on choisit plusieurs choses, mais il n'en reste pas moins que l'on est toujours obligé de faire un choix.
1 // Cultiver « l'alignement » intérieur. Toutes les « parties » de vous doivent être alignées pour un choix judicieux et votre Arbitre intérieur doit désigner le côté à qui revient le choix.
Elle permet de développer considérablement la confiance en soi et surtout de s'aligner avec ses propres valeurs de vie. Ainsi, la prochaine fois que l'on vous demandera de faire ou d'accepter quelque chose, posez-vous la question. Essayez de comprendre pourquoi vous faites le choix d'accepter.
La surcharge de choix constitue un facteur important pour expliquer certaines de nos mauvaises décisions. Documentée comme un trouble cognitif, elle survient au cours d'un processus de prise de décision lorsque nous sommes confrontés à trop d'options entre lesquelles nous ne pouvons pas facilement choisir.
Une bonne décision, c'est surtout une méthode. Du coup, si ce n'est pas le résultat qui détermine la qualité d'une initiative, qu'est-ce-que c'est ? C'est tout simplement la façon dont on est arrivés à telle ou telle conclusion. C'est à dire, la méthode, le process qui ont mené à cette décision.
Avoir des regrets vous empêche de profiter du moment présent et d'évoluer vers l'atteinte de vos objectifs, vos besoins, vos désirs, vos rêves. Il est donc nécessaire de se concentrer sur le présent sans penser au passé et à ce qui est hors de contrôle.
Quelle est la différence entre avoir des regrets et avoir des remords ?
Le regret c'est le chagrin, repentir, d'avoir fait ou ne pas avoir fait. Dans le regret il y a une impression de 'c'est irréversible, trop tard, c'est fini'. Une notion de frustration et de culpabilité. Le remord de son côté, est une vive douleur morale causée par la conscience d'avoir mal agi.
L'OBSTINATION se retrouve chez une personne qui s'attache avec énergie à sa façon de penser, à ses croyances. Elle reste convaincue d'avoir raison. La plus grande différence entre ces deux attitudes est la peur. Une personne persévérante n'a pas peur.
Pour rebondir après un échec, il faut aussi en comprendre la raison. Une étape indispensable avant de penser à l'après est donc d'évaluer ce qui n'a pas fonctionné. Prendre du recul permet de voir les choses plus clairement, et d'identifier les différentes étapes ou mauvaises décisions qui ont conduit à votre échec.
Assumer ce que nous disons de l'autre c'est être vigilant à l'utilisation des injonctions, vous savez, du style : « tu es ceci… » ou « vous êtes cela … » Assumer ce que nous disons sur l'autre, c'est assumer de dire « je pense que tu es », « je trouve que vous êtes… »