Pour former le passé simple d'un verbe du 1er groupe, on ajoute au radical les terminaisons -ai, -as, -a, âmes, -âtes, -èrent. Ex. : Il parla. Pour former le passé simple d'un verbe du 2e groupe, on ajoute au radical les terminaisons -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent.
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée». De la même manière, on écrira «Elles se sont téléphoné» et non pas «Elles se sont téléphonées» car on sous-entend «Elles ont téléphoné à qui? À elles».
Le passé simple exprime un fait qui s'est produit dans le passé et qui est terminé. Une marque de temps accompagne souvent le verbe au passé simple afin de définir clairement le temps pendant lequel l'action a eu lieu. Le 14 décembre 1945, il neigea très fort. Aux Jeux olympiques de 1992, elle gagna la médaille d'or.
Au passé simple
Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
Le passé simple est un temps du passé qui s'utilise principalement à l'écrit. Contrairement à l'imparfait, il permet d'exprimer une actuelle ponctuelle et relativement brève sans notion de répétition ou d'habitude. Il regardait un film lorsque le téléphone sonna. Ce jour-là, le train arriva à l'heure.
Pour les verbes du 1er groupe, le passé simple se forme en ajoutant au radical du verbe les terminaisons suivantes : -ai, -as, -a, -âmes, -âtes, -èrent.
On emploie cette tournure dans des contextes comme : pour que tu aies connaissance du dossier , à moins que tu aies changé d'avis , il faut que tu aies confiance en toi , il semblerait que tu aies oublié le rendez-vous , je suis contente que tu aies pu venir .
La réponse simple. On écrit « aie » ou « aies » quand il s'agit des formes conjuguées du verbe avoir au subjonctif présent, selon que le sujet est la première personne du singulier : que j'aie ou la deuxième personne du singulier : que tu aies.
En théorie, on emploie davantage le passé simple pour évoquer des événements lointains, alors qu'on emploie le passé composé pour évoquer des faits récents ou dont les conséquences ont un effet durable dans le présent.
Le passé composé supplante parfois le passé simple dans un récit littéraire, comme le fait le présent historique dans les livres d'histoire. Son emploi est inévitable à l'oral, que l'action soit proche ou lointaine, et il est censé garder un lien avec le présent (d'ailleurs l'auxiliaire est au présent...).
Gardez à l'esprit que l'imparfait est utilisé dans un récit pour y décrire le cadre général et des actions qui ne font pas progresser l'histoire. La durée est souvent complètement indéterminée. Au contraire, le passé simple est utilisé pour raconter l'histoire et les actions uniques qui font progresser le récit.
L'imparfait décrit une action qui dure dans le temps. C'est le temps idéal pour planter un décor, décrire une situation passée, ou une action à durée indéterminée. Le passé simple est le temps du récit. Il décrit une action passée, qui a un début et une fin clairement identifiable.
Le passé simple exprime des actions brèves ou longues qui se déroulent à un moment défini du passé. Le passé simple est un temps régulier de l'indicatif. Particularité : absoudre et dissoudre ne se conjuguent pas au passé simple.
L'imparfait est utilisé pour une description, parler d'une habitude, d'une action en progression dans le passé : Quand il faisait froid il n'oubliait pas de mettre ses gants sur la cheminée. Ici, c'est une habitude. Pour le passé composé, l'action est précise et achevée.
On écrit « elle s'est souvenue » parce que le participe passé s'accorde avec le sujet « elle » Au masculin singulier, la forme conjuguée du verbe « se souvenir » au passé composé est « il s'est souvenu ».
Quand on demande poliment quelque chose, il vaut mieux utiliser “je voudrais”. À première vue, la phrase suivante est parfaitement correcte: Je veux un café. En effet, grammaticalement, il n'y a rien à redire: le verbe “vouloir” est parfaitement conjugué à la 1re personne du présent de l'indicatif.
Pourquoi n'écrit-on pas « elle m'a demandée » ? Parce que le pronom m'est complément d'objet indirect (COI) du verbe demander, conjugué au passé composé. Le participe passé est donc invariable. La formule « elle m'a demandé » équivaut à dire : elle a demandé à moi.
Vous demandez avec -ez
Comme on le voit, il peut y avoir d'autres mots insérés entre vous et demandez mais ça ne change rien à l'accord. Tant que la personne qui demande est vous , on écrit demandez avec -ez .