La conservation du macabo peut s'effectuer de deux manières. Tout d'abord en champ, dès la maturation des tubercules qui survient au 9 ème mois après les semis, on peut laisser le macabo sur tige sans le récolter. Cette période de conservation peut durer 6 mois.
Dans une casserole, on dispose les macabos bien lavés et on y verse un peu d'eau, juste nécessaire pour couvrir à peine les tubercules. Le contenant peut alors être placé sur un feu vif. Lorsque l'eau bout, on peut ajouter du sel et/ou un autre assaisonnement.
Multiplication. Le macabo se propage de façon asexuée par bouturage. On peut utiliser les bourgeons latéraux se formant à la base de la tige, ou les fragments de la corme et des cormels ou bien des tubercules entiers.
La densité pour un hectare étant de 10.000 pieds, il faut prévoir en moyenne 1500 kg; soit 15 sacs de 100 kg de semence. Le macabo est une culture annuelle. Sa plantation (semis) doit s'effectuer en début de saison des pluies, précisément entre les mois de mars et d'avril.
Comment conserver le manioc ? Contrairement à ce qu'on pourrait penser en le voyant, le manioc est gorgé d'eau et fragile. Il doit être conservé dans un endroit sombre, sec (pour éviter qu'il ne moisisse) et frais. Le garder dans le bac à légumes du réfrigérateur sera donc la meilleure solution.
Vous pouvez aussi les conserver sur une claie pour les personnes qui vivent dans des zones où il n'y a pas d'électricité. Dans le cas contraire, vous pouvez les congeler et les réchauffer à la vapeur, au grill, friture, micro-onde au moment de les consommer.
Entreposez les tubercules, les rhizomes et les racines tubéreuses dans un endroit frais (entre 4 et 10 ºC), sombre et humide.
Sa forte teneur en amidon et en fibres le rend facile à digérer. En outre, il favorise le transit intestinal et permet de soulager les problèmes d'estomac et les irritations du côlon mais également de lutter contre la constipation et la diarrhée.
Eléments distinctifs. A première vue, le taro et le macabo sont assez semblables. Pourtant, il y a des caractéristiques nettement visibles qui permettent de les distinguer facilement. Le taro atteint une hauteur d'un à deux mètres et possède des feuilles larges, avec de longues pétioles sortant d'un verticille.
En culture pure la densité pour un hectare étant de 10.000 pieds et prévoir en moyenne 1500 kg soit 15 sacs de 100 kg de semence; Sur un hectare de macabo, on peut récolter plus de 15 tonnes (150 sacs de 100 kg) de gros macabo destinés à la consommation, et environ 3 tonnes (30 sacs de 100 kg) de petits tubercules ...
[2019] ont montré que l'application des fertilisants organiques permet d'améliorer la croissance et le rendement du gombo. TCHABI et al. [2012] indiquent dans une étude sur la laitue, que des doses croissantes de la bouse de vaches favorisent le développement végétatif des plants.
Pour faciliter la levée la dormance des graines capricieuses, telles celles des Apiacées (persil, panais, carotte …) les laisser simplement tremper une journée dans un verre d'eau.
Description. Le Xanthosoma sagittifolium, macabo, malanga ou chou Caraïbe, est une plante tropicale dont les feuilles sont en forme d'oreilles d'éléphant. Certaines plantes de macabos peuvent ou non, connaître une floraison. De la famille des aracées, c'est une plante à tubercules originaire de l'Amazonie.
In CMF, Xanthosoma sagittifolium (Macabo tree) leaves are generally used for storage.
Ce sucre cuit permettra la confection de fondant mou, de caramels mous (à la couleur blonde), ou encore d'une meringue italienne. De 125 à 130°C le sucre est appelé « gros boulé ».
A compter de l'ébullition, compter 15 minutes. Les ignames sont cuits dès qu'on peut enfoncer une pointe de couteau entièrement en forçant légèrement.
Toutefois si le tubercule a été longtemps conservé avant la cuisson (et est donc devenu un peu sec), il est préférable de le laisser au feu pendant 20 à 25 minutes. Lorsque le taro est cuit, il devient mou. En ce moment, il peut être pénétré facilement par une fourchette.
Le taro peut se cuisiner de multiples façons, bouillit, cuit à la vapeur, frit… En polynésie, on le consomme en frites ou coupé en tranches épaisses que l'on fait bouillir puis que l'on déguste avec du lait de coco frais. A l'île Maurice, on retrouve les arouilles qui sont des boulettes de taro râpées puis frites.
Il contribue à la formation des os et des dents, ainsi qu'au maintien de leur santé. Le calcium joue aussi un rôle essentiel dans la coagulation du sang, le maintien de la pression sanguine et la contraction des muscles, dont le coeur ; Magnésium : le gombo cru et le gombo bouilli sont des sources de magnésium.
Source de fibres et de glucides complexes, l'igname contribue à équilibrer le menu tout en fournissant de l'énergie. Elle remplace la pomme de terre à merveille, en préparation salée ou sucrée. Naturellement diurétique.
Le manioc cru
Il existe deux variétés de manioc : amer et doux. Si vous pouvez manger le manioc doux cru sans problème, on vous déconseille vivement de consommer du manioc amer cru dont les glycosides cyanogènes peuvent entrainer un empoisonnement au cyanure.
Les pommes de terre se gardent dans un endroit frais et sec pour éviter la germination. L'idéal : entre 6 et 8°C, dans le bac à légumes du réfrigérateur ou dans une cave. A savoir : La congélation des pommes de terre crues n'est pas recommandée.
Comme la patate a besoin de respirer, il est conseillé de la placer dans un panier en osier, son filet d'achat, une cagette en bois, ou encore un sac en toile de jute, mais rien d'hermétique. Quand c'est possible, le meilleur endroit pour les conserver reste donc une cave.
La Bernadette : variété demi‑précoce, elle se cuisine aussi bien en salade qu'à la vapeur. La Bernadette est l'une des pommes de terre qui se conserve le mieux.