Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Accrochez un bouquet de gui à votre porte
La tradition de suspendre du gui à la porte du foyer, promesse de fertilité, vient des Celtes. De là l'expression "que le blé germe" est devenue "au gui de l'an neuf" pour se souhaiter la bonne année.
CONSERVER UN BOUQUET DE BRANCHAGES DANS UN VASE SANS EAU
Afin d'éviter que les branches ne se fanent trop vite, imbibez, à l'aide d'un pinceau, d'un linge ou d'une boule de coton, l'extrémité de chaque branche d'une solution composée d'un mélange de 2/3 d'eau chaude et 1/3 de glycérine.
Il est habituel aujourd'hui d'accrocher dans les maisons cette plante décorative à l'occasion du nouvel an, en souhaitant qu'elle porte bonheur à tous ceux qui s'embrassent dessous. Cette tradition remonterait aux Gaulois.
Aujourd'hui, l'usage veut que celui-ci soit accroché au-dessus d'une porte ou au plafond pour s'embrasser le soir du 31 décembre.
Faites sécher les feuilles en plein air s'il n'est pas nécessaire qu'elles soient plates. Placez les feuilles dans un récipient peu profond ou regroupez-les en petits bouquets. Exposez-les alors directement au soleil pendant quelques jours.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
L'utilisation la plus connue du gui est sans doute d'embrasser quelqu'un en dessous. Suspendez-le dans un couloir, au dessus d'une porte ou au plafond avec l'instruction que toute paire qui passe dessous doit au moins se donner une bise sur la joue.
On cueille les feuilles mais pas les fruits !
Les feuilles et les petites tiges sont collectées du début du mois d'octobre à la mi-décembre.
Afin d'éviter que les branches ne se fanent trop vite, imbibez, à l'aide d'un pinceau, d'un linge ou d'une boule de coton, l'extrémité de chaque branche d'une solution composée d'un mélange de 2/3 d'eau chaude et 1/3 de glycérine. Laissez sécher puis placez les branches harmonieusement dans le vase.
Installez la composition de branchages
Au fond du vase, installez une couche de 4 cm environ de galets transparents. Remplissez votre vase d'eau. À l'intérieur, disposez les 5 branches de saule ou de noisetier tortueux de façon harmonieuse. Vérifiez la stabilité de l'ensemble, surtout si les branches sont longues.
Ses vertus anxiolytiques et sédatives lui permettent de soulager les maux de tête, les angoisses et l'hyperactivité des enfants. On utilise aussi le gui contre les maladies articulaires inflammatoires dégénératives, telles que la polyarthrite rhumatoïde.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Un symbole d'immortalité
Le gui était pour les Gaulois le symbole de l'immortalité. Une fois par an, au solstice d'hiver, le gui était vénéré chez les druides vêtus de blanc qui le coupaient avec une serpe d'or pour accomplir une fête solennelle sur un chêne, le plus sacré des arbres.
Suspendez ce bouquet au-dessus de la cheminée.
Vous pouvez aussi réaliser une série de petits bouquets et les suspendre au linteau des portes. Et maintenant embrassez-vous ! Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Vous pratiquez une petite entaille sur une jeune branche en janvier février. Il suffit ensuite de faire éclater une baie de gui dans cette entaille. La substance collante que contient la baie maintient celle-ci en place. Une touffe de gui demande plusieurs années pour fructifier.
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Le gui est une plante druidique
Les druides l'utilisaient déjà comme hypertenseur, d'ailleurs, et traitaient aussi bien la coqueluche que la stérilité.
Pour conserver les feuilles mortes, c'est finalement très simple. Il vous faut seulement de la glycérine et de l'eau tiède. Dans une grande casserole vous placerez deux tiers d'eau tiède et un tiers de glycérine, ajoutez vos plus belles feuilles en prenant soin de n'y mettre que celles qui auront conservé leur tige.
La meilleure manière de le conserver est de le faire sécher dans un endroit sec, à plat sur un linge ou suspendu en bouquet d'une dizaine de feuilles la tête en bas, puis de l'entreposer dans un contenant fermé. Le laurier-sauce entre dans la composition du bouquet-garni avec le persil, le romarin et le thym.
Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l'eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes.