Signer un contrat avec un label signifie que vous avez déjà largement avancé dans votre carrière musicale. En effet, envisager de contacter un label signifie que vous avez déjà votre musique ; qui doit bien sûr être de qualité professionnelle.
Promouvez votre projet musical
Dans un deuxième temps, développez une stratégie de communication pour créer une communauté de fans autour de vous et de votre musique. Soyez présent sur Twitter, Instagram, Facebook, Soundcloud et Youtube. Ce sont les réseaux essentiels aujourd'hui pour se faire remarquer.
Vous devez solliciter l'ODG qui représente la filière de production et de vente du produit labellisé ou à labelliser. Un cahier des charges doit être rempli pour pouvoir intégrer l'ODG, montrant votre respect des critères prédéfinis dans le référentiel.
Pour ce qui est du nombre de chansons à envoyer, n'envoyez jamais plus de deux titres. Mettez-vous à place des directeurs artistiques qui n'ont pas envie d'écouter les albums entiers des centaines d'artistes qui les contactent toutes les semaines. S'ils veulent en écouter plus alors ils vous demanderont.
Quels sont les avantages ? Posséder un label peut être un bon moyen de se démarquer de la concurrence. Notamment grâce au fait qu'ils rassurent vos clients parce qu'ils sont un gage de crédibilité et de confiance valorisant vos produits et/ou vos services, mais aussi votre entreprise.
Il faut savoir que ce qui intéresse les producteurs c'est que vous ayez déjà au moins un titre prêt à être commercialisé, une identité visuelle bien précise, et une communauté active pour faciliter votre communication.
Par exemple, le label DJ Center “reçoit entre 100 et 150 maquettes par semaine”. Et encore, pensez au nombre de démos que reçoivent les labels encore plus connus ! Gérer la réception de ces maquettes et les écouter leur prennent beaucoup de temps.
Via les crédits d'album, on voit directement s'ils interprètent des chansons d'autres artistes ; Via la Sabam (en France Sacem et Socan au Canada) peut-être ; Via les petites annonces chansons ; En proposant l'info sur les réseaux, sur Facebook.
Pour réussir à trouver une bonne maison de disque, il faut donc : Un travail préliminaire avec plusieurs morceaux travaillés. Des enregistrements dans des studios pour faire des maquettes, des démos ou des titres. Contacter par divers moyens des directeurs artistiques de diverses maisons de disque.
Sony Music arrive en tête avec 1,036 milliards de dollars devant Universal Music, à 857 millions de dollars. Warner Music est distancée avec 478 millions de dollars.
Créer un dossier de presse électronique, rédiger un communiqué de presse musical ou envoyer une feuille contenant des liens vers 1 à 3 de vos meilleurs morceaux est le moyen le plus courant d'approcher les stations de radio, ainsi que les publications de presse et les blogs.
Pour finir de convaincre les maisons de disque, il faut mettre la cerise sur le gâteau, en leur montrant que vous avez déjà une communauté active. C'est à dire qu'il faut que vous communiquiez en amont sur les réseaux sociaux, afin de vous construire un début de “fan base”.
Vous pouvez facilement trouver un agent artistique en ligne, grâce à des plateformes de mise en relation entre professionnels (comme Muzrs) ou bien en recherchant et en contactant les managers d'artistes ayant le même style musical que vous.
Il existe quelques plateformes de mis en relation de scénaristes et producteurs. En France, la plus connue est Papertofilm.com. Je n'ai pas encore eu l'occasion de la tester, mais cela peut être un moyen de gagner en visibilité et d'être remarqué.
Les labels et certifications sont attribués en principe par un organisme public national ou international, ou par délégation à des organismes accrédités, dans le cadre d'une procédure réglementaire impartiale et dans un but d'intérêt général.
Plusieurs types d'organisations peuvent créer un label.
Les organisations syndicales ; Les associations de consommateurs ; Les regroupements d'employeurs ; Les associations…
Ces signes sont gérés en France par les ministères chargés de l'agriculture et de la consommation ainsi que par l'Institut national de l'origine et de la qualité (INAO), travaillant sous la tutelle du ministère chargé de l'agriculture.