Voile de calice : étoffe destinée à couvrir le calice et la patène. Voile huméral : longue écharpe de soie qui se place sur les épaules du prêtre et dont les extrémités servent à couvrir les mains. Il est utilisé pour porter le Saint Sacrement.
Le corporal est un linge blanc carré (« d'une blancheur immaculée », Domine Salvator, 29 mars 1929), fait de lin ou de chanvre et qui a été béni par l'évêque ou son délégué. Plié en 9, il est déplié et posé sur la nappe d'autel par le prêtre ou le diacre au début de l'offertoire.
Il s'agit des linges d'autel. Confectionnés en tissu, ce sont généralement quatre pièces assorties entre elles : le corporal, la pale, le purificatoire et le manuterge. Il y a ensuite d'autres objets liturgiques en tissu qui peuvent être assortis à ces quatre, comme la nappe d'autel, l'amict et d'autres encore.
S'incliner.
Attitude d'humilité, elle exprime notre petitesse devant le Seigneur. L'inclinaison ne fut introduite dans la liturgie qu'au IV e siècle. Antérieurement, c'était un geste réservé à l'adoration des idoles, de l'empereur, des princes et des officiels.
Préparer les ornements incombe habituellement au sacristain ou à un servant de messe. Celui-ci dispose alors sur le meuble de la sacristie (ou chasublier) les ornements du prêtre de la manière suivante : Il étend d'abord la chasuble à plat sur le meuble, en mettant le dos de celle ci vers le haut.
Lors de la consécration de l'autel, l'onction avec le saint chrême des cinq croix (une au centre et les autres aux quatre coins), et de toute la surface de la table, fait de cette pierre le symbole du Christ, que le Père a oint de l'Esprit Saint.
Il se plie en trois dans le sens de la longueur, puis en deux dans l'autre sens, de telle manière que soit visible sur la partie supérieure la croix brodée au centre.
Les papes encouragent la pratique de la génuflexion (fléchissement du genou droit devant le Saint-Sacrement) ou de l'agenouillement (attitude de prière et d'adoration à deux genoux). Benoît XVI déclarait récemment aux servants de messe : « N'ayez pas peur de vous agenouiller devant Dieu !
Prier à genoux, c'est le corps qui se prosterne et le cœur qui s'abandonne. Cette attitude de prière, très appropriée pour le temps du carême, exprime la soumission à Dieu, l'obéissance à sa volonté, l'adoration, l'humilité et la pénitence. C'est l'attitude de foi par excellence.
Lorsque l'Eucharistie n'est pas présente, il est possible simplement de s'incliner profondément devant l'autel.
La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
Les calices des premiers temps du christianisme sont faits de matières courantes, bois ou argile. Ainsi, le calice de saint Jérôme est en argile blanche. Par la suite, Le calice est souvent en matière noble, or, argent ou vermeil, parfois incrusté de pierreries ou d'émaux.
Les hosties ne sont composées que de deux ingrédients, de l'eau et de la farine, mais derrière se cache un long processus de fabrication. Après le pétrissage, il faut cuire la pâte dans un four pour la transformer en longues plaques croquantes. « Les pains d'autel peuvent être de deux couleurs : blanche ou dorée.
Un autel est une table consacrée sur laquelle, dans la liturgie catholique, le prêtre célèbre le saint sacrifice de la messe, ou eucharistie, comme mémorial de la dernière Cène du Christ et renouvellement non-sanglant du sacrifice de la Croix.
Après avoir bu au calice, le prêtre l'utilise pour en essuyer le bord ; on appelle cela « purifier » ce qui explique ce mot. Le manuterge est le plus petit des quatre et on trouve une croix dans un des coins.
L'attitude courante – en dehors des prosternations – est pour le musulman de tenir ses mains paumes ouvertes vers le haut à hauteur de l'abdomen. Ce qui évoque surtout la perspective terrestre de cette religion.
Les bras tendus et levés sont l'une des positions du prêtre pendant la messe. Lors d'une prière privée, elle peut indiquer supplication, louange ou réceptivité.
Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
En effet, le genou droit est exclusivement consacré à Dieu. Le poser en dehors du cadre religieux est un blasphème. Ainsi, avec le temps, les hommes montraient leur dévotion pour leurs femmes en déposant le genou gauche lors de la demande en mariage.
Quel genou mettre à terre ? Traditionnellement, la réponse à la question « Sur quel genou fait-on sa demande en mariage ? » est : le genou gauche.
Les stalles sont les sièges en bois qui se trouvent des deux côtés du chœur d'une église et qui sont réservés aux membres du clergé.
Les tremper dans un empois très ferme. Les serrer et les rouler dans un linge sec jusqu'au lendemain. Ils doivent rester entièrement humides. Avant de repasser un corporal, le disposer à droit fils dans sa longueur et sa largeur sans étirer les angles, afin que le pliage puisse être régulier.
Il lui est formellement interdit de toucher l'autel et, dans certaines traditions, la table de préparation. Il est rare qu'il puisse être amené à toucher les vases sacrés. Il doit veiller à être le plus discret possible lors de son service et à faire preuve d'une extrême solennité pendant les offices.