Les scientifiques n'ont pu déduire l'existence de la matière noire que de l'effet gravitationnel que celle-ci semble avoir sur la matière visible. La matière noire semble représenter une masse environ six fois supérieure à celle de la matière visible ; elle devrait constituer environ 27 % de l'Univers.
La matière est partout présente autour de nous. Elle est constituée d'atomes, eux-mêmes construits à partir de « briques plus petites », appelées particules élémentaires. L'origine de la matière présente sur Terre et dans l'Univers est expliquée aujourd'hui par le modèle du Big Bang.
L'astronome Fritz Zwicky est le premier à avoir envisagé la matière noire, et c'était d'ores et déjà, en 1933, une tentative pour comprendre les comportements inexplicables d'objets cosmiques.
La matière noire ou matière sombre, est une catégorie de matière hypothétique, invoquée dans le cadre du Modèle ΛCDM pour rendre compte de certaines observations astrophysiques, notamment les estimations de la masse des galaxies ou des amas de galaxies et les propriétés des fluctuations du fond diffus cosmologique.
En théorie, d'importantes densités de matière noire sont concentrées au centre des galaxies. C'est donc en direction du centre de la Voie lactée que les physiciens pointent leurs télescopes.
Lorsque la température a atteint 10 millions de degrés, une réaction de fusion nucléaire s'est amorcée qui a commencé à transformer l'hydrogène en hélium. Une étoile est née qui rayonne son énergie dans l'espace. Voilà comment l'Univers a commencé d'exister.
L'univers est composé de milliards d'étoiles et d'autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l'univers est dite « lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide.
La matière sombre (dark matter en anglais) est une mystérieuse composante matérielle probablement constituée de particules élémentaires mais en aucun cas de matière normale, c'est-à-dire de protons, neutrons et électrons, et que l'on suppose répartie dans tout l'univers observable.
Pour ce qui est de la matière visible, elle est composée de 90 % d'hydrogène, de 9 % d'hélium, d'un fifrelin (0,1 %) d'oxygène ou encore d'un soupçon (0,06 %) de carbone. Notre Soleil, une étoile encore jeune, compte 93 % d'hydrogène, 6 % d'hélium, 0,06 % d'oxygène et 0,04 % de carbone, entre autres.
On peut distinguer dans l'univers deux types de substance : la matière, qui possède une masse, et la lumière, de masse nulle. La lumière peut se propager dans le vide, toujours à la même vitesse.
Les expérimentations artistiques d' installations ont commencé dans les années soixante. Depuis ces expérimentations de l'art contemporain dans les années cinquante et soixante , la lumière commence a devenir un matériau à part entière , et non un simple outil.
Ainsi, l'Univers observable forme une sorte de sphère autour de nous, mais le bord de cette sphère ne marque pas la fin de l'Univers, il marque juste la zone qui n'est pas encore observable pour nous.
Notre galaxie, la Voie lactée, appartient à un groupe de galaxies, comprenant une trentaine de galaxies, appelé Groupe local, lui-même inclus dans le superamas de la Vierge.
Une étoile de dimension modeste, donc, à l'échelle de notre Univers. À l'heure actuelle, l'étoile la plus grande que les astronomes connaissent s'appelle UY Scuti. Une étoile située à 9.500 années-lumière de notre Terre, dans la constellation de l'Écu de Sobieski.
Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum ! Un peu comme une boule de neige qui amasse tout sur son passage.
Il n'y a pas "d'extérieur" à l'Univers . L'Univers n'a donc pas de limite : tu peux partir en fusée aussi vite que tu veux (même plus vite que la lumière si tu veux) dans une direction quelconque pendant un temps très long, tu n'arriveras pas à sortir de l'Univers. Mais ça ne veut pas dire que l'espace soit infini."
Taille et Univers observable
À ce jour, aucune donnée scientifique ne permet de dire si l'Univers est fini ou infini. Certains théoriciens penchent pour un Univers infini, d'autres pour un Univers fini mais non borné. Un exemple d'Univers fini et non borné serait l'espace se refermant sur lui-même.
Plusieurs théories tentent d'expliquer ce qui pourrait se trouver au-delà de notre Univers, à commencer par celle des multivers. En dehors des limites de notre Univers se trouve peut-être un « super » Univers. Il s'agirait d'un espace qui s'étend à l'infini dans ce que notre petit Univers peut s'étendre à l'infini.
Notre place dans l'Univers. Nous vivons sur la planète n° 3 : la terre. C'est la troisième planète tournant autour du soleil après Mercure et Vénus. Notre soleil est situé dans une galaxie spirale de plus de 100 milliards d'étoiles : la voie lactée.
Pour passer une commande à l'Univers, Dieu ou ce que vous voulez c'est très simple : Il suffit de se concentrer au calme et de formuler son ou ses souhaits (un par un à la fois). Vous pouvez toujours modifiez vos souhaits. Vous pouvez vous aidez de la prière.
En fait, le duo dialectique énergie-matière correspond à un autre duo du même type qu'est matière-antimatière. Si les deux se joignent par un choc, la matière disparaît et se transforme entièrement en énergie. C'est la seule situation connue où l'entièreté de la masse de la matière se transforme en énergie.
Masse et quantité de mouvement
Le photon est cependant sans masse. Les expériences sont compatibles avec une masse inférieure à 10−54 kg, soit 5 × 10−19 eV/c2 (des estimations antérieures plaçaient la limite supérieure à 6 × 10−17 eV/c2 et 1 × 10−18 eV/c2) ; on admet généralement que le photon a une masse nulle.
La cathodoluminescence
L'émission de lumière par fluorescence par choc avec un électron énergétique. La source d'énergie est une particule hautement énergétique. Cette particule transmet une partie de l'énergie cinétique à un électron qui va alors se désexciter en libérant un photon.
En 1666, lors de ses expériences d'optique, Newton fait passer de la lumière solaire blanche à travers un prisme de façon à la décomposer en rayons lumineux de différentes couleurs, comme le fait le rebord d'une lentille.