L'accès au métier d'agriculteur peut se faire avec une formation sur le tas ou en suivant un cursus en agriculture généraliste ou spécialisé. Un diplôme au minimum de niveau bac est nécessaire pour bénéficier d'aides financières à l'installation en agriculture.
Vous devez être diplômé d'un titre de niveau 4 minimum (anciennement IV – niveau Bac), équivalent au Brevet de Technicien Agricole comme le BP REA (Brevet Professionnel Responsable d'Entreprise Agricole) ou le Bac Professionnel. Le BTSA (Brevet de Technicien Supérieur Agricole) permet donc aussi l'accès à la CPA.
C'est l'une des questions que se pose un futur agriculteur, et la réponse est oui : on peut devenir agriculteur sans diplôme. Toutefois, un diplôme agricole est indispensable pour obtenir la capacité professionnelle agricole (CPA), elle-même nécessaire pour demander les aides à l'installation.
La surface minimale d'assujettissement (SMA)
Une SMA nationale est fixée par arrêté ministériel à hauteur de 12,5 ha. La SMA retenue au niveau départemental ne peut être inférieure à la SMA nationale.
Rapporté au mois, un agriculteur gagne donc en moyenne 1 475 euros brut par mois, presque 300 euros de moins que le Smic actuel, fixé à 1 766 euros brut par mois. Le secteur cache aussi d'importants écarts de revenus entre les différents types d'exploitations.
Un diplôme de niveau bac au minimum est nécessaire pour exercer l'activité d'exploitant agricole. Pour vous installer à votre compte et bénéficier d'aides publiques en tant qu'exploitant agricole, il vous faut justifier d'une CPA - capacité professionnelle agricole - qui demande au moins d'avoir le niveau bac.
Devenir agriculteur à titre professionnel signifie dépendre du régime agricole. Aucune condition d'âge ni de diplôme n'est requise. Vous pourrez alors demander l'affiliation auprès de la Mutualité Sociale Agricole (MSA) de votre département.
être de nationalité française ou ressortissant UE ou titre de séjour. s'installer pour la première fois à titre principal. justifier de la capacité professionnelle agricole : niveau IV et PPP validé être installé depuis moins de 5 ans avant le dépôt de la demande et au plus tard à la date du dépôt.
Les grandes cultures spécialisées en céréaliculture, en plantes oléagineuses (colza, tournesol, soja) et protéagineuses (lentilles, pois), ainsi que la viticulture, sont les plus rémunératrices. Pour ces ménages, les revenus agricoles atteignent 28 200 euros (soit 40 % de leurs ressources).
Il est clair que les cultures agricoles les plus rentables à court terme par excellence sont les cultures annuelles ou extensives puisqu'il est possible d'obtenir une ou deux récoltes par an. Cependant, à long terme, elles ne rapporteront pas autant qu'une plantation.
Les études sont gratuites en formation initiale dans les établissements publics. Si le jeune a déjà cotisé comme salarié, il peut se faire payer sa formation via le CPF (compte personnel de formation). Sinon, il doit s'adresser à Vivea qui peut le prendre en charge.
C'est avoir un diplôme agricole de niveau IV minimum (Bac) et avoir réalisé un Plan de Professionnalisation Personnalisé (PPP). Ce dernier est une des étapes du dispositif à l'installation pour bénéficier d'un accompagnement et des aides à l'installation.
Elle est calculée sur la base réelle, sans minimum et sans plafond : Pour un revenu annuel inférieur à 110 % du PASS : le taux est de 0 % Pour un revenu compris entre 110 et 140 % du PASS : le taux est compris entre 0 % et 3,10 % Pour un revenu supérieur à 140 % : le taux est de 3,10 %
Au sens strict, un agriculteur ou une agricultrice est ainsi une personne qui cultive la terre. Cependant, le terme est aussi utilisé pour désigner celles qui pratiquent l'élevage. La distinction entre les deux activités peut être faite et employant les mots éleveur (éleveuse au féminin) et cultivateur (cultivatrice).
La rentabilité des cultures est fortement dépendante de la compétence technique des maraicher.es, de la fertilité du sol et du climat. Les chiffres que je donne ci-dessous sont donc à prendre avec précaution : ce sont ceux que j'obtiens sur ma ferme en 2021, avec plusieurs années d'expérience maraichère.
Le revenu mensuel moyen est plus élevé pour la production végétale, du simple au double par rapport à l'élevage : par exemple, toujours en 2021, un arboriculteur a touché en moyenne 2.440 euros par mois, un viticulteur 2.760 euros.
Chef d'une grande entreprise (500 salariés ou plus) : 16 600€ par mois. Cadre d'état-major administratif, financier, commercial des grandes entreprises : 10 530€ par mois. Officier et cadre navigant technique et commercial de l'aviation civile : 8 860€ par mois. Cadre des marchés financiers : 8 400€ par mois.
En principe, les terres agricoles ne sont pas constructibles, car elles sont protégées en raison de leur intérêt agronomique, biologique ou économique.