Salaires. De 400 à 700 € brut mensuels. Un écrivain public est le plus souvent payé à l'heure, et ses revenus sont évidemment fonction de l'importance de sa clientèle.
Selon les offres d'emplois, on constate que le salaire moyen de l'écrivain public salarié est égal ou légèrement supérieur au SMIC, soit environ 1603 euros bruts par mois.
Devenir écrivain public sans diplôme
Il n'est pas du tout obligatoire d'avoir un diplôme pour exercer en tant qu'écrivain public. Toutefois, la plupart des écrivains publics ont fait des études littéraires (licence professionnelle en lettres modernes, journalisme, professorat…).
Les tarifs des éditeurs à compte d'auteur varient en général entre 1000 et 3000 €. L'édition à compte d'auteur au format numérique uniquement (e-book et non format Broché) est accessible à partir de 300 € habituellement.
Selon le baromètre des relations auteurs/éditeurs de la Scam et SGDL de mars 2021, le taux de rémunération moyen est de 8,2 % pour les versions papier. Sur un livre grand format vendu 20 € TTC*, l'auteur touche donc environ 1,55 €/vente.
Au Québec, la grande majorité des auteurs reçoivent une rémunération de 8 à 12 % du prix de détail suggéré ; certains auteurs ont droit à un meilleur pourcentage après avoir enregistré des succès de librairie.
Ce que l'auteur peut faire de son côté
Mais d'abord et surtout, les points de contrôle de l'auteur sont le nombre et la qualité des romans qu'il écrit. Il faut plus de temps pour gagner sa vie comme écrivain quand on propose un livre toutes les années et demi à l'édition que quand on en propose un tous les 8 à 10 mois.
Après le bac. 2 ans d'études en classes préparatoires littéraires ou 3 ans d'études pour préparer une licence de langues, littératures, civilisations étrangères et régionales (LLCER), de lettres, de philosophie... . Ces diplômes peuvent être complétés par un master (2 ans).
Devenir auteur ne nécessite aucun diplôme particulier. Pour parfaire votre style et développer vos capacités rédactionnelles, il existe de nombreux ateliers qui organisent des formations d'écriture et stages de perfectionnement.
Le trio des écrivains français les plus riches se compose ainsi de Marc Lévy, qui pèse 80,6 millions d'euros, Anna Gavalda (50,3 millions) et Guillaume Musso (35 millions), selon le classement établi par «Les Echos», vendredi. Ils sont suivis par Fred Vargas (33,6 millions d'euros) et Bernard Werber (33 millions).
On constate que la littérature contemporaine est largement en tête. Elle est deux fois plus vendue que le polar, lui-même environ deux fois plus vendu que les romans d'amour. Ces trois genres cumulés dépassent largement le reste de la liste des genres en termes de chiffres de vente.
Pour gagner de l'argent en écrivant un livre, il n'y a pas de secrets : il faut écrire un best-seller. C'est un livre qui va plaire à de très nombreux lecteurs et se vendre en conséquence, que ce soit dans les rayons des librairie ou sur la boutique Kindle d'Amazon.
Vous pouvez aller à la rencontre des libraires pour leur proposer votre livre en « dépôt-vente ». Pour info, le prix cédé à une librairie tourne autour de 30 % et monte à 40 % pour les ventes via la Fnac. Les plateformes en ligne d'auto-édition peuvent également vous aider dans la diffusion.
On les appelle soutiens littéraires, accompagnateurs littéraires, assistants de rédaction, conseillers en écriture, prête-plume, écrivains publics, biographes. C'est à eux qu'il faut s'adresse pour écrire un livre. Voyons cela en détails. Les soutiens littéraires peuvent être des logiciels.
Texbroker est exactement ce qu'il vous faut. Depuis 2005, notre plateforme est le leader des fournisseurs en ligne de textes uniques pour la toile. Plusieurs milliers d'auteurs et de clients du monde entier sont enregistrés sur Textbroker et concluent chaque mois plus de 100 000 commandes de textes grâce à nous.
Cette loi impose aux éditeurs ou importateurs de livres de fixer un prix de vente au public. Les détaillants doivent pratiquer un prix effectif de vente au public compris entre 95 % et 100 % du prix fixé par l'éditeur ou l'importateur.
«Décembre est de loin le meilleur mois de l'année, tranche Christian Thorel. On fait aussi un bon chiffre au mois de juillet, avec de grosses ventes de livres de poche, de classiques, de livres de l'automne précédent… En août et septembre, il y a une frénésie médiatique, mais les chiffres en librairie ne suivent pas.»