Notez vos symptômes. « Plus votre médecin en saura sur vos symptômes, mieux il pourra vous aider. Dites-lui depuis combien de temps ils se manifestent, si vous avez observé des tendances ou des éléments déclencheurs. Toutes vos observations sont utiles. »
Racontez tout ce qui vous tracasse, votre médecin triera. Donnez tous les indices présents, mais aussi passés, susceptibles de l'aider à poser son diagnostic. Soulever le problème si la relation avec votre médecin vous paraît insatisfaisante.
Vous pouvez aussi choisir de dire: " je trouve qu'on est si différents, on a peu de choses en commun" et rompre là. Mais si vous dites: "vous me rendez mal à l'aise", la personne va vous demander pourquoi, et le problème, c'est que dans la plupart des cas, on ne le sait pas.
une diminution de la capacité à penser, à se concentrer,à décider, à être attentif et à mémoriser ; une vision du futur et de la vie très négative avec des perspectives pessimistes et des pensées autour de la mort en général, et parfois autour du suicide.
Reconnaissance du caractère professionnel : preuve d'incapacité permanente à 25% ou plus, dépôt de certificat médical et formulaire de demande de reconnaissance. Dépression et harcèlement moral : symptômes, fuite des relations de travail, absentéisme.
Il n'existe pas de durée maximale standardisée, car chaque cas est unique. Certains patients peuvent nécessiter quelques jours ou semaines, tandis que d'autres pourraient avoir besoin de plusieurs mois. Durant l'arrêt, le patient doit être régulièrement suivi par son médecin traitant ou un psychiatre.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Notez vos symptômes.
« Plus votre médecin en saura sur vos symptômes, mieux il pourra vous aider. Dites-lui depuis combien de temps ils se manifestent, si vous avez observé des tendances ou des éléments déclencheurs. Toutes vos observations sont utiles. »
Un professionnel, spécialisé en santé mentale (psychiatre, psychologue) et formé à l'écoute et à la compréhension des problèmes psychologiques, propose à la personne d'aborder ses difficultés selon différentes techniques.
La tristesse sans raison apparente peut être déroutante, surtout lorsque tout semble aller bien dans votre vie. Parfois, cette tristesse peut être le signe d'un trouble anxieux ou d'un stress chronique. L'anxiété peut se dissimuler derrière d'autres symptômes, tant mentaux que physiques.
Le houblon, un antidépresseur naturel puissant
Plusieurs médecines du monde associent cette plante anxiolytique à certains bienfaits qui agiraient sur les troubles du sommeil et de l'anxiété, le manque d'appétit, l'agitation, les problèmes digestifs, les troubles intestinaux ainsi que l'arthrite.
Antidépresseur naturel, la rhodiole
Sans aucun doute, la rhodiole. Originaire de Sibérie, cette plante agit sur le stress grâce à une action rapide confirmée par des études scientifiques. Elle régule également les troubles de l'humeur, étant un précurseur de la dopamine.
La dépression ne se guérit pas à force de volonté. C'est une maladie qui nécessite la mise en œuvre d'un traitement spécifique. Les stratégies thérapeutiques existantes sont efficaces dans au moins 70% des cas. Des pistes émergent pour les cas de dépression résistante.
Les personnes atteintes de troubles dépressifs ont des gestes lents, un débit de parole lent. Cette lenteur peut également atteindre certaines fonctions biologiques comme la digestion. Dans certains cas, l'évolution du comportement psychomoteur est caractérisé davantage par de l'agitation.
Au niveau comportemental, les études font état, dans la dépression, d'une diminution de la reconnaissance des expressions faciales positives ainsi que d'une augmentation de la reconnaissance des expressions négatives, notamment la tristesse.
Les personnes atteintes de dépression peuvent souffrir de douleurs corporelles, notamment de maux de tête, de douleurs musculaires et articulaires, de douleurs abdominales et de douleurs dorsales.
Une étude récente a mis en lumière la présence d'altérations neurocognitives chez les patients dépressifs et chez les cas témoins. Les principaux déficits se trouvent au niveau de la mémoire, de l'inhibition, de l'attention partagée et des fonctions exécutives.
Prescrire. Arrêt de travail si nécessaire, de préférence de 1 à 2 semaines. Antidépresseur si besoin, pendant 6 mois minimum à compter de l'amélioration. Anxiolytique si besoin, sur une durée la plus courte possible.
Au-delà, il s'agit d'un arrêt maladie longue durée. Un salarié qui bénéficie d'un arrêt maladie pour dépression perçoit 50% de sa rémunération quotidienne de base. Les salariés bénéficiant d'un arrêt maladie pour dépression peuvent faire l'objet d'une visite médicale de la Sécurité sociale.
La dépression est une pathologie répondant à des critères de diagnostic bien précis parmi lesquels : fatigue, troubles de l'humeur, perte d'intérêt, troubles du sommeil... Le burn-out, quant à lui, est le stade final d'une exposition à des situations de stress professionnels chroniques ou récurrents.