L'expression « autant pour moi » peut être reformulée par « la même chose pour moi ». Par exemple, au restaurant, si la personne qui vous accompagne commande une pizza et que vous souhaitez également manger une pizza, l'expression correcte sera « autant pour moi ».
«Au temps pour moi » sert à reconnaître une erreur. Selon l'Académie française, c'est la seule orthographe admise. Certains défendent toutefois la graphie « autant pour moi ».
Quand doit-on utiliser « au temps » et « autant » ? Lorsque l'on commet une erreur et que l'on désire se faire pardonner en l'admettant, on écrit : « Au temps pour moi » et non « Autant pour moi ». On emploie « Autant » s'il est question d'une chose ou d'une quantité identique et non d'une erreur.
Dans une phrase affirmative exprimant une comparaison, c'est toujours autant qui est employé avec un nom ou un verbe : il y avait autant de femmes que d'hommes ; il mange autant qu'un adulte.
Pour autant, l'Académie française est formelle : c'est la graphie « au temps » qui doit être retenue. Bien sûr, vous pouvez toujours dire « autant pour moi » au garçon de café si vous souhaitez commander la même chose que votre compagnon de table.
Cette phrase adverbiale est utilisée pour reconnaître une faute ou une erreur que l'on a commise. Elle est souvent employée pour s'excuser lorsqu'on réalise que l'on s'est trompé dans une situation.
AUTANT, adv. I. − Adv. de compar. exprimant en phrase compar., explicite ou implicite, l'égalité de deux procès, quant à leur intensité, leur quantité ou leur valeur.
Dans la phrase, précède un événement dont s'attend à ce qu'il ait lieu mais qui n'est finalement pas vérifié. Exemple : Il l'aimait sans pour autant la désirer.
5) S'excuser de manière formelle
Voici quelques exemples de formulations très formelles que vous pouvez utiliser dans le cadre de votre travail, dans un e-mail par exemple : Je vous prie de bien vouloir m'excuser. Je vous présente mes plus sincères excuses.
Je regrette sincèrement que cela soit arrivé. J'en assume l'entière responsabilité et je tiens à vous présenter mes plus sincères excuses pour les torts que cela a dû vous causer. En toute honnêteté, voici ce qui s'est produit : [résumer la situation qui a causé l'erreur].
Donc tu peux entendre : « Je m'excuse d'être arrivé en retard au rendez-vous », ou : « Je m'excuse d'avoir cassé le verre ». Donc ça, ça marche très bien. Si tu veux être un peu plus formel ou parler avec un langage un peu plus soutenu, tu peux dire « je te prie de m'excuser » ou « je vous prie de m'excuser ».
L'expression pour autant que, qui signifie « dans la mesure où », s'emploie avec l'indicatif, le conditionnel ou le subjonctif, selon le sens : Pour autant qu'on pouvait s'en rendre compte, il était malade.
Tout autant. Tout aussi bien que lui. Tout ainsi que.
Marque l'intensité. Synonyme : si, tant.
L'endroit est dangereux en plein jour, à plus forte raison la nuit. C'est une façon honteuse de traiter une personne, à plus forte raison un citoyen canadien. Aucun des mercenaires n'était bibliothécaire, à plus forte raison indépendant.
Locution adverbiale
Davantage, encore plus.
Dans ces contextes, ci est lié au mot qui le précède par un trait d'union. Ces temps‑ci, il fait tellement soleil! Je préfère cette couleur‑ci. C'est celui‑ci qui me convient le plus.
« Autant » ne s'emploie que devant un nom ou un verbe. Devant l'adjectif « grave », c'est « aussi » qui convient. Phrase correcte.
La locution adverbiale non plus sert à souligner la mise en parallèle de deux faits, de deux actions, de deux points de vue, dont le premier est énoncé à la forme négative. Il n'est pas sorti, ni moi non plus. « Je n'en crois rien ! – Moi non plus ! ».
Quand on est d'accord avec une phrase affirmative, on dit : Moi aussi. Et quand on est d'accord avec une phrase négative (avec ne pas ou ne plus), on dit : moi non plus.
Pourquoi pas,
sert à répondre de façon affirmative, à envisager favorablement la demande.
L'excusant abusif a souvent peu d'estime pour sa propre personne. Ayant le sentiment constant d'être inférieur, d'être imparfait, il ressent alors le besoin de s'excuser pour compenser cette différence par rapport aux autres.