belette, caille, chnek, fente, fifna, frangine, gadji, gonze, gonzesse, gorette, greluche, grosse, meuf, minch, moule, nana, nénette, pain, pisseuse, poulette, racli, rate, tera, yeufi, zessegon.
demoiselle, nymphette. – Argotique : loute. – Familier : donzelle, minette. – Populaire : môme, nana.
Personnes : femme → meuf, lui-même transformé en feumeu. mec → keum, keumé
bien foutu, choucar, choukar, frais, michto, soin, top.
Adolescente, jeune femme.
Mounette, minette, jardinet, foufoune, frifri, zizouille, quiquine, chat, paquerette, poupiou, chounette, petite fleur, founette, fentounette, fifi, chipounette, toutoune, koukoune, guiguitte, margoulette, cucunette, chéchette, prune, framboise, rose ou nénuphar....
(Argot) Jolie fille. (Par extension) Amie de cœur ; concubine ; fiancée.
J'en pince pour toi. Je te kiffe. Je suis morgane de toi. je t'ai dans la peau.
Ken : Faire l'amour. Exemple : « La première fois que je suis allée chez lui, on a ken. »
Verbe. (Argot) S'en aller, décamper.
Swag : « avoir le swag » ou « être swag », c'est être cool.
Ce minuscule substantif masculin du registre argotique désigne, en verlan : le cul. On dit par exemple, dans le registre vulgaire : "Tu vas l'avoir dans le uc".
Epouse, partenaire, conjointe, concubine, petite amie.
belle-doche — Wiktionnaire.
djeuns, mecton, neujeu.
je t'aime ! ti amo ! t'ame !
(Surtout oral, argot des jeunes) Courtiser, draguer une femme. v. tr. (Surtout oral, argot des jeunes) Courtiser, draguer une jeune fille.
SCHLOFF (ALLER AU -), Aller dormir, se coucher, dormir ; lit. «A schlof», dit ton père en chemise de nuit blanche. (1964). dormir, s'endormir, se coucher.
D'où vient le mot boug ? Ce mot est emprunté aux langues créoles des Antilles. On le trouve en créole guadeloupéen, en créole martiniquais, en créole guyanais, en créole haïtien, etc. Dans ces langues, il a majoritairement le sens de « homme quelconque ».
Le terme keum s'est développé à la fin du XXe siècle avec l'apparition du langage verlan. Il permet de désigner une personne de sexe masculin de façon argotique. Un keum est donc un homme ou un mec.
Le terme go viendrait du bambara (langue parlée au Mali) où il signifie femme, fille, en s'inspirant de la girl anglophone. On le trouve d'ailleurs aussi écrit gow. Une autre théorie cite l'argot ivoirien, où go serait le diminutif de gonzesse. Certains vont jusqu'à affirmer que gow et cow (vache) sont synonymes.
Définitions de « seigneuresse »
Le latin fēmĭna était en concurrence sur le territoire gallo-romain avec les mots mulier (« femme ») et uxor (« épouse »). Ces deux derniers mots passeront en ancien français, sous la forme : moillier (« épouse, femme ») et oissour (« épouse »).
Les façons de décrire l'acte sexuel, par exemple, sont loin d'être innocentes: «battre l'enclume», «prendre le château», «mettre en perce le tonneau», «enfoncer la porte», «capturer la perdrix» –autant d'images qui font de la femme une proie dont l'homme victorieux doit se saisir, y compris par la force.