les bébés âgés de 4 à 12 mois devraient dormir de 12 à 16 heures par jour; les tout-petits de 1 à 2 ans devraient dormir de 11 à 14 heures par jour; les enfants de 3 à 5 ans devraient dormir de 10 à 13 heures par jour; les enfants de 6 à 12 ans devraient dormir de 9 à 12 heures par jour.
Les tout-petits (de 1 à 2 ans)
La plupart des tout-petits dorment de 11 à 14 heures sur une période de 24 heures. Il est encore important de maintenir un horaire de sommeil que votre enfant reconnaît.
En fonction de leur âge, on peut impliquer les enfants dans le processus du coucher. A 18 mois, on peut leur proposer de choisir le livre du soir. A deux ans, on peut leur donner le choix d'aller dormir tout de suite ou 5 minutes plus tard.
Le rituel du soir et régularité : Bien dormir c'est avant tout un rituel du coucher régulier. Mettez en place avec votre enfant une routine et respectez là avec la régularité d'une horloge suisse. Le repas, un bain, une histoire, un calin, un verre d'eau et hop au dodo !
C'est un décalage du rythme circadien du sommeil qui intervient. Cela explique bien souvent que la routine adoptée un temps ne convienne plus à l'enfant désormais. C'est tout logiquement que l'enfant refuse alors de se coucher puisqu'il ne ressent pas la fatigue.
C'est en général une phase qui ne dure pas si les parents ne sont pas trop complaisants, mais qui en même temps que de la fermeté réclame un peu de compréhension et de tendresse. Il vous faut d'une part le rassurer, et en même temps ne pas le laisser envahir votre soirée et votre nuit.
"Généralement, la sieste disparaît entre 4 et 5 ans. Mais des études montrent que si on donne l'opportunité de dormir en début d'après-midi à des enfants entre 4 et 5 ans, la moitié d'entre eux dorment", précise la spécialiste. Ce qui veut dire qu'ils ont besoin de ce temps de sommeil !
Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant. Bien qu'elle prenne souvent les parents au dépourvu, cette période constitue une étape importante dans le développement psycho-affectif de l'enfant.
de 6 à 13 ans : 9 à 11 heures. de 14 à 17 ans : 8 à 10 heures. de 18 à 64 ans : 7 à 9 heures. à partir de 65 ans : 7 à 8 heures.
Vers 18 mois, en général, cette sieste n'est plus nécessaire et il ne reste que celle de l'après-midi. Cette transition peut s'échelonner sur une période de 3 à 4 semaines.
On le sait : le manque de sommeil est (très) mauvais pour la santé. Se coucher tard et dormir peu augmente le risque cardiovasculaire, favorise les troubles de la mémoire et de l'attention, bouleverse l'équilibre du microbiote intestinal...
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.
La meilleure heure pour se coucher et s'endormir ? Entre 22 et 23 heures, assurent des chercheurs. À quelle heure est-il préférable d'aller se coucher ? Entre 22 et 23 heures, répondent des chercheurs de l'université d'Exeter, en Grande-Bretagne.
"C'est une réaction très instinctive, nerveuse et pas du tout réfléchie comme ce peut être le cas chez l'adulte, explique la psychologue. Spontanément, sous l'effet du stress, il amorce un sourire pour désamorcer l'émotion de l'interlocuteur en face de lui."
Pour cela, veillez à proposer chaque jour à l'enfant : des temps calmes : lecture, pâte à modeler, jeux de construction ; quelques jeux de concentration : trouver 5 objets de telle couleur ; des exercices de relaxation qui permettent notamment à l'enfant de travailler sa respiration.
Pour la plupart d'entre nous, la durée idéale de la sieste est de 10 à 20 minutes, de préférence entre 12 h et 15 h. Si possible, buvez une boisson contenant de la caféine tout de suite avant. Faire la sieste peut s'avérer un complément sain à une saine hygiène du sommeil.
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
Déroulement de la sieste
Votre enfant passe la matinée à travailler avec ses camarades, son enseignant et son ATSEM. Il mange avec ses copains à la cantine puis il est couché quasiment tout de suite après le repas. Une salle est réservée au repos avec des petits couchages et des couvertures.
La plupart des Français commencent le travail entre 8 et 10 heures. Pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30. Quelle est la bonne heure pour se lever ? Comme pour le coucher, l'heure idéale pour se lever n'existe pas.
L'étude a montré que les personnes qui s'endorment entre 22 et 23 heures ont moins de risque de développer une maladie cardiovasculaire. Celles qui s'endorment après minuit ont un risque accru de 25%. Et même celles qui s'endorment tôt, avant 22 heures, ont un risque augmenté de 24%.
Pour se lever à 7h, il faut se coucher soit à 1h du matin, soit à 23h30, soit à 22h. Pour se lever à 6h30, il faut se coucher à minuit et demi, à 23h ou à 21h30.
Bien dormir est essentiel pour le fonctionnement de l'organisme, mais lorsqu'on passe beaucoup de temps au lit, le corps ne brûle pas d'énergie. Des études ont établi une association à la fois de cause et d'effet entre les risques d'obésité et de diabète, et l'excès de sommeil.
Se lever plus tôt allonge la durée de la journée et permet de réaliser des tâches personnelles pour lesquelles il ne reste plus de temps habituellement. Faire du début de matinée un instant personnel et récréatif aide à sortir plus facilement du lit. Prendre le temps de choisir sa tenue, son maquillage.
Une modification hormonale. Le mécanisme est simple : "Pour résister au jeûne de la nuit, le corps produit la leptine, l'hormone de la satiété. Le jour, pour nous garder éveillés, le métabolisme secrète la ghréline, l'hormone qui favorise la faim.